<h1>Noelfic</h1>

Zombie Hunter


Par : Calmacil

Genre : Horreur

Status : Terminée

Note :


Chapitre 17

Dark Mamadou 1/2

Publié le 25/05/10 à 19:13:24 par Calmacil

« Comment ? S'écria Nyla. Vous pensez que je suis capable de faire ça ?
-Parfaitement, répondit Karl avec un sourire confiant. Tu n'as qu'une chose à faire : lire ce qui est indiqué sur l'écran et le retranscrire à tes amis. Ne t'en fais pas, tu n'auras que Vector, Marcel, Zero et Léon sur ta ligne. Les autres responsables de communication auront chacun cinq soldats à informer, alors ne te plaint pas ! Et puis, n'oublie pas que c'est toujours Marshall qui donne les ordres sur le terrain. Toi tu auras juste à indiquer les positions des ennemis et éventuellement d'autres trucs.
-Et... vous pensez pas qu'en vous aidant dans le laboratoire je vous serait plus utile ?
-C'est embarrassant, comment dire... Je crois que tu n'as pas 0,01 pour cent de ce qui est nécessaire pour nous aider. Mais ne t'en fais pas, ton job est plus utile qu'il en a l'air, et si tu sais bien manier les ordinateurs, comme tu me l'as dit, alors ça me va.
-Et Evy, elle fera quoi ?
-Quelque chose qui n'a rien à voir. Elle est la meilleure technicienne que nous avons pour le moment, et elle répare le matériel endommagé de la nuit dernière. Fais ce que tu veux à présent, essaie de dormir, parce qu'il n'y aura pas de répit quand les hommes de terrain partiront en mission. »
Elle quitta la l'immense salle de communication, où se trouvaient un nombre astronomique d'ordinateurs et de personnel.

Le voyage s'était bien passé. Léon, Marcel et Vector s'étaient liés d'amitié avec Luke, et avaient constatés que Zero était très réservé. Il restait toujours dans son coin, entamant des longues méditations, discutant rarement avec les autres, et jamais de son passé.
L'escale au Caire avait été très brève. Le groupe avait constaté que la capitale était entourée d'un immense mur protégé et entouré par des petites hordes de zombies. Ils avaient dû repartir en vitesse, car le temps pressait de plus en plus. Ils étaient arrivés à Dakar six heures plus tard. Durant le trajet, tous avaient eu le temps de réfléchir, ce qui avait empêché certains de dormir.
Léon, Marcel, Zero et Vector s'étaient séparés de Luke, et étaient allés dans leur brigade respective. Ils avaient reçu comme prévu leurs armes, des lunettes de vision nocturne puissante, un kit de premier soin et oreillettes sans fil, permettant de recevoir les ordres. Ils avaient conservé leurs Katanas, accrochés au côté de leur autres armes, dans leur dos.
Ils étaient bien évidemment dans la troupe qui irait sur le terrain, et avaient embarqué dans un des camions. Comme prévu, ils quittèrent immédiatement l'aéroport, à la recherche d'une zone où proliféraient anormalement les monstres.
En regardant par la fenêtre, Léon s'aperçut qu'il ne restait qu'une petite partie de la ville qui était encore protégée des zombies : les alentours de l'aéroport. Partout ailleurs, la ville était vide, dévastée, les magasins avaient été pillés et quelques zombies erraient dans les rues, à la recherche de nourriture humaine. Il était tard, aux alentours de dix-huit heures, et les ombres envahissaient la ville.
La lune, qui était pleine, ne diffusait aucune lumière car de lourds nuages noirs s'étaient accumulés dans le ciel.
Marcel se tenait la tête dans ses mains.

Et Nyla attendait dans son fauteuil, en attendant le début de la mission, où elle pourrait entrer en contact avec Zéro, Marcel, Vector et Léon.

