les chants d'ombre et de lumière
Par : thorkell
Genre : Fantastique
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 7
Publié le 01/01/10 à 23:47:00 par thorkell
La nuit se passa sans encombre même si quelques personnes restèrent à veillèrent. Le dragon survolant la ferme leur a fait peur et ne purent fermer l’œil de la nuit. Les voyageurs partirent le lendemain. Tout le monde fut mécontent de les voir partir aussi tôt. La journée se passa sans aucun autre évènement.
Garion jouait avec Zack maintenant de plus en plus rarement.il était devenu rival. En effet, ils passaient leurs journées à séduire la belle Aliane. Garion se balader souvent Aliane sauf lorsque Zack piquer Aliane aux yeux de Garion. En fait, en vérité la jeune Aliane prenait du plaisir à faire enragée Garion. Les jours passèrent, Garion exprimait toujours ses sentiments à son bon vieux ami Bjorn.
C’est sous ses bons conseils que Garion arrivait encore à se balader avec Aliane. Maintenant Zack restait souvent avec Hawke pour apprendre le métier de forgeron. Il avait remarqué que Aliane se promenait avec lui juste pour faire jaloux Garion. Il en avait eu marre que cette rivalité brise leur amitié. Hawke était fier de son élève. Zack avait de frêle bras, il compensait ce manque par du travail acharnée laissant aucune pensée dériver vers la belle Aliane. Garion aimait se balader avec la belle Aliane malheureusement l’hiver ne favorisé pas les balades. Il se parlait de tout et de rien durant ces moments inoubliables pour Garion.
- « Qui sont tes parents Garion ? » dit un jour Aliane
Ils étaient sur la colline entre les arbres d’une petite forêt au bord de la propriété. Garion regarda Aliane. Il ne parla pas.
- « qui a-t-il Garion ? Je te gène avec mes questions ? » Répondit précipitamment Aliane redoutant d’avoir fait du tort à Garion.
- « Non, c’est juste que je me suis souvent posé la question étant jeune mais Marie ne me disait jamais rien. » répondit garion d’une voix triste.
Aliane ne reparlât pas des parents de Garion. Ils se sentaient bien entre eux. Marie ne voyait pas d’un bon œil cette relation mais ne dit rien.
Au début du printemps Garion prit enfin son courage et demanda à Aliane lors d’une journée ensoleillé lorsqu’ils étaient encore dans la colline derrière la ferme, si elle voulait de lui, Aliane accepta en sautant au cou de Garion.
Ils s’embrassèrent longuement. Garion n’avait jamais éprouvait une sensation aussi agréable. Aliane et garion lors de leur balade désormais entre amoureux cueillait souvent des baies sauvage pour ensuite les manger, allonger dans l’herbe.
Un jour d’été, lorsque Garion rentrait dans la ferme vit qu’Aliane en sortit pour aller cueillir des baies pour le diner.
- « veux-tu de l’aide ? » demanda Garion
Alliane accepta et ensemble allèrent cueillir des baies. Ils gravirent le versant peu escarpé qui s’élevait derrière la ferme. Nous passâmes devant les impeccables ruches en paille qui bourdonnaient doucement dans la tiédeur du jour et parvinrent aux ronciers.
Aliane conduisit Garion de l’autre côté, jusqu’à son extrémité sud, où, lui dit elle, les fruits arrivaient toujours en maturité en premier. Les abeilles s’activaient là aussi, certaines à récolter le pollen des dernières fleurs, d’autres le jus des mûres qui avaient éclaté sous le soleil. Ils remplirent le panier à moitié, et puis, comme Garion tirait à lui une branche hérissée d’épines afin qu’Aliane pût en prélever les fruits de la pointe, une des butineuses se fâcha ;
Elle se précipita sur garion, s’empêtra dans ses cheveux puis dégringola dans mon col. Il lui assena une claque et jura en sentant une vive piqûre ; Garion recula du roncier en battant des mains pour chasser deux autres abeilles qui s’étaient mises à tournoyer autour de Garion en bourdonnant furieusement.
- «éloigne-toi vite ! » lui lança Aliane avant de l’attraper par la main et de l’entraîner en courant dans la pente.
Un des insectes le piqua encore derrière l’oreille avant qu’ils ne décident d’abandonner la poursuite.
- « nous avons oublié le panier là haut avec toutes les mûre. Veux tu que j’essaie d’aller le chercher ? »
- « pas tout de suite ; attend un moment qu’elles se calment. Non, ne frotte pas, l’aiguillon a dû rester dans la plaie. Laisse-moi voir. »
Garion s’assit à l’ombre d’un aulne, et elle lui fit pencher la tête pour examiner la piqûre.
- « Holà, ça enfle! Et tu as bien enfoncé l’aiguillon. Bon, ne bouge plus. »
Elle tenta de le saisir entre ses doigts ; Garion tressaillis de douleur et Aliane éclata de rire.
- « ne bouge donc pas ! Je n’arrive pas à le prendre avec les ongles ».
