Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Quand VOUS êtes un lycéen tueur


Par : LePatriarche
Genre : Action, Nawak
Statut : Terminée



Chapitre 73


Publié le 18/06/2014 à 14:19:12 par LePatriarche

La 5) :hap:


- Madame, c'est juste immonde ce que vous faites à cet homme faible, cela ne sert à rien de profiter de sa force, c'est pas la loi du plus fort qui fonctionne dans notre société.
- Ta gueule clébard ! Ce mec m'a trompé, il s'est excusé, je lui ai pardonné, et il en profité pour me violer, je me rend justice ! <img src=(">
- OMG LE GENIE !! :rire:
- Je t'en prie, je ferais tout ce que tu me demande ! Je suis à tes ordres ma reine, arrête de me faire de mal :-(

Devant cette scène consternante où l'homme embrasse de manière langoureuse et envoutante le pied nu de la jeune femme comme un vers de terre, votre sang ne fait qu'un tour. Heureusement que vous marchez toujours avec un ciseau dans votre poche, cela peut être utile pour couper un fil qui dépasse de votre sweet, même si le rêve ultime est de couper un cordon ombilical à la suite d'une naissance :bave:

- Tu me fais quoi avec ton ciseau là. Et puis d'où tu sors avec ta cagoule, arrête de faire le wesh avec ton corps de lache, et prosterne toi devant moi !

L'impertinence est un vilain défaut, de votre main, vous lui aggripez la peau de la nuque comme une truie pour la soulevez du sol. Sa tête fait connaissance avec le mur, on entend son front se décomposer à chaque coup, tandis que l'autre gus est là, la langue sorti, comme affamé de soumission :honte:

Presque évanouie, le ciseau vous permet de lui faire connaitre la boule à Z, comme celle de Fabien Barthez ou encore de Britney Spears a ses heures perdues. D'un main, vous fourrez tout ces poils bien dégueulasses dans sa bouche en lui gueulant aux oreilles :"AVALE BITCH ! AVALE BITCH ! AVALE BITCH ! <img src=("> ". Le message est passé, elle n'en fait qu'une bouchée.

- Dans les années 40, les putes avaient la même coupe de cheveux. Comme quoi j'honore la mémoire de mes ancêtres. :content:
- Qu'as-tu fais à ma tendre épouse !? :ouch:
- Ta tendre épouse t'a humilié, qu'est-ce que tu attends d'une fille comme ça ? A partir du moment qu'elle prend le dessus, t'es fini mon gars. Tu n'es bon qu'à lui cirer les pompes et à être son esclave !
- Non tu ne connais rien à l'amour, c'est un test pour me retrouver, une épreuve pour que je lui témoigne ce que je ressens :cute:


La friendzone niveau hardcore, tandis que l'autre commence à pleurer... Et votre politique est très ferme. Il vaut mieux tuer une femme plutot que de la laisser souffrir. C'est dégueulasse de voir un agneau attendant la mort, il faut abréger ces souffrances tant qu'il en est encore tant, c'est peut-être inhumain de tuer, mais faire souffrir quelqu'un volontairement par une passivité déconcertante, c'est pire à vos yeux. :-(

Tandis que la lame de la fin et du desespoir s'apprête à transpercer le corps d'une tondu, l'autre abruti s'interpose comme dans les films, et comme pour Johnny, le poignard s'abat directement sur ces parties génitales. Profitant de cet instant, vous remuez le couteau dans la plaie ( YEAAAAAHHHHHH !!! :cool: ), des gémissements se font entendre à chaque fois, des cris orgasmiques digne d'une femme. Cet homme a l'air d'adorer la souffrance, car son pénis à l'air de se durcir à chacun de vos coups de lame... Terrifiant. :ouch:

Puis dans un coup sec, l'homme envoie la sauce sur vous. D'un geste furtif, vous esquivez, puis la deuxième salve arrive, et pour vous protéger, vous disposez le corps de l'autre salope, qui se prend une facial mémorable. La scène est tout bonnement épique et dégueulasse. Devant cette puissante attaque, la femme s'éffondre, inconsciente. Les chocs psychologiques et physiques qu'elle a subit lui ont été fatals.

Conscient de son exagération, l'homme s'agenouille à coté de sa dulcinée au sol et l'implore de revenir à la raison, mais il n'en est rien. Le zgueg à l'air, il commence aussi à pleurer.

- On a pas finit mon gars.

Pris au dépourvue, l'homme se fait finalement décapité l'entrejambe à quelques centimètre de sa femme, en proie à toute sorte d'éclaboussures, un véritable aimant à liquide visqueux. L'homme s'évanouit à ses cotés, et vous revez dejà de la Une demain dans les journaux :" Un homme castré et une femme tondu, Hitler est-il parmi nous ?" :bave:


La cagoule vous étouffe. Arrivé à un coin plutot tranquille, vous l'enlevez. Depuis la décapitation d'André, votre corps est en chaleur. Peut-être à cause d'un trop plein d'émotions, mais vous avez une impression très bizarre.

Ainsi, vous vous frottez les mains très intensément durant plusieurs secondes, et quelques fumées s'échappent... Rebelote, une deuxième fois et... Une petite flamme, sur l'index, très brève, elle s'éteint presque instantanément. Après plusieurs minutes à répéter les mêmes mouvements, une mini boule de feu est au centre de votre main, étrangement, la chaleur de la flamme ne vous fait aucun mal, au contraire, votre corps est à une température très chaude, ceci explique certainement cela.

Un pouvoir inattendu vient s'ajouter à votre collection. :bave:


1) Passer la journée du lendemain à peaufiner une boule de feu géante pour le combat contre Gilberto. :bave:

2) Passer un contrat avec Joe pour détruire l'Ordre Rouge :sournois:

3) Avancer le combat face à Gilberto pour demain, vous êtes sur de le finir maintenant :oui:

4) Remettre votre fameuse cagoule et foutre une merde pas possible dans les rues de Paris :bave:

5) Allez voir l'Ordre Rouge et frimer comme il faut, après tout, vous avez vaincu un membre de l'Ordre Doré :cool:

6) Le dire d'abord à L'Ordre Noir de Joe :(


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