Résumé de l'épisode précédent :

C'est la rentrée en dernière année pour Maxime.
Cette rentrée commence mal, en effet, deux policiers viennent le chercher.
Max restera au poste toute la journée sans savoir pourquoi.
Heureusement, il y fait la connaissance de personnes qui seront importantes pour lui.


Assis à l'arrière de la camionnette avec les autres, je savais pas quoi pensé de tout ça.

Qu'est ce qui allait m'arriver ? Nous arriver...
Pourquoi allé à Paris ?
Pourquoi les flics doivent regrouper des jeunes et les emmener dans la capital ?

Un plus, tous ceux que j'ai rencontré sont noelistes, hasard ?

Aucune idée.
En tout cas cette histoire me donne mal au ventre.
C'est surement la peur, la peur de pas savoir ce qui va m'arriver et ce qui se trame.

Entre les mains des forces de l'ordre, rien de grave devrait se produire. C'est ce que je me dit pour me rassurer.


Le véhicule s'arrête, j'ai jamais eu aussi mal au ventre.

Les portes arrière s'ouvrent brusquement. Un vieil homme pointe un fusil.


Homme- Le premier qui bouge, je lui fais un trou dedans.


------> Elite Interpol, épisode 3 : C'est quoi ce bordel ? <------



Policier- Oh c'est bon Manu ! C'est pas un transport de terroristes, baisse ce fusil !

Manu- On sait jamais ! On roule pas un vieux singe comme ça ! Je sais que ces petits con son dangereux !

Policier- Ils le sont derrière un ordi... Là ont craint rien.

Manu- ...

Moi- Parano...

Manu- On se la ramène ? Tu veux qu'on se la donne ? Hein hein hein ? Je te prend ici, maintenant ! Tu vois ce que je te disais ?


Le policier me jeta un regard, pas la peine d'être un savant pour comprendre que c'est pour que je me taise.



C'est rassurent, on nous a pas menti, nous sommes à l'aéroport.
Apparemment, d'après ce que je peux comprendre sur le moment, un avion est réserver juste pour nous.



J'avais effectivement raison, ils nous font monté dans un Airbus.

Je suis assis à côté de Nirvana, Snake se précipite à la place libre qui est à ma droite.

Moi- Tu m'aime tant que ça ?

Snake- Je voulais pas être à côté de Robert.

Moi- Pourquoi ?


Silence. Dans tout l'avion. Bizarre.
Peut-être que Robert porte bien son pseudo, qui sait.


Quelques minutes passent avant qu'une voie dans le haut-parleur nous demandes de nous attachez.

Snake- Moi chui un tru3 r3b3lz, je m'attache si je veux.

S'en suivis une intervention musclée entre snake et les flics, se qui retarda le départ.

L'avion est enfin en l'air. Snake à l'air moins motivé pour joué les rebels, enfaite, je crois même qu'il fait la tête.


Le voyage se passe bien, tout le monde reste calme, on a tous trouvé une occupation.

























FAKE, c'est le gros bordel, totalement incontrôlable, Kirkill à même essayé d'entré dans la salle des commendes, 7 foi.
Pour faire court, les flics n'osent plus venir nous dire de nous calmé, vu que Antidote à réussi à prendre le 9 mm d'un agent, et que à chaque foi que l'un d'entre eux vient, on crit : POOOUUULLEEEEETT ! Et on imite le son d'une poule en tapant des pieds.


11h30.


Policier- Ok les geeks, on est à Paris, je veux aucun problèmes, et vu que c'est l'heur de mangé, on va tous chez Quick !

De nouveau, gros silence dans l'avion.

-QUICK C'EST LE MAAAAAAAAAAAAAAAAL MAAAAAACCDOOOOO POOOOWWWWAAAAAAAAAAAAAAAA !

Vous avez bien compris, on l'a tous crié en même temps.

A et j'ai oublier de dire, Antidote à été assommé puis attaché, puis torturé, puis il a dû juré de plus jamais recommencé.
Je l'est vu croisé les doigts, raclure.


Les agents nous on emmener mangé chez Mac Donald's. J'ai surpris leur conversation quand leur chef à dit de pas nous emmenez chez Quick, parce que sinon, on aurait créé une véritable émeute, à l'aide de frites et divers hamburger.
Pas faux.


Une foi tous l'estomac pleins et le concours de rot achevé, des bus loué par les forces de l'ordre vinrent nous chercher.

Moi- On va où cette foi ?

Policier- Au stade de France !

Moi- Pour ?

Policier- Tu verra par toi même.


Effectivement, 13h00, le stade de France :




C'est la première foi que je ma balade dans ces couloirs.

Bref, on prend tous place. Le stade se remplit peu à peu. On nous distribue des casques écouteur.

On attend, on discute, on simule les supporters en colère devant un match de foot inexistant.


Quelqu'un entre sur le terrain, il tapote ses oreilles avec ses mains. Tout le monde comprends, comme les autres, je met mon casque.

L'homme qui parait tout petit depuis ma place, commence à parlé à son micro.


Homme- Bonjour à tous et à toute. Et oui, apparemment il y aurait aussi des filles !


Une avalanche de * photo sinon fake * s'abat sur le stade, prévisible.


L'homme reprends la parole, légèrement agacé.


Homme- Je suis le porte parole d'une société très importante. J'ai été chargé d'apporter un message aux dis "noelistes".


Des murmures s'élèvent dans le stade. Droran me demande qu'est ce que c'est que ce bordel.
J'en sais pas plus que lui.


Homme- Silence ! Cette société, c'est Interpol !


Cette foi, c'est pas des murmures qui envahissent le stade. Et personne n'a eu le réflexe de dire "fake".


L'homme poursuis ces explications.


Homme- Il semblerait que vous, noelistes, avez une bonne connaissance et maitrise de l'informatique. Au départ, on vous avais jugé trop dangereux, et on voulait prendre des mesures pour vous stoppez. Mais il semblerait que vous ayez de la chance. Après maintes discussions, vous allé utilisé votre dont pour l'informatique pour Interpol.


Tout le monde contesta de plus belle.


Homme- Je vous rassure tout de suite, la suite vous allé encore moins apprécier, vous serez aussi formé pour allé sur le terrain.


Cette foi, silence. Interpol qui emploie des ados et qui plus est, les envois sur le terrain ?


St'un Fake c'est obligé.


Homme- C'est ça, ou on vous interdis d'ordinateur à vie.



Tout le monde s'exclama en même temps : Je viens !