Aliane s’inclina sur Garion et posa sa bouche sur la blessure. Garion sentis sa langue chercher le dard sur ma peau ; elle le trouva, le pinça entre les dents et l’arracha. Elle le récupéra sur ses lèvres entre le pouce et l’index.
- « là ! Il dépassait à peine ; il y en un autre ? »
- « en bas du dos » répondit Garion, et sa voix trembla malgré lui. Elle se figea et me regarda, puis elle se tourna complètement vers lui et le dévisagea comme si elle ne l’avait pas vu depuis longtemps. D’une voix soudain altérée, elle dit :
- « enlève ta chemise ; je vais voir si je peux l’extraire. »
Garion fus pris d’une sorte d’étourdissement quand sa bouche toucha de nouveau sa peau. Elle lui montra le second aiguillon ; puis elle posa les doigts sur mon dos.
- « mon pauvre Garion… »
Garion se tourna vers elle ; il savait qu’elle l’attendait, pourtant il dut faire appel à tout son courage. Très délicatement, il l’embrassa. Il l’embrassa sur les joues, sur la gorge et enfin sur la bouche. Ses lèvres avaient le goût des mûres. Il l’embrassa et l’embrassa encore, aussi lentement que possible, tâchant d’exprimer son amour inexprimé durant toutes ces années. Il délaça son corsage et le passa par-dessus sa tête, l’offrant nu au ciel azuré de l’été. Ses seins étaient doux et lourds dans les mains Garion, et il les tenait comme deux trésors inestimables. Sa jupe glissa sur la prairie où elle se déploya comme une fleur épanouie. Il allongea son aimée dans l’herbe dense et sauvage, et il la prit doucement.
Ils restèrent quelques temps à demi assoupis, puis ils se réveillèrent alors que les ombres s’étiraient.
- « il faut rentrer ! » s’exclama Aliane
- « pas tout de suite » répondis-je.
Il l’investit à nouveau, avec toute la lenteur qu’il put supporter, et il n’avait jamais entendu de plus doux que son nom lorsqu’elle le murmura à son oreille au milieu de ses soubresauts.
Ils devinrent confus lorsque les cris de
« Garion ! Aliane » leur parvinrent.
Ils renfilèrent précipitamment leurs vêtements, et Aliane alla seule chercher leur panier de mûres. Ils se débarrassèrent des feuilles mortes et des brins d’herbes collés à leurs habits et piqués dans leurs cheveux, tout en riant à perdre d’haleine. Il l’embrassa encore une fois.
- « il faut arrêter maintenant ! » lui dit-elle d’un ton d’avertissement. Elle lui rendit son baiser avec fougue, puis lança :
- « On est là ! On arrive ! ».
ps: la carte et enfin dispo sur le premier chap! 4 heures de travail...
Garion jouait avec Zack maintenant de plus en plus rarement.il était devenu rival. En effet, ils passaient leurs journées à séduire la belle Aliane. Garion se balader souvent Aliane sauf lorsque Zack piquer Aliane aux yeux de Garion. En fait, en vérité la jeune Aliane prenait du plaisir à faire enragée Garion. Les jours passèrent, Garion exprimait toujours ses sentiments à son bon vieux ami Bjorn.
C’est sous ses bons conseils que Garion arrivait encore à se balader avec Aliane. Maintenant Zack restait souvent avec Hawke pour apprendre le métier de forgeron. Il avait remarqué que Aliane se promenait avec lui juste pour faire jaloux Garion. Il en avait eu marre que cette rivalité brise leur amitié. Hawke était fier de son élève. Zack avait de frêle bras, il compensait ce manque par du travail acharnée laissant aucune pensée dériver vers la belle Aliane. Garion aimait se balader avec la belle Aliane malheureusement l’hiver ne favorisé pas les balades. Il se parlait de tout et de rien durant ces moments inoubliables pour Garion.
- « Qui sont tes parents Garion ? » dit un jour Aliane
Ils étaient sur la colline entre les arbres d’une petite forêt au bord de la propriété. Garion regarda Aliane. Il ne parla pas.
- « qui a-t-il Garion ? Je te gène avec mes questions ? » Répondit précipitamment Aliane redoutant d’avoir fait du tort à Garion.
- « Non, c’est juste que je me suis souvent posé la question étant jeune mais Marie ne me disait jamais rien. » répondit garion d’une voix triste.
Aliane ne reparlât pas des parents de Garion. Ils se sentaient bien entre eux. Marie ne voyait pas d’un bon œil cette relation mais ne dit rien.
Au début du printemps Garion prit enfin son courage et demanda à Aliane lors d’une journée ensoleillé lorsqu’ils étaient encore dans la colline derrière la ferme, si elle voulait de lui, Aliane accepta en sautant au cou de Garion.
Ils s’embrassèrent longuement. Garion n’avait jamais éprouvait une sensation aussi agréable. Aliane et garion lors de leur balade désormais entre amoureux cueillait souvent des baies sauvage pour ensuite les manger, allonger dans l’herbe.
Un jour d’été, lorsque Garion rentrait dans la ferme vit qu’Aliane en sortit pour aller cueillir des baies pour le diner.
