D
Par : iJake
Genre : Polar , Action
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 4
Funérailles
Publié le 07/07/11 à 16:51:57 par iJake
Ne pas craindre les conséquences. Comme cela doit être relaxant, apaisant. Pouvoir se dire un jour qu’il n’y a pas de fatalité, que votre geste restera impuni. Mais même en suivant les principes que j’ai créés, en les appliquant à la lettre, et en exécutant parfaitement sa tâche, les faits vous rattrapent toujours. Dans ma croisade contre moi-même, née de la révélation de mon inhumanité, et commencée par un infanticide, je croyais avoir tout prévu. Mon histoire avait un point final, une fin inévitable, et pas d’épilogue. Dès que j’ai abaissé mon couteau, et senti la vie de mon fils s’envoler, une part de moi est morte. Libération. Ma maladie commence à disparaître.
J’ai enterré mon enfant un matin de décembre. Voyez-vous, le temps est maintenant nécessaire à mon histoire. Il pleuvait ce jour là. Des gouttes d’eau énormes qui s’abattaient sur le minuscule cercueil. Effroyable, déchirant, seraient les mots appropriés. Ai-je pleuré ? Je ne le sais sincèrement pas. Mais aussi loin qu’est implantée ma maladie, je sais que ce jour a provoqué une réelle déchirure. Mais le patient zéro était mort. J’allais pouvoir avancer.
Un éclair atterrit dans un champ voisin. Au loin, j’ai cru voir la mort dans ce blanc macabre. Elle m’indiquait ma nouvelle victime, par où continuer mon chemin, vers où me diriger, pour trouver mon point final. Mais j’avais commis une erreur.
J’ai enterré mon enfant un matin de décembre. Voyez-vous, le temps est maintenant nécessaire à mon histoire. Il pleuvait ce jour là. Des gouttes d’eau énormes qui s’abattaient sur le minuscule cercueil. Effroyable, déchirant, seraient les mots appropriés. Ai-je pleuré ? Je ne le sais sincèrement pas. Mais aussi loin qu’est implantée ma maladie, je sais que ce jour a provoqué une réelle déchirure. Mais le patient zéro était mort. J’allais pouvoir avancer.
Un éclair atterrit dans un champ voisin. Au loin, j’ai cru voir la mort dans ce blanc macabre. Elle m’indiquait ma nouvelle victime, par où continuer mon chemin, vers où me diriger, pour trouver mon point final. Mais j’avais commis une erreur.
08/07/11 à 11:16:12
On dirait les délires d'un tueur fou, et j'aime bien
08/07/11 à 00:27:00
Ca s'éclairera après, OUPAS.
07/07/11 à 20:38:31
KOM G PA COMPRI TA FIC !
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