La Faction
Par : julichou
Genre : Action
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 8
Publié le 09/01/10 à 11:45:20 par julichou
Un homme habillé d'un costard cravate marche avec hâte dans un long couloir. Il ouvre une porte à sa droite et entre dans la pièce. Là, une grande salle remplit d'ordinateurs avec un homme en face de chacun d'eux. Au fond de la salle, une pièce vitrée avec un bureau et un homme regardant par la fenêtre, tournant le dos à tout le monde. Ce bureau appartient sans aucun doute à cet homme, en fait c'est en quelques sortes lui le patron de tout ces hommes, il demande quelques choses, ces sujets l'exécutent. Et pour les quelques effrontés qui oseraient ne pas satisfaire ses envies, il a des arguments très convaincant comme le canon d'une arme pointé sur la tempe. Cet personne sait tout se qui se passe dans son entreprise, et en aucun cas il n'autoriserait un quelconque manque au règlement.
Le jeune employé toque à la porte, le patron lui fait signe de rentrer. Ce dernier s'approche du bureau les yeux collés à ses chaussures:
Jeune homme: Monsieur?! Nous avons la confirmation, Jeff Copper est bien mort.
Patron: Comment ça vous avez la confirmation qu'il soit mort? Dit-il surprit. Redites-moi se que je vous ai demandé de faire cette après-midi et dites moi le résultats.
Jeune homme: Hum...Cette après-midi nous avons localisé Jeff comme vous nous l'avez demandé. Nous avons réussis à le faire et en fin d'après midi nous avons envoyé notre drône qui a abattu le camion transportant notre «colis».
Patron: Vous en tirez donc comme conclusion que notre killer est mort? Sa fait combien de temps que vous travaillez pour moi? Monsieur...
Jeune homme: Je m'appelle Brian O'Conell monsieur, et ça va faire un an le mois prochain que je travaille pour vous et c'est un honneur.
Patron: Arrêtez la lèche et dites moi plutôt la difficulté du travail que je vous ai donné avec les autres killers, dit-il très calmement. Cette homme que vous pourchassez en ce moment n'est rien d'autre qu'une bête armé jusqu'au dents près à surgir dans cette pièce pour tous nous tués un par un. C'est le genre d'homme à attendre que vous vous réveillez pour que vous puissiez le voir vous tuez. Il n'a de cœur avec personne, encore moins avec nous. Alors tant qu'il reste encore une particule de son corps présente sur cette planète ne soyez jamais rassuré et regardé toujours derrière vous lorsque vous allez pisser, il serait capable de surgir derrière vous et de vous faire bouffer vos couilles. Ramenez-moi son corps sans vie et nous pourrons dire que cet homme est mort. Alors maintenant retournez travailler.
Le jeune homme choqué, avala sa salive et retourna à son poste. La tranquillité des propos de son patron lui donné envie de gerber.
Jeff arrive enfin dans cette ville. Il se dirige tout droit vers la banque. Il arrive au guichet et demande l'accès aux coffres, quelqu'un le conduit jusqu'à une salle. Au fond de celle-ci un homme assit à son bureau. Notre killer lui présente sa carte d'identité. L'homme n'en prête même pas attention et se dirige vers la chambre forte. Copper, un peu étonné, le suit. Ils arrivent tout les deux dans une salle remplit de coffre, le gardien lui fait signe de mettre son index en même temps que lui sur une petite plaque. Ceci déclenche une petite sonnerie qui indique quel est le coffre de Jeff. Le gardien le prend, le pose sur la table et s'en va. Jeff attend qu'il soit loin pour sortir la capsule qu'il avait retiré de sa cuisse. Il la presse entre son index et son pouce, une lumière jaillit et projette sur le mur une série de numéros et de lettres que Jeff s'empresse de recopier sur le clavier du coffre en espérant que cela marche.
Clic
Le code est bon, le killer ouvre délicatement le coffre. A moitié ouvert, il passe sa main à l'intérieur et appuie sur un bouton, c'était un dispositif qu'il avait mis au cas ou quelqu'un voudrait voler son coffre, si ce dernier l'ouvrait en entier, tout le contenu serait brulé. Voilà, Copper devant sa «trousse de secours», il l'avait prévu au cas où ce genre de situation arrivait. Dedans des passeport des pays les plus important, de l'argent, et flingue avec quelques chargeurs, un couteau et de loin le plus important, un portable spécial indétectable, avec un seul numéro et une adresse dedans.