- « veux-tu de l’aide ? » demanda Garion
Alliane accepta et ensemble allèrent cueillir des baies. Ils gravirent le versant peu escarpé qui s’élevait derrière la ferme. Nous passâmes devant les impeccables ruches en paille qui bourdonnaient doucement dans la tiédeur du jour et parvinrent aux ronciers.
Aliane conduisit Garion de l’autre côté, jusqu’à son extrémité sud, où, lui dit elle, les fruits arrivaient toujours en maturité en premier. Les abeilles s’activaient là aussi, certaines à récolter le pollen des dernières fleurs, d’autres le jus des mûres qui avaient éclaté sous le soleil. Ils remplirent le panier à moitié, et puis, comme Garion tirait à lui une branche hérissée d’épines afin qu’Aliane pût en prélever les fruits de la pointe, une des butineuses se fâcha ;
Elle se précipita sur garion, s’empêtra dans ses cheveux puis dégringola dans mon col. Il lui assena une claque et jura en sentant une vive piqûre ; Garion recula du roncier en battant des mains pour chasser deux autres abeilles qui s’étaient mises à tournoyer autour de Garion en bourdonnant furieusement.
- «éloigne-toi vite ! » lui lança Aliane avant de l’attraper par la main et de l’entraîner en courant dans la pente.
Un des insectes le piqua encore derrière l’oreille avant qu’ils ne décident d’abandonner la poursuite.
- « nous avons oublié le panier là haut avec toutes les mûre. Veux tu que j’essaie d’aller le chercher ? »
- « pas tout de suite ; attend un moment qu’elles se calment. Non, ne frotte pas, l’aiguillon a dû rester dans la plaie. Laisse-moi voir. »
Garion s’assit à l’ombre d’un aulne, et elle lui fit pencher la tête pour examiner la piqûre.
- « Holà, ça enfle! Et tu as bien enfoncé l’aiguillon. Bon, ne bouge plus. »
Elle tenta de le saisir entre ses doigts ; Garion tressaillis de douleur et Aliane éclata de rire.
- « ne bouge donc pas ! Je n’arrive pas à le prendre avec les ongles ».
Aliane s’inclina sur Garion et posa sa bouche sur la blessure. Garion sentis sa langue chercher le dard sur ma peau ; elle le trouva, le pinça entre les dents et l’arracha. Elle le récupéra sur ses lèvres entre le pouce et l’index.
- « là ! Il dépassait à peine ; il y en un autre ? »
- « en bas du dos » répondit Garion, et sa voix trembla malgré lui. Elle se figea et me regarda, puis elle se tourna complètement vers lui et le dévisagea comme si elle ne l’avait pas vu depuis longtemps. D’une voix soudain altérée, elle dit :
- « enlève ta chemise ; je vais voir si je peux l’extraire. »
Garion fus pris d’une sorte d’étourdissement quand sa bouche toucha de nouveau sa peau. Elle lui montra le second aiguillon ; puis elle posa les doigts sur mon dos.
- « mon pauvre Garion… »
Garion se tourna vers elle ; il savait qu’elle l’attendait, pourtant il dut faire appel à tout son courage. Très délicatement, il l’embrassa. Il l’embrassa sur les joues, sur la gorge et enfin sur la bouche. Ses lèvres avaient le goût des mûres. Il l’embrassa et l’embrassa encore, aussi lentement que possible, tâchant d’exprimer son amour inexprimé durant toutes ces années. Il délaça son corsage et le passa par-dessus sa tête, l’offrant nu au ciel azuré de l’été. Ses seins étaient doux et lourds dans les mains Garion, et il les tenait comme deux trésors inestimables. Sa jupe glissa sur la prairie où elle se déploya comme une fleur épanouie. Il allongea son aimée dans l’herbe dense et sauvage, et il la prit doucement.
Ils restèrent quelques temps à demi assoupis, puis ils se réveillèrent alors que les ombres s’étiraient.
- « il faut rentrer ! » s’exclama Aliane
- « pas tout de suite » répondis-je.
Il l’investit à nouveau, avec toute la lenteur qu’il put supporter, et il n’avait jamais entendu de plus doux que son nom lorsqu’elle le murmura à son oreille au milieu de ses soubresauts.
Ils devinrent confus lorsque les cris de
« Garion ! Aliane » leur parvinrent.
Ils renfilèrent précipitamment leurs vêtements, et Aliane alla seule chercher leur panier de mûres. Ils se débarrassèrent des feuilles mortes et des brins d’herbes collés à leurs habits et piqués dans leurs cheveux, tout en riant à perdre d’haleine. Il l’embrassa encore une fois.
- « il faut arrêter maintenant ! » lui dit-elle d’un ton d’avertissement. Elle lui rendit son baiser avec fougue, puis lança :
- « On est là ! On arrive ! ».
ps: la carte et enfin dispo sur le premier chap! 4 heures de travail...
06/01/10 à 02:06:11
T'es dans un moment où les deux personnages s'expriment leur passion, quasiment une envolée lyrique, et tu termine ta phrase par "il la prit doucement" !!
C'est une histoire de moine ?
C'est pas grave si tu comprends pas.
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