Jeff prend le portable en appréhendant légèrement se qu'il va se passer. Il le sait, lorsque son interlocuteur aura décroché, le chronomètre sera en marche et il ne sera plus possible de faire marche arrière. Se sera la course pour la survie.

Les sonnerie retentissent, Jeff patiente:

Inconnu: Alors sa a commencé?! Comme tu l'avais prévu?!

Jeff: Oui. Il faut qu'on se voit pour que tu me remette tout se qu'il faut. Rendez-vous au «perroquet» à «midi».

Inconnu: Entendu!

Et il raccrochèrent en même temps. Le «perroquet» et «midi» sont des codes secrets que Jeff avait mis en place et mémorisé pour l'occasion avec son complice. Le perroquet et tout simplement la place principal de la ville où il se trouve et midi est 17h00. Cela serait trop risqué de donner le lieu et l'heure du rendez-vous, autant se suicider tout de suite, et le choix de l'heure n'est pas anodin, à 17h la place est noir de monde difficile pour un ennemie de repérer les deux hommes.

D'ailleurs ces deux derniers ne se connaissent pas du tout. Étrange me direz-vous, mais en fait c'est justement se que Jeff recherchait. Leurs rencontres fut d'ailleurs très anodine, Jeff avait besoin d'un homme pour garder ces dossiers, il s'installa donc sur un banc dans un parc en analysant tout les passants pour voir lequel était le plus digne de confiance. Le killer a toujours eu un sixième sens pour ce genre de chose, c'est se qui fait sa force d'ailleurs. Jeff était donc assit sur lorsqu'il vit son complice s'approchait près du petit lac, pour donner à manger aux quelques canards présents ici depuis la construction de ce parc. Ces vêtements, malgré leurs anciennetés apparentes, témoignaient de l'importance de son travail. Cooper le regarda quelques temps avant de s'approcher et de lui adressait la parole.

Jeff: Belle journée aujourd'hui, n'est-ce pas?

Inconnu: Si l'on parle du temps, je confirme. Mais en ce qui me concerne, j'ai déjà connu mieux pour se qui est de la vie privée.

Jeff: Ah, «c'est la vie!» comme dirais l'autre, il y a des hauts et des bas.


Après quelques minutes de discussions où Jeff se renseignait plus profondément sur sa vie privée, il lui exposa son marché:

Jeff: Vous ne me connaissez que depuis à peine dix minutes, vous n'avez aucune confiance en moi et je n'ai aucune raison d'avoir confiance en vous, et pourtant, je vous confierez mes enfants si j'en avais. – L'homme surprit par cette annonce, ouvrit ses yeux en grands- Écoutez! J'ai un deal pour vous. Malgré que vous ayez aucunes raisons de l'accepter, cela pourrais vous rachetez une conscience, et des vêtements, dit-il en tendant une enveloppe contenant pas moins de 10 000 euros.

Inconnu: Euh... je sais pas trop quoi dire... enfin... c'est quel... genre de deal?

Jeff: Vous gardez ce téléphone 7/7, 24/24, 365 jours par an jusqu'à que je vous appelle. Mon coups de fil portera sur un rendez-vous que je vous donnerez en temps et en heure où vous aurez le devoir de me remettre une certaine enveloppe. Compris?

Inconnu: Euh... et si je...

Jeff: Si vous êtes en retard, vous mourez, si vous regardez à l'intérieur de l'enveloppe, vous mourez aussi, et enfin, si vous refusez, je serais dans l'obligeance de vous tuez.

Inconnu: Euh... et bien... dans ce cas là... j'accepte.

Jeff: Très bien, dit-il en remettant les enveloppes de l'argent et des documents et le portable. Ce téléphone est conçu dans l'unique but que je vous appelle, je vous remet le chargeur... ainsi que cette feuille a garder très précieusement... et voilà! Il est bien sûr évident que tout écarts concernant cette discussion vous serez fatal concernant votre santé. Je tiens également à vous prévenir qu'il ne faut jamais vous croire en sécurité si vous manquez au règlement, les murs ont des yeux et des oreilles.

Inconnu: Mais monsieur, comment vous appelez-vous?

Jeff: Cette question n'influe en aucun cas sur l'objet de votre mission.

Et le killer sortit du parc pour ne plus jamais recroisez cette homme. La feuille remise à l'homme durant leur conversation, n'est ni plus ni moins que la traduction du langage codé que Jeff utilisera lors de l'appel téléphonique.

Le plan de notre killer est amorcé, j'en connais qui vont passer un sale quart d'heure.

PS: Désolé pour les fautes si il y'en a mais ça fait depuis longtemps que j'ai pas sweeté donc je voulais faire un chapitre rapidement, j'espère quand même que ça vous plaira