Je suis un ex no-life
Par : Non-Lus
Genre : No-Fake
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 55
Publié le 14/03/09 à 12:14:42 par Non-Lus
Oui, j’avais embrassé Sofia peu après la fin de l’année passée. Nous nous promenions dans un parc en plein été, il faisait beau et chaud et nous étions heureux d’avoir finit, d’avoir enfin de longues vacance devant nous. Cependant, j’avais le cœur déchiré, je venais à peine d’avoir quitté à tout jamais Natalia, j’avais renoncé à un symbole et il était très dur d’assumer sa non présence quotidienne.
Sur un banc, Sofia me regardait tendrement et s’approchait vers moi au fur et à mesure de notre conversation. Quelques phrases courtes, quelques regards et sans même que je m’en aperçoive nos lèvres étaient très proche. C’est elle qui m’embrassa, je pensais toujours à Natalia, à nos baisers clandestin dans le bus, chez moi ou ailleurs… Ces baisers qu’elle savait si bien faire, tendre, doux et amoureux. Ceux de Sofia étaient très différents de ce à quoi j’avais été habitué. Ces lèvres m’englobaient la bouche comme si l’on voulait gober un œuf, j’étais très mal à l’aise et je dus la repousser.
Ce passage de ma vie fut dissimulé à tout le monde, je ne voulais pas qu’on sache que j’avais embrassé « la mature » et elle ne voulait pas qu’on entende qu’elle s’était pris un râteau. Mais je pense que la pilule avait sans doute mal passé…
Cependant, je laissais passer les crises d’hystérie mature de Sofia, j’avais la tête ailleurs. J’essayais d’oublier Natalia et ce n’était pas si facile, personne ne pouvait m’aider et même sortir avec quelqu’un d’autre n’arrangeait rien. Le seul remède à cette souffrance intérieur, c’était le temps… Et le temps agissait très lentement, trop lentement. Ma raison m’applaudissait de l’avoir quittée d’une façon si magistrale, c’était la seule chose à faire, cette fille était quelqu’un qui m’aurait fait tant de mal de toutes façons. Mais… Mon cœur, parfois, prenait le dessus et j’avais soudainement l’envie de me réconcilier avec elle. Pendant des mois je devais combattre tous mes sentiments et simplement attendre que cela passe… Dur de ressentir tout ça, qu’il est loin le temps où je rêvais simplement d’avoir une autre vie….
Il fallait que je tourne la page mais quelque chose m’empêchait de le faire, avec son mot de passe je naviguais sur ses comptes, je lisais ses messages… C’était le seul contact que je pouvais avoir avec elle. C’est bizarre tout ça n’est-ce pas, vous vous attachez à des gens, vous faites tout pour plaire, vous vivez des événements qui deviennent de grands tournants et vous finissez par aimer… Tout ça en vain. On ne peut pas oublier quelqu’un avec qui on a eu des sentiments privilégiés, sur une personne qui compte… Qui comptait. Pourtant il le fallait, ce n’était pas moi qui le voulais, mais les circonstances. Je me demandais ce qu’elle pensait, je regrettais, je n’aurais pas dût lui écrire cette lettre mais j’aurais dut lui en parler en face, éclaircir les choses. Je croyais que je me sentirais mieux mais aujourd’hui, il était trop tard.
Pendant des semaines, des mois, je réfléchissais à comment arranger tout ça pour moi, je voulais me sentir mieux. Et finalement, je réussissais douloureusement à fermer les yeux mais je gardai en moi une certaine tristesse. Je suppose que c’était le prix à payer pour avoir eu une expérience amoureuse : une éternelle déchirure.
Il m’est arrivé une seule fois de la recroisé dans le bus, c’était un après midi d’octobre. Elle me regardait dans les yeux puis détourna le regard et s’obligea à faire comme si je n’existais pas et continua son chemin au fond du bus, pour être le plus loin de moi. Peut être, que c’était dur pour nous deux… Mais désormais, c’était finit… Adieu Natalia.
En revenant chez moi, l’envi de changer un peu d’air me vint subitement. Je m’asseyais devant mon ordinateur et envoyais un mail à mon oncle. Ça faisait cinq années que je ne l’avais pas vu, je l’aimais beaucoup, c’était une personne d’une gentillesse exemplaire, très intelligent, il avait décroché un poste important dans l’université de Notre Dame en Indiana qui est une des plus réputés des Etats-Unis. Il me demandait souvent si je voulais venir le visiter, il voulait me montrer la ville de Chicago, l’université où il travaillait mais aussi l’Amérique tout simplement. Je n’avais jamais trouvé le temps pour y aller mais je crois qu’il était temps maintenant.
Une semaine plus tard, mon oncle me répondit en me disant qu’il se réjouissait de mon arrivé, il me montrait ce qu’on allait visiter et mes cousins aussi se réjouissaient de me voir, je ne les avais jamais vu. Alors je m’empressais de commander mes billets sur un site Internet spécialisé, j’en croyais pas mes yeux, j’allais partir aux USA.
Un voyage à l’autre bout du monde, pour me vider l’esprit, me faire du bien et revenir sur de nouvelles bases, cela arrivé pile au bon moment. Dans quelques jours, j’allais quitter l’Europe pour 11 jours à l’étranger, j’avais hâte… !
