La vie d'une classe de seconde.
Par : WhatCanIDo
Genre : Action
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 42
Publié le 12/06/12 à 19:03:38 par WhatCanIDo
Peu d'entre vous s'attendaient à ce que cette petite histoire tournerait à la science-fiction. Et bien c'est le cas. On essaie de faire des pronostics sur le futur scénario, qui vaincra, qui perdra la vie, qui exercera sa rebellion.. Les paris sont ouverts, je ne sais même pas encore, moi, l'auteur, ce qu'il va réellement se passer dans les futurs chapitre, bien au contraire, je m'interroge comme vous.
Comme je viens de voir Prometheus au cinéma (oui, on s'en fout de ma vie, pardon), je suis tenté de complètement basculer dans ce domaine, ce style. Irréaliste, gore, impossible, inimaginable , fantastique, explosif, mortel, fou. Tous ces mots pourraient bien décrire et correspondre à l'avenir de cette fic. Voilà, c'était la petite parenthèse, qui permet d'avertir certains et aussi de grapiller quelques lignes pour que ce chapitre soit assez gros et imposant dans votre esprit.
Place à la folie donc !
Après l'ordre des professeurs pour les dortoirs, allons prendre quelques réactions, à commencer par le côté des mecs, faisant atrocement la tronche.
Samy.
C'tes fils de pute wesh. Ils ont pas le droit de faire ça. Vraiment pas. Et comme par hasard, j'ai oublié mon gun chez moi. Je vais craquer. Je passe pas une nuit de plus avec ces bouffons, rien à foutre, ces profs à la con n'ont pas à faire ça. Mon père s'occupera de leur cas à ces vieux cons. Ils se croient supérieurs parce qu'ils sont âgés. Et pis l'autre qui joue son malin avec son AK et son cancer de malade, il devrait pas crâner. Je me repose cette nuit et au petit matin, je me lève de bonne heure et je les cogne tous ces enfoirés wesh. En attendant, je dois me coltiner tous ces bouffons pendant toute une nuit. Et c'était sans compter que cette vieille histoire de couple qui venait me perturber. Effectivement, alors que j'étais en pleines pompes, Arthur vint m'adresser la parole. Manque de bol pour lui, j'étais pas d'humeur wesh.
- Euh Samy.. Tu lui as dit quelque chose à Elodie avant ?
- Non sale bolosse. Dis moi plutôt cimer wesh, c'est une pute cette meuf. J'y peux rien si j'suis trop beau gosse, elle me voulait c'est tout. Garde la pêche wesh.
- Ne dis pas ça.. C'est quelqu'un de bien au fond. Tu lui as juste fait découvrir le monde cruel de l'alcool.
- Parle pas mal toi wesh, ziva va te pendre et fais pas iéch, la tête de ma mère m'emmerde pas.
Sur ce, je me relevais après m'être défoncé les abdominaux, puis allai choisir mon lit.
- Bon les gens, on fait comment ? C'est des lits à deux ou quoi ? Putain !
- Je crois qu'on a pas le choix. Mais bon tant que je suis pas à côté de Grégory ça me dérange pas moi ! s'amusa Jean.
- Moi j'aimerais être à côté d'Elodie.. pleurnicha Arthur.
Soudain, Jean reprit la parole, exaspéré par la dépression de son camarade :
- Putain Arthur ouvre les yeux. J'étais comme toi avant, pensais que c'était la femme de ma vie. Or, c'est pas le cas. Comme l'a dit Samy, c'est une pute t'as bien vu tout à l'heure, tu mérites mieux. Dans deux ans, elle fait les trottoirs et elle est enceinte cette nana là. Moi, j'ai tourné la page, accepte le.
Arthur trembla après ces paroles fortes, il était ému, tous les sentiments l'asphyxiaient dans son désarroi. A ce moment de la soirée, où les mecs étaient en train de se foutre torse nu pour se coucher, Pierre-Louis, discret jusqu'à là, prit la parole, d'un acte révolutionnaire.
- Okay les gars, écoutez moi tous. Y'a des conflits énormes dans cette classe, on s'aime pas tous forcément, mais si on veut sortir de ce pétrin, on est obligé de s'allier pour l'emporter. Il faut qu'on le fasse, aller au bout de nos sentiments. On a pas tous les mêmes points communs, mais tous la même haine envers ces enseignants. Au delà des histoires de couples et embrouilles, nous vaincrons. Qui est partant ? lança-t-il, bouillant comme la braise, surmotivé, la voix tranchante, tendant la main.
Cela avait stimulé notre envie, et j'étais tenté de rentrer dans ce clan. Après tout, pourquoi pas. Je checkai Pilou le premier pour donner de l'élan et tous les autres garçons, même les plus gros cas, se joignaient à cette espèce d'alliance.
