Les Zombies n'existent pas : Partie II
Par : 17XX
Genre : Horreur , Action
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 10
IX - Désignation.
Publié le 01/08/11 à 16:04:48 par 17XX
Chapitre IX – Désignation.
Alexis, Verdugo, et un autre gars de leur âge sont sereinement affalés sur leur canapé.
-Les gars, faut que je vous parle.
Alexis se lève et me dit :
-Vu ta tête, je suppose que ce n’est pas une invitation à Disney Land ?
-Tout vu. Mais d’abord, c’est qui lui ? Répondis-je en pointant du doigt l’inconnu.
-C’est David, je l’ai rencontré au bar. T’inquiète on peut lui faire confiance. Il vient de Nîmes.
-Bon, qu’est-ce que t’as à nous dire, dit Verdugo d’un air impatient en se levant à son tour.
Je prends trente bonnes minutes à tout leur expliquer, attendant leur réaction.
-Et ben… fit Alexis d’un air dépité.
-Ca s’arrêtera jamais putain ?! S’exclama Verdugo, j’dis que la meilleure solution c’est de bouger d’ici.
-Je suis du même avis. On sait qu’ils sont intelligents, ils finiront par se regrouper et nous attaquer, je vais voir le Capitaine et je vous tiendrais au courant de la suite.
-Ok, répondit Alexis. Peu importe ce qu’on fait, j’te suivrais, c’est toi qui m’a tiré d’la merde.
Je tourne les talons et sort de leur pavillon. Je décide d’aller voir le Capitaine pour savoir s’il a pris une décision. Sur la route je croise un groupe de militaires américains, je me demande ce qu’ils foutent ici.
J’ouvre la porte lentement et rentre.
-Capitaine ? Je vous dérange ?
Le Capitaine est toujours assis dans le « salon », le visage absorbé dans ses pensées.
-Non, vient. Faut qu’on parle.
Michael rentre à son tour, et s’assieds, sans un mot.
-J’ai pris la décision. Le problème maintenant, ça va être de convaincre le Général. Cette enflure n’a aucune idée de ce qu’il y a dehors. Depuis le début il était planqué dans un bunker jusqu’à ce que lui et ses hommes soient attaqués. Il ne sait rien de ce qu’on risque à rester ici.
Mais le Capitaine fut interrompu par un bruit assourdissant. C’est une alarme ! Quelques secondes plus tard, des détonations sourdes retentissent. Ça doit être les mines !
-Vite ! Cria le Capitaine, tous au pont ! Bastien, va chercher les autres !
Je cours comme un dératé en direction de notre pavillon, Mika et Nathan, Cédric et Seb se précipitent vers le pont, pendant que je vais chercher Verdugo, Alexis et David. Nous arrivons enfin au pont, toutes les unités de l’armée, au nombre de six, sont en position de tir. Les mines explosent à environ trois cents mètres. Le pont se termine devant un mur de quatre mètres de haut, où tout le monde est en position.
-Ils arrivent !
-FEU A VOLONTE FEU !
Mon dieu… Ils sont au moins deux cents, le pont fourmille de silhouettes…Je lève mon arme et tire à mon tour, gérant tant bien que mal le recul. Les tirs retentissent, les douilles tombent, la fumée s’élève, les corps tombent. Mais d’autres arrivent, ça ne s’arrête pas. Ca y’est. Ils sont devant le mur et essayent tant bien que mal de rentrer par la porte en métal.
-TENEZ LA PORTE ! CONCENTREZ VOS TIRS SUR LES INFECTES DEVANT LE MUR !
Les trente-quatre soldats et les quelques civils courageux ne suffisent pas. La porte à du mal à résister. Mais un autre problème arrive. Au loin sur le pont, une silhouette bien plus grande que les autres approche rapidement, écartant les infectés d’un seul coup de main.
-C’est quoi ça ?! Cria un militaire.
-UTILISEZ LES LANCES GRENADES AVANT QU’IL NE SOIT TROP PRES DU MUR! hurla un lieutenant.