Sur un banc, Sofia me regardait tendrement et s’approchait vers moi au fur et à mesure de notre conversation. Quelques phrases courtes, quelques regards et sans même que je m’en aperçoive nos lèvres étaient très proche. C’est elle qui m’embrassa, je pensais toujours à Natalia, à nos baisers clandestin dans le bus, chez moi ou ailleurs… Ces baisers qu’elle savait si bien faire, tendre, doux et amoureux. Ceux de Sofia étaient très différents de ce à quoi j’avais été habitué. Ces lèvres m’englobaient la bouche comme si l’on voulait gober un œuf, j’étais très mal à l’aise et je dus la repousser.
Ce passage de ma vie fut dissimulé à tout le monde, je ne voulais pas qu’on sache que j’avais embrassé « la mature » et elle ne voulait pas qu’on entende qu’elle s’était pris un râteau. Mais je pense que la pilule avait sans doute mal passé…
Cependant, je laissais passer les crises d’hystérie mature de Sofia, j’avais la tête ailleurs. J’essayais d’oublier Natalia et ce n’était pas si facile, personne ne pouvait m’aider et même sortir avec quelqu’un d’autre n’arrangeait rien. Le seul remède à cette souffrance intérieur, c’était le temps… Et le temps agissait très lentement, trop lentement. Ma raison m’applaudissait de l’avoir quittée d’une façon si magistrale, c’était la seule chose à faire, cette fille était quelqu’un qui m’aurait fait tant de mal de toutes façons. Mais… Mon cœur, parfois, prenait le dessus et j’avais soudainement l’envie de me réconcilier avec elle. Pendant des mois je devais combattre tous mes sentiments et simplement attendre que cela passe… Dur de ressentir tout ça, qu’il est loin le temps où je rêvais simplement d’avoir une autre vie….
Il fallait que je tourne la page mais quelque chose m’empêchait de le faire, avec son mot de passe je naviguais sur ses comptes, je lisais ses messages… C’était le seul contact que je pouvais avoir avec elle. C’est bizarre tout ça n’est-ce pas, vous vous attachez à des gens, vous faites tout pour plaire, vous vivez des événements qui deviennent de grands tournants et vous finissez par aimer… Tout ça en vain. On ne peut pas oublier quelqu’un avec qui on a eu des sentiments privilégiés, sur une personne qui compte… Qui comptait. Pourtant il le fallait, ce n’était pas moi qui le voulais, mais les circonstances. Je me demandais ce qu’elle pensait, je regrettais, je n’aurais pas dût lui écrire cette lettre mais j’aurais dut lui en parler en face, éclaircir les choses. Je croyais que je me sentirais mieux mais aujourd’hui, il était trop tard.
Pendant des semaines, des mois, je réfléchissais à comment arranger tout ça pour moi, je voulais me sentir mieux. Et finalement, je réussissais douloureusement à fermer les yeux mais je gardai en moi une certaine tristesse. Je suppose que c’était le prix à payer pour avoir eu une expérience amoureuse : une éternelle déchirure.
Il m’est arrivé une seule fois de la recroisé dans le bus, c’était un après midi d’octobre. Elle me regardait dans les yeux puis détourna le regard et s’obligea à faire comme si je n’existais pas et continua son chemin au fond du bus, pour être le plus loin de moi. Peut être, que c’était dur pour nous deux… Mais désormais, c’était finit… Adieu Natalia.
En revenant chez moi, l’envi de changer un peu d’air me vint subitement. Je m’asseyais devant mon ordinateur et envoyais un mail à mon oncle. Ça faisait cinq années que je ne l’avais pas vu, je l’aimais beaucoup, c’était une personne d’une gentillesse exemplaire, très intelligent, il avait décroché un poste important dans l’université de Notre Dame en Indiana qui est une des plus réputés des Etats-Unis. Il me demandait souvent si je voulais venir le visiter, il voulait me montrer la ville de Chicago, l’université où il travaillait mais aussi l’Amérique tout simplement. Je n’avais jamais trouvé le temps pour y aller mais je crois qu’il était temps maintenant.
Une semaine plus tard, mon oncle me répondit en me disant qu’il se réjouissait de mon arrivé, il me montrait ce qu’on allait visiter et mes cousins aussi se réjouissaient de me voir, je ne les avais jamais vu. Alors je m’empressais de commander mes billets sur un site Internet spécialisé, j’en croyais pas mes yeux, j’allais partir aux USA.
Un voyage à l’autre bout du monde, pour me vider l’esprit, me faire du bien et revenir sur de nouvelles bases, cela arrivé pile au bon moment. Dans quelques jours, j’allais quitter l’Europe pour 11 jours à l’étranger, j’avais hâte… !
03/07/09 à 20:52:48
hey, les US c'est mon pays ça
comme a dit vanoob, hâte de voir comment tu vas te débrouillé avec les filles là bas...
14/03/09 à 22:29:21
+1 Vanoob + jerry
14/03/09 à 17:23:16
OMG
6 semaines en Allemagne vas devenir 6 semaines en Amerique
Florian vas alors revoir tout ses anciens camarades Americain de 6 semaines en Allemagne
Ps : Pas de PWNED
14/03/09 à 15:36:13
Impressionant,j'etais mal a l'aise tout le long ou tu parlais de Natalia et content à la fin.
Sweet.
14/03/09 à 14:45:27
Shauni c'est le mal
14/03/09 à 13:40:54
J'espere que quand la fic arrivera à la journée d'hier, elle parlera de ce mouvement de crise à cause des bans et de quelques nouvelle regles, et de bien sur Shauni
14/03/09 à 12:47:45
Sweet ! Need savoir avec combien de fille tu vas t'amuser aux US
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