C´était en Eté. Ma mère était au grillade et mon père réparé les tuiles sur le toit. Ma petite sœur jouait avec le chien dans l´herbe. J´était en train de jouer au basket seul. Le soleil brillait. Les oiseaux passait a ras du sol. y´a pas a dire c´était un après-midi magnifique.BAM! Ma sœur se jeta sur moi comme un tigre. Ses mains me plaquèrent a terre et je ne pouvais plus bouger. Ses yeux rouge sang se rapprochèrent de mon visage. Elle riait, d´un rire qui me terrifiait le sang. Puis elle cessa de rire se posa a moins de 5 cm de ma bouche et me dis d´une voix sombre et puissante:
"Sauve-moi!"Et elle me mordu.
FWOMP
Je me réveilla en sursaut. J´avais rêvé ou un bruit avait retentit dans la chambre d´a côté?
Je m´étais endormi peu après que les monstres soient partis. Je m´étais allongés dans mon lit et m´était assoupi directement. Mais ce bruit m´avait réveillé en sursaut. Je me levai en nage et ramassa le tuyau pour me rendre dans la chambre. J´ouvris la porte. Rien. Juste le fruit de mon imagination. Il faisait nuit. Encore. Je ne comprenais pas quand je mettais endormi, il faisait nuit, comment la nuit peut durer aussi longtemps? Je me rendis soudain compte que la faim me tenaillait le ventre. J´allai a la cuisine pour aller me servir et j´ouvris les tiroir. Et merde! Vide. Plus rien, pas d´eau, pas de nourriture, ils avaient tous bouffés avant. Putain, depuis combien de temps j´étais dans ce labo?
Le seul moyen était l´épicerie d´en bas. A 500 mètres se trouve l´épicerie et a mi chemin, une armurerie. Je ne sais pas ou je trouvais le courage mais je descendit les marches de l´immeuble le tuyau a la main. J´arrivais dans le hall. Vide, il n´y avait personne. J´ouvris la porte d´entrée et sortis doucement. Le calme régnait encore, les cris et bruit de pas des monstres avaient disparus. Je me dirigeais vers l´armurerie, ce serais toujours mieux qu´un tuyaux. Arrivais a la porte, je l´ouvris doucement mais le grincement strident me fit sursauter. Merde si il l´avais entendu? Je devais me dépêcher. Je rentra alors dans cet endroit sombre mais remplit d´arme. je fis d´abord un tour mais il n´y avait personne. Je me rendis au rayon des armes. Je pris d´abord un grand sac a dos et une grosse banane ventrale. Je ramassa trois grenades et quatre fusée éclairante et les rangea dans la banane. Je me mis dans des étuis ,que je mettais accrochés autour de la taille, un désert eagle et un 9mm avec silencieux que je rangea dans la banane. Sur le dos je m´accrocha avec divers outils un fusil a pompe et sur le bassin droit, un AK-47. Dans le sac a dos je mis un uzi et je le rempli ensuite de toutes les munitions possible des armes que j´avais. Une fois rempli je le referma et me l´accrocha sur le dos. Pour finir je pris un couteau de combat sur le côté du pantalon. Je sortis ensuite, plus rassuré par le 9mm que j´avais dans la main que le tuyau. Je me rendis donc a l´épicerie avec un grand sac de sport trouvé dans l´armurerie. Aucune présence. Je rentra a l´intérieure et remplis le sac. Il était presque plein de nourriture et boisson quand une ombre passa devant la vitre. Je me relevai presque instantanément. Je referma le sac et sortis, l´arme a la main. Personne. Je marchai doucement, aucun bruit, le silence était lourd. J´avais chaud mais la nourriture et les boissons dans le sac me rassurais. le cri qui s´éleva alors dans les airs un peu moins. Je me retourna et vis des dizaines de monstres sortirent des coin de rue et coururent vers moi. Même l´arme a la main je ne me sentis pas le courage de les affronter, je n´avais jamais tiré. je courus a l´appartement. Arrivé a l´entrée je poussa un cri de désespoir. Des monstre me barrai le passage. Ils me regardèrent sans bouger et s´avancèrent lentement. Je devais choisir, les dizaines de derrière ou les quatre de la.
BAM! BAM!BAM!
Les trois coup choisirent pour moi. Le premier des quatres tomba a terre et les autres se jettérent sur moi. Je tirai sans m"arrêter et deux autres tombèrent a terre. Le quatrième et dernier s´arrêta et me regarda semblant comprendre qu´il était perdus. Les autres se rapprochaient. Aucune pitié.
CLIC!
Merde, vide. Il se jeta sur moi et me plaqua a terre. SA bouche bougeait dans tous les sens en essayant de me mordre. De la bave dégoulinait et des morceaux de chair était coincés dans ses dents. Il criait et un sentiment d´horreur et de peur me pétrifiait. Je pris le couteau, conscient que les autres se rapprochait de plus en plus. Et un coup suffit, dans la tempe droite. Il s´arrêta net et poussa un dernier cri et tomba sur le côté. Je ramassais le couteau et me retourna pour voir les autres. Ils se mirent a courir plus vite et des cri de rage fusérent de tous les côtés. Il semblait avoir compris ce que j´avais fait. Je courus en haut de l´immeuble et avant lâchai une grenade dans le hall. Je montait les escalier rapidement, je n´avais que cinq seconde. En cinq seconde ils eurent le temps de rentrer dans le hall. L´explosion me creva les timpant. Un bourdonnement résonnait tandis que je contemplait le hall en feu. Merde, d´autre arrivais. Je me relevais tant bien que mal et monta maladroitement les marches. Je rentrais dans l´appart et ferma la porte a double tour. Ils frappèrent a la porte mais partirent peu de temps après. Et je me rendormi..