Ma famille et moi
Par : julichou
Genre : Nawak
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 23
Publié le 26/08/09 à 22:29:43 par julichou
Elle se lécha les lèvres et les doigts, c'est pas très sexy comme ça. Ses doigts boudinées m'horripile plus que tout. Elle pose un genoux sur le lit, une latte se pète (Normal quoi ):
«-Bien de peser 350 kilos.
-Les 350 kilos vont te bouffer tout cru mon gros minou.
-Ah oui j'avais oublié sa.»
Elle se met à quatre pattes l'air de dire: «Quand est-ce que tu vas me prendre par derrière mon bel étalon?». Je pris mon courage à deux mains, d'ailleurs s'est pas le seul chose que j'ai pris à deux mains si vous voyez se que je veux dire... je parle de l'énorme cul posté devant moi tel un labrador attendant ses croquettes (chaud l'image en carton ). Bref je me positionne devant cette... chose ignoble, répugnante, encore moins attirante raton-laveur scatophile. Je m'approche et je crie:
«-Mais s'est où l'entrée bordel?
-T'as pas pris ta carte routière?
-Ma carte routière quoi?
-Rooh mais il faut la carte routière pour se rendre à mon cul tu le sais très bien.
-Ah bin non désolé je ne savais pas, ne t'inquiète pas de toute façon j'ai mon sens de l'orientation masculin qui va me guider.»
J'arrive enfin à trouver le trou... enfin sa ressemble plutôt à un gouffre vu d'ici. Je m'engouffre dedans, et je suis comme happé à l'intérieur de son fion. Je me retient, mais sa cellulite ne m'offre pas de bonne prise, je sombre donc dans le fion d'un cachalot. J'essaye de prendre une dernière respiration à l'extérieur en laissant ma tête dépasser (chaud faites vous l'image dans la tête s'est trop drôle ). Je rentre entièrement dans son anus, j'ai la surprise de voir que je ne suis pas le seul. Je vois un gars que j'avais vu lorsque j'étais allé avec ma cousine rencontrer ses potes. Je lui sert la pince, l'air est respirable, je peux donc reprendre mon souffle. Je prends des nouvelles de tout le monde, je vois même un petit papy de 70 ans, il y a une pancarte je la lis: «Attention, méthane!!». Toutes les personnes présentent me regardent bizarrement, je leurs demandent se qu'il se passe:
«-Tu es le messie, la légende raconte qu'un jour un blond, beaugosse muni de son fusil de chasse viendra nous sauver.
-Mon fusil? Ah merci. Oui s'est vrai qu'il ressemble à un fusil, d'ailleurs je n'y avais jamais pensé jusqu'à aujourd'hui.»
J'élabore avec leurs aides un plan d'évasion, je leurs expliquent qu'elle s'endormira dans une bonne demi-heure, s'est alors que l'on s'échappera par là où nous sommes arrivés. Nous attendons l'heure H. Sa y est, elle est tombée de fatigue, s'était violent d'ailleurs, nous pouvons sortir. J'ouvre la marche, enfin la porte.. finalement je vais ouvrir sa boîte à caca sa va être plus pratique. Je sort péniblement, je sent mais nouveaux amis qui me poussent, je sort essoufflé de cet endroit, je vois la main d'une de ces personnes, je le tire, il sort. L'évasion dure une bonne demi-heure, nos partons respectivement chacun chez soit. Ouf! Sa a été une journée riche en émotion, aujourd'hui.
«-Bien de peser 350 kilos.
-Les 350 kilos vont te bouffer tout cru mon gros minou.
-Ah oui j'avais oublié sa.»
Elle se met à quatre pattes l'air de dire: «Quand est-ce que tu vas me prendre par derrière mon bel étalon?». Je pris mon courage à deux mains, d'ailleurs s'est pas le seul chose que j'ai pris à deux mains si vous voyez se que je veux dire... je parle de l'énorme cul posté devant moi tel un labrador attendant ses croquettes (chaud l'image en carton ). Bref je me positionne devant cette... chose ignoble, répugnante, encore moins attirante raton-laveur scatophile. Je m'approche et je crie:
«-Mais s'est où l'entrée bordel?
-T'as pas pris ta carte routière?
-Ma carte routière quoi?
-Rooh mais il faut la carte routière pour se rendre à mon cul tu le sais très bien.
-Ah bin non désolé je ne savais pas, ne t'inquiète pas de toute façon j'ai mon sens de l'orientation masculin qui va me guider.»
J'arrive enfin à trouver le trou... enfin sa ressemble plutôt à un gouffre vu d'ici. Je m'engouffre dedans, et je suis comme happé à l'intérieur de son fion. Je me retient, mais sa cellulite ne m'offre pas de bonne prise, je sombre donc dans le fion d'un cachalot. J'essaye de prendre une dernière respiration à l'extérieur en laissant ma tête dépasser (chaud faites vous l'image dans la tête s'est trop drôle ). Je rentre entièrement dans son anus, j'ai la surprise de voir que je ne suis pas le seul. Je vois un gars que j'avais vu lorsque j'étais allé avec ma cousine rencontrer ses potes. Je lui sert la pince, l'air est respirable, je peux donc reprendre mon souffle. Je prends des nouvelles de tout le monde, je vois même un petit papy de 70 ans, il y a une pancarte je la lis: «Attention, méthane!!». Toutes les personnes présentent me regardent bizarrement, je leurs demandent se qu'il se passe:
«-Tu es le messie, la légende raconte qu'un jour un blond, beaugosse muni de son fusil de chasse viendra nous sauver.
-Mon fusil? Ah merci. Oui s'est vrai qu'il ressemble à un fusil, d'ailleurs je n'y avais jamais pensé jusqu'à aujourd'hui.»
J'élabore avec leurs aides un plan d'évasion, je leurs expliquent qu'elle s'endormira dans une bonne demi-heure, s'est alors que l'on s'échappera par là où nous sommes arrivés. Nous attendons l'heure H. Sa y est, elle est tombée de fatigue, s'était violent d'ailleurs, nous pouvons sortir. J'ouvre la marche, enfin la porte.. finalement je vais ouvrir sa boîte à caca sa va être plus pratique. Je sort péniblement, je sent mais nouveaux amis qui me poussent, je sort essoufflé de cet endroit, je vois la main d'une de ces personnes, je le tire, il sort. L'évasion dure une bonne demi-heure, nos partons respectivement chacun chez soit. Ouf! Sa a été une journée riche en émotion, aujourd'hui.
30/08/09 à 23:19:45
Sweeeeeet
27/08/09 à 12:28:48
jerry
sweet
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