Cinq hommes tirent au lance grenade, mais à part fissurer le pont et légèrement ralentir la bête, rien ne se passe. Les infectés eux, sont tombés par dizaines. Il n’en reste plus beaucoup.
-RECULEZ ! IL VA DETRUIRE LA PORTE !
Tout le monde recule ou descend du mur, se regroupant à l’entrée de la petite ville. Les civils regardent apeurés la porte. Tout à coup le calme se fait. Seuls de violents coups réguliers sur la porte se font entendre. Elle commence à se plier et à bomber.
-Elle va lâcher elle va lâcher ! murmura un soldat anonyme à côté de moi.
-Prépare toi à courir Bastien, me dit Alexis, on n’est pas des militaires nous.
Michael est en place un peu plus loin, son fusil de sniper épaulé. Tout le monde regarde avec appréhension la porte, qui finit par céder…
-FEU FEU FEU !
Le monstre se jette sur le premier groupe de militaires et en écrase un, laissant s’échapper un flot de sang et donna un coup d’une puissance inouïe sur un autre, qui vola sur plusieurs mètres avant de s’écraser à terre. Je n’entends plus rien, les tirs de tous les militaires et de mon arme me font siffler les oreilles, mais le monstre s’approche toujours. Il n’est plus qu’à quelques mètres maintenant, tuant encore deux autres soldats.
La situation semblait désespérée, jusqu’à ce que je vis Michael faire quelque chose de fou. Il sortit son couteau et couru vers la chose en hurlant, se jeta sur lui et lui planta le couteau dans le crâne. Le monstre n’en a que faire et lui donne un coup aussi, Michael vola sur au moins dix mètres et s’écrasa au sol, le corps inanimé.
-NOOOOOON !
Le monstre s’apprête à revenir à la charge, mais tout à coup il s’arrêta, un filet de sang coule sur son visage, et il s’écroule, le couteau toujours planté à l’arrière de son crâne difforme.
Mais Michael est toujours au sol, tout le monde le regarde avec admiration, le Capitaine coure vers lui et essaye de le ranimer…
Alexis, Verdugo, et un autre gars de leur âge sont sereinement affalés sur leur canapé.
-Les gars, faut que je vous parle.
Alexis se lève et me dit :
-Vu ta tête, je suppose que ce n’est pas une invitation à Disney Land ?
-Tout vu. Mais d’abord, c’est qui lui ? Répondis-je en pointant du doigt l’inconnu.
-C’est David, je l’ai rencontré au bar. T’inquiète on peut lui faire confiance. Il vient de Nîmes.
-Bon, qu’est-ce que t’as à nous dire, dit Verdugo d’un air impatient en se levant à son tour.
Je prends trente bonnes minutes à tout leur expliquer, attendant leur réaction.
-Et ben… fit Alexis d’un air dépité.
-Ca s’arrêtera jamais putain ?! S’exclama Verdugo, j’dis que la meilleure solution c’est de bouger d’ici.
-Je suis du même avis. On sait qu’ils sont intelligents, ils finiront par se regrouper et nous attaquer, je vais voir le Capitaine et je vous tiendrais au courant de la suite.
-Ok, répondit Alexis. Peu importe ce qu’on fait, j’te suivrais, c’est toi qui m’a tiré d’la merde.
Je tourne les talons et sort de leur pavillon. Je décide d’aller voir le Capitaine pour savoir s’il a pris une décision. Sur la route je croise un groupe de militaires américains, je me demande ce qu’ils foutent ici.
J’ouvre la porte lentement et rentre.
-Capitaine ? Je vous dérange ?
Le Capitaine est toujours assis dans le « salon », le visage absorbé dans ses pensées.
-Non, vient. Faut qu’on parle.
Michael rentre à son tour, et s’assieds, sans un mot.
-J’ai pris la décision. Le problème maintenant, ça va être de convaincre le Général. Cette enflure n’a aucune idée de ce qu’il y a dehors. Depuis le début il était planqué dans un bunker jusqu’à ce que lui et ses hommes soient attaqués. Il ne sait rien de ce qu’on risque à rester ici.
