Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Quand VOUS êtes un lycéen tueur


Par : LePatriarche
Genre : Action, Nawak
Statut : Terminée



Chapitre 8


Publié le 26/05/2014 à 22:21:33 par LePatriarche

La 2)


Vous faites volte-face cette fois-ci pour revenir encore plus fort, et vous laissez également un message avant de quitter les lieux

- Sachez que c'etait juste un geste de bienvenue, il ne fallait pas mal l'interpréter. Mais j'espère que vous assumerez vos paroles le jour du jugement dernier.

- Alàlà les gosses, ils croient encore à la fin du monde je vous jure. Allez du balai, c'etait sympa d'entendre tes compliments.

La folle doit certainement être atteinte de schizophrènie, vu l'incohérence qui se dégage de ses paroles Dorénavant, faut la jouer profil bas, et vous partez en offrant un baiser à la porte en rajoutant " ça aurait pu être toi coquine ".

Ainsi vous attendez comme un chien à l'entrée du lycée, la connasse termine son service vers 17h', mais ça vaut le coup d'attendre.

17h pétante : la jeune demoiselle sort, se déambule de manière élégante comme une princesse descendue de son trone pour rejoindre son vélo Bordel, ça sera dur de la prendre en filature si elle a un vélo, mais vous y arriverez. Ainsi, vous courrez comme un dératé sur les trottoirs tout en essayant d'être discret derrière elle, assez difficile néanmoins

Après deux heures de course effrené, vous arrivez devant son domicile, un petit appart' au deuxième étage d'un taudi Une beauté pareil dans un lieu aussi insalubre, cela relève d'un contraste, de voir un bout de soleil sur ces terres hostiles, oui vous êtes poète aujourd'hui

Vous entendez des bruits dans la maison, oui, ce sont deux femelles qui discutent, elles jacassent beaucoup, ça risque de détruire votre plan : La tuer durant son sommeil

Bref, faut agir là


1) Entrer de force et se battre comme un dégénéré

2) Attendre la nuit et tuer les deux demoiselles

3) Frapper à la porte et s'expliquer avec la jeune femme calmement

4) Rentrer chez vous et descendre une petite bière avec votre père, un chomeur adepte de la cuisine.


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