New-Zombie
Par : John
Genre : Horreur , Action
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 5
Publié le 28/02/11 à 21:05:09 par John
Vergil leva la tête lentement et plongea son regard dans celui de son ennemi. Le zombie fit quelques pas en avant, trainant son pied derrière le soleil qui commençait à se coucher laissant place aux nuages qui devenait de plus en plus rose. Le mort-vivant fit un faux pas, en fait il avait enfoncé sa jambe amputé du pied dans un minuscule troue. Le bout de sa jambe resta coincé. Le malheureux entoura sur le champ son genoux avec ses deux mains pour tenter de retirer son membre du troue. Il tira de plus en plus fort mais en vain. Serrant le peu de dents qui lui restait, le zombie regroupa ses misérables forces dans ses bras pour se décoincer. Vergil n’attendit deux heures pour agir, il fit un léger bond en avant et décocha un formidable direct. Le poing du héros s’écrasa contre la figure déjà déformé du revenant. Cela résolut deux problèmes en même temps, le zombie se décoinça aussitôt après avoir subit l’attaque avant de partir en arrière sous la force de Vergil. Débarrassé du zombie qui ne semblait plus vouloir se relever, notre hors-la-loi contourna le cadavre vert gisant et sortit du jardin complètement asséché en passant par la petite porte. Le village était complètement désert, pas un chat, pas un zombie, pas de véhicule rien. Tout était complètement dévasté. On pourrait croire qu’une bombe venait d’exploser ici. A première vue, on pourrait croire a un bidonville africain… les maisons étaient construit avec des planches de bois, des tôles de fer et des bidons flambait comme ceux des clochards a différents endroit. Aucun fenêtre ornait les pauvres habitations, ceux qui vivaient ici devait se contenter d’une troue dans le mur pour permettre a la lumière de les rejoindre. Le ciel devenu maintenant noir, était orné d’étoiles qui jouaient entre elles dans un mouvement ininterrompu. Vergil releva la tête et constata que la nuit était tombée. Des zombies allaient sûrement revenir pour tenter de le bouffer, il ne fallait pas rester ici au milieu de tout ces revenants d’outre-tombe. Vergil s’arma de patiente et s’aventura dans ce village en essayant de trouver un chemin vers une civilisation correct et s’y possible un réveil a ce cauchemar.
La voiture grise se fondant parfaitement dans les forêts du Canada roulait sur une route boueuse. Le ciel était complètement bleu sans aucuns nuages. Le temps était parfait mais les récents événements ne l’étaient pas tout à fait. D’après les derniers renseignements, des montres horribles étaient apparus dans un petit village a l’écart du monde perché dans une colline entourée d’érables. C’était encore une petit rumeur, mais les choses devaient ses confirmer. Des monstres, v’la autre chose. Ces trucs là n’était censé être présent que dans des films, des contes pour enfants, des jeux vidéos mais la réalité ne pouvait abriter de tel créatures. Dans la voiture grise, il y avait trois personnes, deux devant et un sur la banquette arrière. Celui assis seul était l’agent Steve Silver. Envoyé par le président des USA en personne, ce dernier voulant avoir le cœur net sur les rumeurs des zombies. Les deux malabars devant n’étaient qu’une sorte d’escorte qui conduisait Steve vers son but, le village aux zombies.
« Les gars. Je compte sur vous pour m’amener le plus près possible de ce bled
-T’inquiète, ils ne nous font pas peur les montres répondit le conducteur avec une voix grave
-T’a peur des morts-vivants ? Demanda l’autre bonhomme
-Non Drake. Sinon je ne serais pas ici. Au fait, le Président m’a chargé de vous dire que vous avez une tâche en plus à faire pour finir la mission, expliqua Steve
-C’est quoi ? Demanda Drake.
-En fait, le gouvernement a choppé un hors la loi a Montréal. Sûrement un tueur a gages ou un autre truc dans le genre et donc on va s’en servir comme appât. Quand je serais entré dans ce foutu bled, vous allez le chercher, il est ligoté dans un vieux cabanon pas loin de notre destination, vous le balancez dans le village et puis si les morts-vivants sortent pour le bouffer, vous prévenez tout de suite le patron.
-Bah, ce n’est pas difficile. On va bien rigoler admit Drake en gloussant d’avance.
