Une histoire de merde
Par : Fehling
Genre : Nawak , Science-Fiction
Status : Terminée
Note :
Chapitre 4
FIN
Publié le 15/08/11 à 19:47:36 par Fehling
Après notre superbe douche commune, Mona et moi nous installons sur le canapé du sallon pour continuer ce que nous avions entrepris, ruisselants, criants de plaisir tous les deux...
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- CONNARD DE MERDE, JE VAIS TE DÉFONCER ! gueule Vincent.
- Mais putain, Vincent, ferme ta gueule ! Les Noirs nous ont entendu, bordel !
- Rien à foutre, vient, on va niquer ce connard, on me jette pas de la merde dessus !
On monte tous les deux, mais on a oublié de compter les étages, alors on sonne plusieurs fois.
Deux gangsters avec des canons sciés et la tête pleine d'un mélange de chiasse et de gerbe, c'est assez comique. Vince en a marre, il défonce les portes à coups de pied.
Je profite qu'il fouille une chambre pour lancer l'alerte, et je préviens mes collègues que je me trouve avec un Rital au douzième étage, dans une suite.
- Merde, Vince, t'entends, c'est les flics !
- Bordel de merde, on va pas se faire chopper plein de merde comme ça, j'préfère encore me faire descendre par ces putains de Noirs, crie-t-il.
- On a qu'à se cacher dans la chambre de l'autre enculé après l'avoir défoncé.
- Pas con, on fait ça.
On dégouline, et des morceaux de pâtes retracent notre chemin dans les escaliers. On aurait pu dire ce que le mec avait bouffé depuis deux semaines tellement il s'était vidé l'estomac. vince arrive au douzième, gros coup de pied dans la serrure, et la porte saute. On rentre tous les deux...
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Mona sursaute de peur, alors que je suis en elle. Elle contracte. Je suis coincé.
Deux mecs déboulent, deux Ritals, couverts de merde. Ils sentent. Et moi je suis toujours coincé comme un con dans ma nouvelle copine, pouvant pas me lever du canapé.
Le plus gros braque son arme sur moi, tire, et me loupe.
- HIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII, crie Mona.
Pan.
Le mec derrière a tué son pote. Il sort un badge de la Police d'État.
À ce moment là on se retrouve obligés d'aller au commissariat pour témoigner en faveur du mec. On est couverts d'un drap et je suis toujours coincé dans Mona.
En bas on croise des mecs des deux gangs qui se font coffrer, et une tonne de flics.
- Je t'aime, Mona.
Voilà comment j'ai rencontré ma femme.
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- CONNARD DE MERDE, JE VAIS TE DÉFONCER ! gueule Vincent.
- Mais putain, Vincent, ferme ta gueule ! Les Noirs nous ont entendu, bordel !
- Rien à foutre, vient, on va niquer ce connard, on me jette pas de la merde dessus !
On monte tous les deux, mais on a oublié de compter les étages, alors on sonne plusieurs fois.
Deux gangsters avec des canons sciés et la tête pleine d'un mélange de chiasse et de gerbe, c'est assez comique. Vince en a marre, il défonce les portes à coups de pied.
Je profite qu'il fouille une chambre pour lancer l'alerte, et je préviens mes collègues que je me trouve avec un Rital au douzième étage, dans une suite.
- Merde, Vince, t'entends, c'est les flics !
- Bordel de merde, on va pas se faire chopper plein de merde comme ça, j'préfère encore me faire descendre par ces putains de Noirs, crie-t-il.
- On a qu'à se cacher dans la chambre de l'autre enculé après l'avoir défoncé.
- Pas con, on fait ça.
On dégouline, et des morceaux de pâtes retracent notre chemin dans les escaliers. On aurait pu dire ce que le mec avait bouffé depuis deux semaines tellement il s'était vidé l'estomac. vince arrive au douzième, gros coup de pied dans la serrure, et la porte saute. On rentre tous les deux...
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Mona sursaute de peur, alors que je suis en elle. Elle contracte. Je suis coincé.
Deux mecs déboulent, deux Ritals, couverts de merde. Ils sentent. Et moi je suis toujours coincé comme un con dans ma nouvelle copine, pouvant pas me lever du canapé.
Le plus gros braque son arme sur moi, tire, et me loupe.
- HIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII, crie Mona.
Pan.
Le mec derrière a tué son pote. Il sort un badge de la Police d'État.
À ce moment là on se retrouve obligés d'aller au commissariat pour témoigner en faveur du mec. On est couverts d'un drap et je suis toujours coincé dans Mona.
En bas on croise des mecs des deux gangs qui se font coffrer, et une tonne de flics.
- Je t'aime, Mona.
Voilà comment j'ai rencontré ma femme.
17/08/11 à 00:17:36
En gros, tu fais de la merde exprès ? :troll:
16/08/11 à 15:24:21
C'est là tout l'intérêt du texte, Hell, tu n'as pas pigé l'ironie de l'écriture.
16/08/11 à 10:33:39
Bref, je vote 3.
Le contenu est là, le potentiel aussi.
Il faut juste que tu fasses gaffe lors des relectures et que tu bosses un peu plus tes textes.
Ensuite, fais quand même gaffe au titre, celui-là est déplorable, comme était censé le signaler mon premier commentaire.
16/08/11 à 10:30:45
Je peux aussi parler des fautes d'inattention, des majuscules qui surgissent en plein milieu de phrase pour FAIRE COMME SI ILS CRIAIENT alors que c'est inutile puisqu'il y a les termes " Crier; hurler " et j'en passe.
Ensuite, le scénario... Non, j'en parlerais pas, c'est du déjà-vu.
16/08/11 à 10:26:36
Mais j'ai des textes, je les suite quand je veux, je ne suis aux ordres de la populace.
Le texte que nous avons là est loin d'être super terrible de la mort qui tue.
Et puis il y a des termes qui ne sont pas des plus utiles.
" au plus impuissant des retraités gays. "
Ce n'est là qu'un exemple parmi tant d'autres.
J'ai aussi relevé une onomatopée " Vrooom ", ça veut dire quoi ? " Je ne sais pas décrire le rugissement du moteur d'une voiture en mouvement "
Aussi, " CONNARD " ressort un peu trop souvent à mon goût. Si c'est pour faire de l'humour, c'est pas terrible.
15/08/11 à 20:31:07
Taggle Hell,fais ta fic avant de balancer ta merde en com' !
Sinon moi j'aime bien,j'trouve ça plutot sympa,j'ai lu que le chapitre 1 la et j'aime bien !
15/08/11 à 20:03:43
Histoire de merde, texte merdique, note de merde.
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