Tous attendaient en silence, le moment où un camion lancerait le signal. Au bout d'une heure, ils avaient parcouru cent-vingt kilomètres dans la rase compagne Africaine. C'est alors qu'ils entendirent un signal dans leurs écouteurs, indiquant qu'ils s'allumaient.
« Le camion numéro cinq a repéré un attroupement plus gros de zombies. Dirigez-vous vers lui en attente d'une confirmation visuelle. »
C'était la voix de Marshall. Soudain, Marcel prit une grande inspiration et expira, comme pour se calmer. La tension montait dans le blindé, elle était palpable.
« C'est tout près ! Signala le copilote du blindé. »
Ils virèrent à droite, en direction du point vert du radar portant le numéro cinq.
« Confirmation visuelle, je répète, confirmation visuelle ! L'individu possède un cerveau démesuré rougeoyant. A toutes les unités, restez en formation en ligne et attaquez l'ennemi. Faites attention ! »
Le conducteur appuya brutalement sur l'accélérateur, et les passagers furent ballotés par le supplément de vitesse.
« Léon, Marcel, Vector et Zero, vous m'entendez ? »
Les quatre se regardèrent.
« C'est Nyla, je suis chargée de vous épingler au long de cette opération. Je suis chargée de vous transmettre des informations diverses sur votre groupe. Vous DEVEZ rester groupés !
-On est mal barrés, lança Marcel en essayant de faire retomber l'atmosphère pesante.
-Ta gueule le mioche ! Lança un soldat au fond du camion. »
Un grand silence s'ensuivit, mais qui fût brisé par Nyla.
« Camion cinq à un kilomètre. »
Le camion s'arrêta brutalement une minute plus tard.
« Pour les hommes déjà sur place : engagez le combat, je répète, engagez le combat, cria Marshall dans les écouteurs des soldats. »
Les quatre sautèrent du camion.
Ils perçurent les bruits très proches du combat.
« Bougez d'ici et allez dans le tas, leur lança Nyla. »
Se battre contre des zombies avait quelque chose d'étrange, c'était comme tirer dans un énorme blob. Aucune intelligence, une résistance incroyable. Aucune stratégie ne pouvait être mise en place : ils attaquaient les premiers qu'ils voyaient, les rendant impossible à prendre à revers.
« On va se marrer, cria Vector. »
Puis il courut en direction de l'amas d'ennemis. Zero, obéissant aux ordres de Nyla, parti le rejoindre, suivi de Léon et de Marcel. Zero prit l'arme des mains de Léon sans même le prévenir.
« Ici, c'est le cran de sûreté. Votre arme ne tirera pas si il est enclenché. Pour recharger, regardez s'il vous reste des munitions en tapant sur le chargeur ou en tirant ici. Appuyez ici pour laisser tomber de magasin, et emboîtez-en un nouveau. »
Léon et Marcel acquiescèrent.
« Les effectifs ennemis sont au nombre de cinq-cent environ. Ils sont sont tous regroupés autour de Mamadou, mais n'oubliez pas qu'il y en a toujours qui rôdent aux alentours, expliqua Nyla. »
Le combat se déroulait dans une toute petite ville délabrée par l'arrivée des zombies. Les militaires tiraient à petites rafales dans le tas, aucune complication n'était apparue étant donné que les camions arrivait petit à petit et grossissaient les effectifs.
Les zombies étaient au milieu de la rue, encerclés, avec Mamadou en leur centre.
Zéro tirait très peu mais faisait mouche à chaque fois, contrairement à Vector qui tirait avec son fusil à pompe Remigton à tout hasard, faisant simplement trébucher ses assaillants. Léon et Marcel, inexpérimentés, avaient extrêmement de mal à compenser le recul de leurs armes et essayaient de s'habituer à leur maniement. Marshall avait été fou de les envoyer au combat.
« Tenez bons les gars, cria un soldat robuste, il sont cent de moins ! Vous de... »
Un larcin se fit entendre dans toute leurs oreillettes.
« Merde ! Les communications marchent plus ou quoi ? Pesta Marcel. »
Soudain, tous les soldats se ruèrent sur le sol, abandonnant tout combat.

Commentaires

Pseudo supprimé

25/05/10 à 23:31:59

Boarf, perso, j'aime bien, non pas que ce soit le top du top, m'enfin, c'est sympa, ça fait passer le temps quoi, comme tu dis, finis et essaie autre chose :ok:

naon

25/05/10 à 22:36:58

Je l'apprécie, le triple postage ne me dérange pas. Ça occupe mes longues soirées...
:(

Calmacil

25/05/10 à 20:40:05

Le triple postage finit dès demain. :noel:

Mais de toute façon elle fait un bide en général, personne l'apprécie. Enfin bon, ça m'apprendra, je vais la finir et m'essayer à un autre truc que les Zombies. :noel:

CrazyMarty

25/05/10 à 19:18:59

Si t'as pas compris que ta fic fait un beed à cause du triple postage à chaque fois, eh bien je crois que je ne peux plus rien pour toi :-( ...

Je dis pas ça méchamment.

En plus, t'as pas de bol, il y a eu tellement de fic sur les zombies que les gens doivent commencer à saturer.

Vous devez être connecté pour poster un commentaire