-Ce n’est pas un jeu Drake reprit Steve. »
Tout le monde se tût. Quelques heures passèrent, le soleil commençait à se coucher, les étoiles apparaissaient au fur et a mesure. Les nuages devenaient orangés et le froid de la nuit s’installait. La voiture s’arrêta devant une clôture ouverte où un panneau « STOP » régnait à proximité.
« Terminus. On a encore un mongolien à jeter nous. Aboya le conducteur.
-D’accord. C’est bon. »
Steve sortit de la voiture après avoir ouvert la portière. Son regard croisa celui du ciel. Au loin, deux étoiles le contemplaient. Steve eut un petit sourire avant de dégainer son pistolet de son étui accroché à sa ceinture. Une légère brise se leva, caressant les cheveux de Steve qui volaient au vent. L’agent spécial regarda la voiture grise s’en aller, se fondre dans les ténèbres de l’obscurité et enfin de disparaitre. Steve ouvrit sa veste en cuir, dans la doublure étaient entreposé une dizaine d’objets retenus par divers poches. Le couteau suisse humain prit sa lampe torche de sa main droite et éclaira un peu son passage. Il franchit la clôture et passa devant le panneau « STOP ». Quand aux zombies, ils s’armaient de patiente pour frapper au moment le plus adapté. Deux proies, ça ne se refuse pas.
La voiture grise se fondant parfaitement dans les forêts du Canada roulait sur une route boueuse. Le ciel était complètement bleu sans aucuns nuages. Le temps était parfait mais les récents événements ne l’étaient pas tout à fait. D’après les derniers renseignements, des montres horribles étaient apparus dans un petit village a l’écart du monde perché dans une colline entourée d’érables. C’était encore une petit rumeur, mais les choses devaient ses confirmer. Des monstres, v’la autre chose. Ces trucs là n’était censé être présent que dans des films, des contes pour enfants, des jeux vidéos mais la réalité ne pouvait abriter de tel créatures. Dans la voiture grise, il y avait trois personnes, deux devant et un sur la banquette arrière. Celui assis seul était l’agent Steve Silver. Envoyé par le président des USA en personne, ce dernier voulant avoir le cœur net sur les rumeurs des zombies. Les deux malabars devant n’étaient qu’une sorte d’escorte qui conduisait Steve vers son but, le village aux zombies.
« Les gars. Je compte sur vous pour m’amener le plus près possible de ce bled
-T’inquiète, ils ne nous font pas peur les montres répondit le conducteur avec une voix grave
-T’a peur des morts-vivants ? Demanda l’autre bonhomme
-Non Drake. Sinon je ne serais pas ici. Au fait, le Président m’a chargé de vous dire que vous avez une tâche en plus à faire pour finir la mission, expliqua Steve
-C’est quoi ? Demanda Drake.
-En fait, le gouvernement a choppé un hors la loi a Montréal. Sûrement un tueur a gages ou un autre truc dans le genre et donc on va s’en servir comme appât. Quand je serais entré dans ce foutu bled, vous allez le chercher, il est ligoté dans un vieux cabanon pas loin de notre destination, vous le balancez dans le village et puis si les morts-vivants sortent pour le bouffer, vous prévenez tout de suite le patron.
-Bah, ce n’est pas difficile. On va bien rigoler admit Drake en gloussant d’avance.
-Ce n’est pas un jeu Drake reprit Steve. »
Tout le monde se tût. Quelques heures passèrent, le soleil commençait à se coucher, les étoiles apparaissaient au fur et a mesure. Les nuages devenaient orangés et le froid de la nuit s’installait. La voiture s’arrêta devant une clôture ouverte où un panneau « STOP » régnait à proximité.
« Terminus. On a encore un mongolien à jeter nous. Aboya le conducteur.
-D’accord. C’est bon. »
Steve sortit de la voiture après avoir ouvert la portière. Son regard croisa celui du ciel. Au loin, deux étoiles le contemplaient. Steve eut un petit sourire avant de dégainer son pistolet de son étui accroché à sa ceinture. Une légère brise se leva, caressant les cheveux de Steve qui volaient au vent. L’agent spécial regarda la voiture grise s’en aller, se fondre dans les ténèbres de l’obscurité et enfin de disparaitre. Steve ouvrit sa veste en cuir, dans la doublure étaient entreposé une dizaine d’objets retenus par divers poches. Le couteau suisse humain prit sa lampe torche de sa main droite et éclaira un peu son passage. Il franchit la clôture et passa devant le panneau « STOP ». Quand aux zombies, ils s’armaient de patiente pour frapper au moment le plus adapté. Deux proies, ça ne se refuse pas.
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