Mon embrouille avec des Weshs
Par : Pseudo-colector
Genre : No-Fake
Status : Terminée
Note :
Chapitre 5
Chapitre 5
Publié le 30/08/10 à 04:37:50 par Pseudo-colector
Récapitulatif :
Trois potes et moi, face à 10 weshs, qui nous demandent l’heure pour la deuxième fois. Juste devant le commissariat fermé pour la nuit. Le détail non négligeable aux quels les weshs n’ont pas pensé est que nous sommes sous l’œil attentifs de deux caméra en angle croisé. J’espère fortement qu’elles sont enregistrées et non pas uniquement utilisées à des fin persuasives et de surveillance en direct.
La suite :
Voilà, 10 weshs en face de nous, certains plus proches que d’autres. Entouré de trois de mes potes, sous les caméra du commissariat. Un des weshs nous redemande l’heure, pour la deuxième fois.
Wesh : « HE TA PA LEUR STEUPL2 »
Moi : « Si je l’ai dit à ton pote tout à l’heure, il est environ 22h45 »
Wesh 2 : « Bn AZY AZY FINI DRIGOL2 LA SORT2 TT CKE VS AVE DS VO PCHE »
Mes potes et moi : « »
C’est là que c’est partit en sucette, on n’a pas eu le choix. On a pris nos couilles à deux mains. On voulait absolument faire tomber ces merdes ! Alors on a foncé dans le tas, pour qu’ils se fassent arrêter grâce aux caméras. J’ai lancé le truc avec un crochet de toutes mes forces, en soufflant et contractant bien tout les muscles pour donner un maximum de puissance comme je l’ai appris. Direct dans le premier wesh qui nous avait parlé. Aidé de mon « poing américain » fais maison avec mes clefs. Le truc aux quels je n’avais pas pensé, c’est que ce n’était pas facile à tenir en place. Résultat, j’ai instantanément eu une douleur de chien dans une de mes métacarpe. Probablement à cause des clefs .. Résultat, ma main était hors-service. Ca a au moins eu le mérite de le faire tomber à terre. C’est au moment où j’ai tout compris que j’en aie pris une direct dans l’œil. Ce qui m’a fais bien reculer et me cogner au mur, derrière moi.
Pour ce qui est de la baston, je ne pourrais pas vous donner beaucoup plus de détails, à pars que j’ai vraiment pas géré comme je l’aurais pensé et que les trois autres ce sont vraiment bien démerdé. Mais pas suffisamment, il était plus de deux fois notre nombre. On a quand même réussis à se leveur à peu près tous en même temps. C’était grâce à certains des wesh, en quelques sortes. Car en faite, deux d’entres eux dont la fille étaient resté en dehors de tout ça.
Moi : « Courrez ! »
Et mes potes et moi nous mirent à courir comme jamais. C’est dans ces moments la qu’on regrette d’avoir sécher la majorité des cours d’endurance au lycée. On a tous courût vers le centre du centre ville et une fois au carrefour, on s’est séparés en trois « groupes ». Reivilo et Eniotna on continués tout droit, dans la grande montée qui va vers notre lieu de résidence à tous : « Le coteau ». Le problème pour eux, c’est que comme dit au dessus, c’est une grande montée, ce n’est donc pas facile de les semer, quasiment aucune intersection, la merde quoi. Pour ma pars, je suis partit à droite, vers le stade. Soilets lui, est partit à gauche, vers le cinéma.
