( Derrière ce titre en mousse se cache une fic dont la premières page traine depuis quelques mois sur mon PC. Je la partage donc avec vous en espérant que vous l'appréciez afin que je puisse écrire une "sweet". Je bénirais cette fic en citant un grand philosophe de notre siécle " Cliquez! Cliquez bande de *bip*! Laissez des commentaires !" )


Partie I : L’étincelle - Juillet 2009


Chapitre 1

Ce fut au cours d’un jour en apparence ordinaire du début de l’été 2009 que le monde sombra dans le chaos. Pour Baptiste, ce fut tout d’abord un simple jour de vacances pour quelqu’un de 18 ans. Lever vers 14h après avoir passé 30 min à se retourner dans son lit, puis petit déjeuner rapidement expédié devant les habituels programmes soporifiques proposés par le petit écran. Néanmoins alors qu’il se préparait à remplir le lave vaisselle, un flash spécial débuta. Il était environ 15h30. Le journaliste, visiblement ébranlé, ne faisait visiblement que lire les communiqués qui lui avaient été préparés.

« Madame, monsieur bonsoir… euh plutôt bonjour. Il y a plusieurs minutes, la chaine a reçu un communiqué des autorités, et après que nous ayons vérifiés sa véracité, je vais vous en révéler le contenu. Il semblerait donc que les violences qui ont éclatées hier en Seine St Denis et qui ont gagnées d’autres zones d’Ile de France aujourd’hui ne soient pas dues à de simples émeutes. Au vu de nos informations, il est probable qu’une origine virale soit à privilégier. Un élément à l’heure actuelle inconnu, aurait fait perdre la raison à une partie des habitants, et déclenché chez eux des pulsions homicides. De plus, de semblables explosions de violences semblent être signalées dans d’autres métropoles mondiales, notamment New York, Seattle, New Dehli, Tokyo et Istanbul... En fait, selon nos dernières informations, il est probable que des pareils incidents éclatent un peu partout dans le pays et dans le monde. Nous rejoignons notre correspondant sur place … »

Changement de décor. Un journaliste se tient entre des barres d’immeuble et des carcasses de voiture. La scène classique. Néanmoins, l’agitation des CRS qui l’entouraient signalait qu’une chose étrange se passait. « Oui, j’assiste en ce moment à des scènes atroces. Les « contaminés » puisque c’est comme cela qu’il faut les appeler, errent dans les rues, et s’attaque à la moindre personne passant à leur portée. J’ai vu des lambeaux de chair arrachées à même les corps agités de convulsions de passants innocents. Il y quelques instant, la police a été forcée d’ouvrir le feu pour dégager la rue dans laquelle je me trouve, mais j’ai vu plusieurs de ces choses encaisser plusieurs coups de feu et continuer à progresser. Il ne fait aucun doutes que les forces de l’ordre risquent d’être rapidement submergés par le nombre d’assaillants et… »

Retour aux studios de la chaine. « Désolé d’avoir du interrompre cette intervention, mais le président va s’adresser à la nation. » Comme d’habitude, les premières notes de la Marseillaise retentirent, puis le président apparu, visiblement encore plus nerveux qu’a son habitude. « Françaises, français, nous avons affaire à une crise sans précédent dans l’histoire de notre nation. J’ai en ma possessions de rapports indiquant que des incidents, d’une origine indéterminée, mais probablement dus à un virus, éclatent un peu partout sur la planète. Néanmoins, il est nécessaire d’agir avec calme et de garder la tête froide. Restez chez vous et ne paniquez pas. Si vous estimez que votre domicile n’est pas sur, rejoignez le centre d’urgence le plus proche de chez vous. La liste de ces centres vous sera communiquée ultérieurement. C’est avec la plus grande résolution que j’affronterais cette crise, et je vais soumettre à l’assemblé nationale une série de mesures établies en collaboration avec nos alliés qui, je l’espère, permettront de la résoudre dans les plus bref délais :
1) La loi martiale est déclarée sur l’ensemble du territoire de la République Française.
2) Toutes les ressources de l’état vont être mobilisées pour lutter contre le fléau qui accable actuellement notre nation.
3) Si ces troubles persistent, l’armée sera mandatée pour maintenir l’ordre dans les villes… »



( Au passage désolé pour les éventuelles fotes dortografe )