New-Zombie
Par : John
Genre : Horreur , Action
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 2
Publié le 23/02/11 à 16:57:50 par John
John, car c’était son prénom, descendit la pente de sa colline rapidement en sautant par-dessus les divers obstacles devant son chemin tel que les pierres, vielles clôtures délabrés ou des plantes diverses. Après avoir glissé et s’être rattrapé a une branche. Il s’arrêta un moment pour tendre l’oreille et se plaqua tout de suite après a plat ventre contre le sol boueux. Un énorme grognement retenti dans toute la vallée, on aurait dit un cri de souffrance comme si quelqu’un se faisait torturer mais ce n’était nullement un cri d’appel au secours. Juste un bruit qui faisait froid dans le dos. Les monstrueux bruits recommencèrent puis cessèrent et le silence revint hanter les lieux.
John se releva en s’agrippant à une branche d’arbre dont le bois était trop humide et crasseux. Une fois debout, il continua de dévaler la pente mais beaucoup plus lentement et avec plus de prudence. Pieces et sa famille lui manquait beaucoup trop pour s’éterniser ici mais même si il voyait toute la ville, la distance qui le séparait de ses proches semblait de plus en plus longue. Après avoir fait quelques pas, il s’arrêta croyant entendre encore un de ces horrible cri. Mais ce n’était qu’une fausse alerte et il continua son chemin. Plusieurs minutes passèrent à marcher vers Pieces et il arriva enfin devant la route qui bordait une zone d’herbe a proximité de la colline dévalé par John. Il marcha a travers la route passant a coté des lampadaires vide de lumière, des distributeurs de journaux sans aucun document a l’intérieur ; des poubelles renversés ; des kiosques ouvert, les magazines encore posés sur les étalages mais aucun personne pour y veiller. John jeta un regard autour de lui après avoir parcouru quelques mètres dans Pieces. Il remarqua que son appartement n’était pas très loin de lui, après avoir passé la tête pour le voir dépasser d’un plus gros bâtiment, il marcha seul dans la nuit, la pluie était passé et les conditions de sa marche s’étaient un peu amélioré. Arrivé vers la porte du bâtiment, il cru apercevoir une ombre loin dans l’obscurité de la rue qui longeait son appartement. Une silhouette le contempla un moment, l’univers glauque de la soirée montait en intensité. Puis l’ombre disparut dans les ténèbres si soudainement apparut. John secoua la tête, se persuadant que ce n’était qu’une pauvre hallucination. Il ouvrit la porte et grimpa les marches quatre a quatre dans la hâte de revoir sa famille. Dans le couloir, il manqua de se cogner la tête contre le plafond légèrement baissé après les escaliers pour une question d’esthétique. Devant la porte de sa chambre, il ouvrit la porte et enleva tout de suite son blouson en cuir marron clair.
« Chéri ? Je suis rentré. »
Aucune réponse. John fit quelques pas dans le hall d’entrée. Les murs beige foncés semblaient se fondre dans l’ambiance générale tandis que les autres portes des couloirs fermés donnaient une envie de croire qu’une inactivité longue s’était installée dans l’appartement.
« Lara ? Tu es là ? Ma petite Aurore … ? »
Toujours pas de réponses. Il entra dans le salon quand son cœur fit un bond dans sa poitrine, devant lui se tenait sa femme et sa fille qui le regardait d’un air inquiet. Quand sa moitié le vit, elle se leva tout de suite pour le voir
« John ! Tu es en vie ! Je te croyais mort.
-Sympa a entendre, je ne suis partit que depuis ce matin.
-Mais pourquoi tu reviens si tard ? Demanda t-elle »
Restant encore dans une zone sombre de la pièce, John continua la conversation
« Un incident vers 4h de l’après-midi. La foudre et les loups m’ont obligé de ma cacher et d’attendre la fin de ce temps pourri.