Les weshs, sur le coup, n’ont pas eu l’intelligence de se séparer (Forte heureusement d’ailleurs). Ils ont tous poursuivis le groupe de deux. Soilets et moi étions hors de causes. On a donc rejoint la maison d’Eniotna comme convenue. Ce n’était pas bien loin du centre ville : 7minutes en marchant. Sauf qu’on s’était éloigné, à vouloir semer les weshs. J’ai donc envoyer un sms à tout le monde, caché dans un jardin. « Rendez-vous comme convenu chez Eniotna ». En espérant que personne ne ce soit fait chopper, et que les weshs n’interceptent pas le message …
Trois potes et moi, face à 10 weshs, qui nous demandent l’heure pour la deuxième fois. Juste devant le commissariat fermé pour la nuit. Le détail non négligeable aux quels les weshs n’ont pas pensé est que nous sommes sous l’œil attentifs de deux caméra en angle croisé. J’espère fortement qu’elles sont enregistrées et non pas uniquement utilisées à des fin persuasives et de surveillance en direct.
La suite :
Voilà, 10 weshs en face de nous, certains plus proches que d’autres. Entouré de trois de mes potes, sous les caméra du commissariat. Un des weshs nous redemande l’heure, pour la deuxième fois.
Wesh : « HE TA PA LEUR STEUPL2 »
Moi : « Si je l’ai dit à ton pote tout à l’heure, il est environ 22h45 »
Wesh 2 : « Bn AZY AZY FINI DRIGOL2 LA SORT2 TT CKE VS AVE DS VO PCHE »
Mes potes et moi : « »
C’est là que c’est partit en sucette, on n’a pas eu le choix. On a pris nos couilles à deux mains. On voulait absolument faire tomber ces merdes ! Alors on a foncé dans le tas, pour qu’ils se fassent arrêter grâce aux caméras. J’ai lancé le truc avec un crochet de toutes mes forces, en soufflant et contractant bien tout les muscles pour donner un maximum de puissance comme je l’ai appris. Direct dans le premier wesh qui nous avait parlé. Aidé de mon « poing américain » fais maison avec mes clefs. Le truc aux quels je n’avais pas pensé, c’est que ce n’était pas facile à tenir en place. Résultat, j’ai instantanément eu une douleur de chien dans une de mes métacarpe. Probablement à cause des clefs .. Résultat, ma main était hors-service. Ca a au moins eu le mérite de le faire tomber à terre. C’est au moment où j’ai tout compris que j’en aie pris une direct dans l’œil. Ce qui m’a fais bien reculer et me cogner au mur, derrière moi.
Pour ce qui est de la baston, je ne pourrais pas vous donner beaucoup plus de détails, à pars que j’ai vraiment pas géré comme je l’aurais pensé et que les trois autres ce sont vraiment bien démerdé. Mais pas suffisamment, il était plus de deux fois notre nombre. On a quand même réussis à se leveur à peu près tous en même temps. C’était grâce à certains des wesh, en quelques sortes. Car en faite, deux d’entres eux dont la fille étaient resté en dehors de tout ça.
Moi : « Courrez ! »
Et mes potes et moi nous mirent à courir comme jamais. C’est dans ces moments la qu’on regrette d’avoir sécher la majorité des cours d’endurance au lycée. On a tous courût vers le centre du centre ville et une fois au carrefour, on s’est séparés en trois « groupes ». Reivilo et Eniotna on continués tout droit, dans la grande montée qui va vers notre lieu de résidence à tous : « Le coteau ». Le problème pour eux, c’est que comme dit au dessus, c’est une grande montée, ce n’est donc pas facile de les semer, quasiment aucune intersection, la merde quoi. Pour ma pars, je suis partit à droite, vers le stade. Soilets lui, est partit à gauche, vers le cinéma.
Les weshs, sur le coup, n’ont pas eu l’intelligence de se séparer (Forte heureusement d’ailleurs). Ils ont tous poursuivis le groupe de deux. Soilets et moi étions hors de causes. On a donc rejoint la maison d’Eniotna comme convenue. Ce n’était pas bien loin du centre ville : 7minutes en marchant. Sauf qu’on s’était éloigné, à vouloir semer les weshs. J’ai donc envoyer un sms à tout le monde, caché dans un jardin. « Rendez-vous comme convenu chez Eniotna ». En espérant que personne ne ce soit fait chopper, et que les weshs n’interceptent pas le message …
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