Le killer ressort de la salle et retourne dans la ville à la recherche de bouffe, ça fait depuis trois jours qu'il a pas mangé et son ventre crie famine.
…
Le voilà rassasié, on va pouvoir passer aux choses sérieuses.
Le jeune employé toque à la porte, le patron lui fait signe de rentrer. Ce dernier s'approche du bureau les yeux collés à ses chaussures:
Jeune homme: Monsieur?! Nous avons la confirmation, Jeff Copper est bien mort.
Patron: Comment ça vous avez la confirmation qu'il soit mort? Dit-il surprit. Redites-moi se que je vous ai demandé de faire cette après-midi et dites moi le résultats.
Jeune homme: Hum...Cette après-midi nous avons localisé Jeff comme vous nous l'avez demandé. Nous avons réussis à le faire et en fin d'après midi nous avons envoyé notre drône qui a abattu le camion transportant notre «colis».
Patron: Vous en tirez donc comme conclusion que notre killer est mort? Sa fait combien de temps que vous travaillez pour moi? Monsieur...
Jeune homme: Je m'appelle Brian O'Conell monsieur, et ça va faire un an le mois prochain que je travaille pour vous et c'est un honneur.
Patron: Arrêtez la lèche et dites moi plutôt la difficulté du travail que je vous ai donné avec les autres killers, dit-il très calmement. Cette homme que vous pourchassez en ce moment n'est rien d'autre qu'une bête armé jusqu'au dents près à surgir dans cette pièce pour tous nous tués un par un. C'est le genre d'homme à attendre que vous vous réveillez pour que vous puissiez le voir vous tuez. Il n'a de cœur avec personne, encore moins avec nous. Alors tant qu'il reste encore une particule de son corps présente sur cette planète ne soyez jamais rassuré et regardé toujours derrière vous lorsque vous allez pisser, il serait capable de surgir derrière vous et de vous faire bouffer vos couilles. Ramenez-moi son corps sans vie et nous pourrons dire que cet homme est mort. Alors maintenant retournez travailler.
Le jeune homme choqué, avala sa salive et retourna à son poste. La tranquillité des propos de son patron lui donné envie de gerber.
Jeff arrive enfin dans cette ville. Il se dirige tout droit vers la banque. Il arrive au guichet et demande l'accès aux coffres, quelqu'un le conduit jusqu'à une salle. Au fond de celle-ci un homme assit à son bureau. Notre killer lui présente sa carte d'identité. L'homme n'en prête même pas attention et se dirige vers la chambre forte. Copper, un peu étonné, le suit. Ils arrivent tout les deux dans une salle remplit de coffre, le gardien lui fait signe de mettre son index en même temps que lui sur une petite plaque. Ceci déclenche une petite sonnerie qui indique quel est le coffre de Jeff. Le gardien le prend, le pose sur la table et s'en va. Jeff attend qu'il soit loin pour sortir la capsule qu'il avait retiré de sa cuisse. Il la presse entre son index et son pouce, une lumière jaillit et projette sur le mur une série de numéros et de lettres que Jeff s'empresse de recopier sur le clavier du coffre en espérant que cela marche.
Clic
Le code est bon, le killer ouvre délicatement le coffre. A moitié ouvert, il passe sa main à l'intérieur et appuie sur un bouton, c'était un dispositif qu'il avait mis au cas ou quelqu'un voudrait voler son coffre, si ce dernier l'ouvrait en entier, tout le contenu serait brulé. Voilà, Copper devant sa «trousse de secours», il l'avait prévu au cas où ce genre de situation arrivait. Dedans des passeport des pays les plus important, de l'argent, et flingue avec quelques chargeurs, un couteau et de loin le plus important, un portable spécial indétectable, avec un seul numéro et une adresse dedans.
Le killer ressort de la salle et retourne dans la ville à la recherche de bouffe, ça fait depuis trois jours qu'il a pas mangé et son ventre crie famine.
…
Le voilà rassasié, on va pouvoir passer aux choses sérieuses.
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