-Oh je suis vraiment désolé. Répondit t-elle avec un soupçon de peur dans sa voix
-Je te crois répondit John qui avait sentit ce détails. Et ma fille elle va bien ? »
La gamine pas plus âgée que 7 ans, des couettes sur la tête, un visage d’ange qui laissait apercevoir une pureté absolue en elle, le regarda sans bouger.
« Hé bien ? Que se passe t-il ?
-On pensait que tu étais mort répondit la petite avec une voix aigu.
-Oh ! Aurore je suis désolé mais j’ai dû attendre un petit peu avant de revenir ici. Tu as compris ?
-Oui Papa. Répliqua t-elle en baissant la tête »
Sa femme, Lara, le regarda avec des yeux mi-clos, elle croisa les bras laissant présager que rien de bon n’allait suivre
« Tu es sûr que tu étais à la chasse ?
-Bien sûr que si ! Je le sais, c’est moi qui suis partit là-bas. Je n’étais pas avec une autre femme, je t’assure ! S’indigna t-il
-D’accord. »
Sa longue queue de cheval tressé pendait le long de son dos, son corset vert clair et son short marron lui donnait un air d’aventurière que John semblait avoir déjà ressentit autre part.
« Je vais me coucher, et toi aussi ajouta-il a l’adresse de sa fille.
-Mais papa…
-Aurore ! Va au lit s’il te plait.
-Bien »
John passa dans la lumière pour atteindre la porte de sa chambre tandis que sa fille prenait les escaliers pour monter se coucher. Son visage apparut enfin aux yeux de Lara. Une longue cicatrice ternissait son visage, une petite moustache fine se mariait impeccablement avec sa barbe de quelques jours mal rasé. Ses cheveux brun mi-longs touchaient presque ses épaules. John fit une grimace avant de monter jusqu’à son lit.
Dans sa chambre, il retira sa chemise et sa ceinture avant d’enlever son jean délavé et sale plein de boue qu’il jeta dans un coin de la pièce. Déjà que rentrer chez lui bredouille lui brouillait le morale, le fait d’être presque accusé d’adultère accentuait le tout. Il se jeta en caleçon dans son lit et s’endormit aussitôt. Sa femme ne tarda pas à le rejoindre. Enfin s’achève cette journée. La voute étoilée funeste qui se dessinait dans le ciel laissait entrevoir que des choses mystérieuse et bouleversante allait bientôt se produire.
John se releva en s’agrippant à une branche d’arbre dont le bois était trop humide et crasseux. Une fois debout, il continua de dévaler la pente mais beaucoup plus lentement et avec plus de prudence. Pieces et sa famille lui manquait beaucoup trop pour s’éterniser ici mais même si il voyait toute la ville, la distance qui le séparait de ses proches semblait de plus en plus longue. Après avoir fait quelques pas, il s’arrêta croyant entendre encore un de ces horrible cri. Mais ce n’était qu’une fausse alerte et il continua son chemin. Plusieurs minutes passèrent à marcher vers Pieces et il arriva enfin devant la route qui bordait une zone d’herbe a proximité de la colline dévalé par John. Il marcha a travers la route passant a coté des lampadaires vide de lumière, des distributeurs de journaux sans aucun document a l’intérieur ; des poubelles renversés ; des kiosques ouvert, les magazines encore posés sur les étalages mais aucun personne pour y veiller. John jeta un regard autour de lui après avoir parcouru quelques mètres dans Pieces. Il remarqua que son appartement n’était pas très loin de lui, après avoir passé la tête pour le voir dépasser d’un plus gros bâtiment, il marcha seul dans la nuit, la pluie était passé et les conditions de sa marche s’étaient un peu amélioré. Arrivé vers la porte du bâtiment, il cru apercevoir une ombre loin dans l’obscurité de la rue qui longeait son appartement. Une silhouette le contempla un moment, l’univers glauque de la soirée montait en intensité. Puis l’ombre disparut dans les ténèbres si soudainement apparut. John secoua la tête, se persuadant que ce n’était qu’une pauvre hallucination. Il ouvrit la porte et grimpa les marches quatre a quatre dans la hâte de revoir sa famille. Dans le couloir, il manqua de se cogner la tête contre le plafond légèrement baissé après les escaliers pour une question d’esthétique. Devant la porte de sa chambre, il ouvrit la porte et enleva tout de suite son blouson en cuir marron clair.