Ayant repris un peu de mental, nous nous endormons alors, l'espoir grand de nous rebeller dans les prochains jours, car cette histoire s'annonce longue et laborieuse pour nous.
Et du côté féminin, la même ambition est-elle présente ? Ou les engueulades et bagarres se représenteront donc à nouveau ? C'est ce que nous découvrirons.
Lien permanent
Comme je viens de voir Prometheus au cinéma (oui, on s'en fout de ma vie, pardon), je suis tenté de complètement basculer dans ce domaine, ce style. Irréaliste, gore, impossible, inimaginable , fantastique, explosif, mortel, fou. Tous ces mots pourraient bien décrire et correspondre à l'avenir de cette fic. Voilà, c'était la petite parenthèse, qui permet d'avertir certains et aussi de grapiller quelques lignes pour que ce chapitre soit assez gros et imposant dans votre esprit.
Place à la folie donc !
Après l'ordre des professeurs pour les dortoirs, allons prendre quelques réactions, à commencer par le côté des mecs, faisant atrocement la tronche.
Samy.
C'tes fils de pute wesh. Ils ont pas le droit de faire ça. Vraiment pas. Et comme par hasard, j'ai oublié mon gun chez moi. Je vais craquer. Je passe pas une nuit de plus avec ces bouffons, rien à foutre, ces profs à la con n'ont pas à faire ça. Mon père s'occupera de leur cas à ces vieux cons. Ils se croient supérieurs parce qu'ils sont âgés. Et pis l'autre qui joue son malin avec son AK et son cancer de malade, il devrait pas crâner. Je me repose cette nuit et au petit matin, je me lève de bonne heure et je les cogne tous ces enfoirés wesh. En attendant, je dois me coltiner tous ces bouffons pendant toute une nuit. Et c'était sans compter que cette vieille histoire de couple qui venait me perturber. Effectivement, alors que j'étais en pleines pompes, Arthur vint m'adresser la parole. Manque de bol pour lui, j'étais pas d'humeur wesh.
- Euh Samy.. Tu lui as dit quelque chose à Elodie avant ?
- Non sale bolosse. Dis moi plutôt cimer wesh, c'est une pute cette meuf. J'y peux rien si j'suis trop beau gosse, elle me voulait c'est tout. Garde la pêche wesh.
- Ne dis pas ça.. C'est quelqu'un de bien au fond. Tu lui as juste fait découvrir le monde cruel de l'alcool.
- Parle pas mal toi wesh, ziva va te pendre et fais pas iéch, la tête de ma mère m'emmerde pas.
Sur ce, je me relevais après m'être défoncé les abdominaux, puis allai choisir mon lit.
- Bon les gens, on fait comment ? C'est des lits à deux ou quoi ? Putain !
- Je crois qu'on a pas le choix. Mais bon tant que je suis pas à côté de Grégory ça me dérange pas moi ! s'amusa Jean.
- Moi j'aimerais être à côté d'Elodie.. pleurnicha Arthur.
Soudain, Jean reprit la parole, exaspéré par la dépression de son camarade :
- Putain Arthur ouvre les yeux. J'étais comme toi avant, pensais que c'était la femme de ma vie. Or, c'est pas le cas. Comme l'a dit Samy, c'est une pute t'as bien vu tout à l'heure, tu mérites mieux. Dans deux ans, elle fait les trottoirs et elle est enceinte cette nana là. Moi, j'ai tourné la page, accepte le.
Arthur trembla après ces paroles fortes, il était ému, tous les sentiments l'asphyxiaient dans son désarroi. A ce moment de la soirée, où les mecs étaient en train de se foutre torse nu pour se coucher, Pierre-Louis, discret jusqu'à là, prit la parole, d'un acte révolutionnaire.
- Okay les gars, écoutez moi tous. Y'a des conflits énormes dans cette classe, on s'aime pas tous forcément, mais si on veut sortir de ce pétrin, on est obligé de s'allier pour l'emporter. Il faut qu'on le fasse, aller au bout de nos sentiments. On a pas tous les mêmes points communs, mais tous la même haine envers ces enseignants. Au delà des histoires de couples et embrouilles, nous vaincrons. Qui est partant ? lança-t-il, bouillant comme la braise, surmotivé, la voix tranchante, tendant la main.
Cela avait stimulé notre envie, et j'étais tenté de rentrer dans ce clan. Après tout, pourquoi pas. Je checkai Pilou le premier pour donner de l'élan et tous les autres garçons, même les plus gros cas, se joignaient à cette espèce d'alliance.
Ayant repris un peu de mental, nous nous endormons alors, l'espoir grand de nous rebeller dans les prochains jours, car cette histoire s'annonce longue et laborieuse pour nous.
Et du côté féminin, la même ambition est-elle présente ? Ou les engueulades et bagarres se représenteront donc à nouveau ? C'est ce que nous découvrirons.
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