Mais le Capitaine fut interrompu par un bruit assourdissant. C’est une alarme ! Quelques secondes plus tard, des détonations sourdes retentissent. Ça doit être les mines !
-Vite ! Cria le Capitaine, tous au pont ! Bastien, va chercher les autres !
Je cours comme un dératé en direction de notre pavillon, Mika et Nathan, Cédric et Seb se précipitent vers le pont, pendant que je vais chercher Verdugo, Alexis et David. Nous arrivons enfin au pont, toutes les unités de l’armée, au nombre de six, sont en position de tir. Les mines explosent à environ trois cents mètres. Le pont se termine devant un mur de quatre mètres de haut, où tout le monde est en position.
-Ils arrivent !
-FEU A VOLONTE FEU !
Mon dieu… Ils sont au moins deux cents, le pont fourmille de silhouettes…Je lève mon arme et tire à mon tour, gérant tant bien que mal le recul. Les tirs retentissent, les douilles tombent, la fumée s’élève, les corps tombent. Mais d’autres arrivent, ça ne s’arrête pas. Ca y’est. Ils sont devant le mur et essayent tant bien que mal de rentrer par la porte en métal.
-TENEZ LA PORTE ! CONCENTREZ VOS TIRS SUR LES INFECTES DEVANT LE MUR !
Les trente-quatre soldats et les quelques civils courageux ne suffisent pas. La porte à du mal à résister. Mais un autre problème arrive. Au loin sur le pont, une silhouette bien plus grande que les autres approche rapidement, écartant les infectés d’un seul coup de main.
-C’est quoi ça ?! Cria un militaire.
-UTILISEZ LES LANCES GRENADES AVANT QU’IL NE SOIT TROP PRES DU MUR! hurla un lieutenant.
Cinq hommes tirent au lance grenade, mais à part fissurer le pont et légèrement ralentir la bête, rien ne se passe. Les infectés eux, sont tombés par dizaines. Il n’en reste plus beaucoup.
-RECULEZ ! IL VA DETRUIRE LA PORTE !
Tout le monde recule ou descend du mur, se regroupant à l’entrée de la petite ville. Les civils regardent apeurés la porte. Tout à coup le calme se fait. Seuls de violents coups réguliers sur la porte se font entendre. Elle commence à se plier et à bomber.
-Elle va lâcher elle va lâcher ! murmura un soldat anonyme à côté de moi.
-Prépare toi à courir Bastien, me dit Alexis, on n’est pas des militaires nous.
Michael est en place un peu plus loin, son fusil de sniper épaulé. Tout le monde regarde avec appréhension la porte, qui finit par céder…
-FEU FEU FEU !
Le monstre se jette sur le premier groupe de militaires et en écrase un, laissant s’échapper un flot de sang et donna un coup d’une puissance inouïe sur un autre, qui vola sur plusieurs mètres avant de s’écraser à terre. Je n’entends plus rien, les tirs de tous les militaires et de mon arme me font siffler les oreilles, mais le monstre s’approche toujours. Il n’est plus qu’à quelques mètres maintenant, tuant encore deux autres soldats.
La situation semblait désespérée, jusqu’à ce que je vis Michael faire quelque chose de fou. Il sortit son couteau et couru vers la chose en hurlant, se jeta sur lui et lui planta le couteau dans le crâne. Le monstre n’en a que faire et lui donne un coup aussi, Michael vola sur au moins dix mètres et s’écrasa au sol, le corps inanimé.
-NOOOOOON !
Le monstre s’apprête à revenir à la charge, mais tout à coup il s’arrêta, un filet de sang coule sur son visage, et il s’écroule, le couteau toujours planté à l’arrière de son crâne difforme.
Mais Michael est toujours au sol, tout le monde le regarde avec admiration, le Capitaine coure vers lui et essaye de le ranimer…
01/08/11 à 18:01:48
Ouah, sweet !!!
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