« Chéri ? Je suis rentré. »
Aucune réponse. John fit quelques pas dans le hall d’entrée. Les murs beige foncés semblaient se fondre dans l’ambiance générale tandis que les autres portes des couloirs fermés donnaient une envie de croire qu’une inactivité longue s’était installée dans l’appartement.
« Lara ? Tu es là ? Ma petite Aurore … ? »
Toujours pas de réponses. Il entra dans le salon quand son cœur fit un bond dans sa poitrine, devant lui se tenait sa femme et sa fille qui le regardait d’un air inquiet. Quand sa moitié le vit, elle se leva tout de suite pour le voir
« John ! Tu es en vie ! Je te croyais mort.
-Sympa a entendre, je ne suis partit que depuis ce matin.
-Mais pourquoi tu reviens si tard ? Demanda t-elle »
Restant encore dans une zone sombre de la pièce, John continua la conversation
« Un incident vers 4h de l’après-midi. La foudre et les loups m’ont obligé de ma cacher et d’attendre la fin de ce temps pourri.
-Oh je suis vraiment désolé. Répondit t-elle avec un soupçon de peur dans sa voix
-Je te crois répondit John qui avait sentit ce détails. Et ma fille elle va bien ? »
La gamine pas plus âgée que 7 ans, des couettes sur la tête, un visage d’ange qui laissait apercevoir une pureté absolue en elle, le regarda sans bouger.
« Hé bien ? Que se passe t-il ?
-On pensait que tu étais mort répondit la petite avec une voix aigu.
-Oh ! Aurore je suis désolé mais j’ai dû attendre un petit peu avant de revenir ici. Tu as compris ?
-Oui Papa. Répliqua t-elle en baissant la tête »
Sa femme, Lara, le regarda avec des yeux mi-clos, elle croisa les bras laissant présager que rien de bon n’allait suivre
« Tu es sûr que tu étais à la chasse ?
-Bien sûr que si ! Je le sais, c’est moi qui suis partit là-bas. Je n’étais pas avec une autre femme, je t’assure ! S’indigna t-il
-D’accord. »
Sa longue queue de cheval tressé pendait le long de son dos, son corset vert clair et son short marron lui donnait un air d’aventurière que John semblait avoir déjà ressentit autre part.
« Je vais me coucher, et toi aussi ajouta-il a l’adresse de sa fille.
-Mais papa…
-Aurore ! Va au lit s’il te plait.
-Bien »
John passa dans la lumière pour atteindre la porte de sa chambre tandis que sa fille prenait les escaliers pour monter se coucher. Son visage apparut enfin aux yeux de Lara. Une longue cicatrice ternissait son visage, une petite moustache fine se mariait impeccablement avec sa barbe de quelques jours mal rasé. Ses cheveux brun mi-longs touchaient presque ses épaules. John fit une grimace avant de monter jusqu’à son lit.
Dans sa chambre, il retira sa chemise et sa ceinture avant d’enlever son jean délavé et sale plein de boue qu’il jeta dans un coin de la pièce. Déjà que rentrer chez lui bredouille lui brouillait le morale, le fait d’être presque accusé d’adultère accentuait le tout. Il se jeta en caleçon dans son lit et s’endormit aussitôt. Sa femme ne tarda pas à le rejoindre. Enfin s’achève cette journée. La voute étoilée funeste qui se dessinait dans le ciel laissait entrevoir que des choses mystérieuse et bouleversante allait bientôt se produire.
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