Cette grosse bestiole (on va dire ça comme ça), s'enfonça dans le sol, et telle une taupe, elle creusa sous le sol pour enfin arrivé devant moi. Je réussi à échapper à son piège. Je couru à la recherche d'un endroit pour me réfugié, j'aperçus un terrier de lapin. Je me jetais dedans, mais j'avais oublié qu'un lapin était vraiment petit. Je fut assommé par l'impact.

Je me réveille. Ouf! J'ai mal au crâne. Tiens je suis en caleçon... et je suis accroché à un poteau avec des cordes... et j'ai un chiffon dans la bouche pour m'empêcher de crier. C'est bizarre, s'est comme dans les films quand il y a des gars qui sont séquestrés par des filles, réelles perverses sexuelle, qui veulent abuser de toi, qui sont souvent moches, grosses, désespérées, et le gars et souvent très beaugosse, et est muni d'une troisième jambes très généreuse. Cette situation ne déroge pas à la règle. Je suis bien séquestré par cette fille, réelle perverse sexuelle, qui veut abuser de moi, qui est moche, grosse et désespérée, et moi je suis un beaugosse et ma troisième jambe est très généreuse. Elle vit que je me réveillais, m'enleva le chiffon de la bouche:

«-Enfin t'es réveillais.
-J'aurais préféré dormir plus longtemps d'ailleurs. T'es vraiment un perverse sexuelle qui veut abuser de moi, en plus t'es moche, grosse et désespérée.
-En revanche toi t'es un beaugosse, et je suis sur que tu as un énorme colosse dans ton caleçon.
-C'est pas sa la phrase.
-Euh.. Ah oui! En revanche toi t'es un beaugosse et tu as une troisième jambe très généreuse.
-Ouais voilà s'est mieux.»

Elle s'approcha de moi, je criais «AH!!!! AU SECOURS!!!!! A L'AIDE!!!!!». Une porte s'ouvrit, et un policier rentra dans la salle. Apparemment il avait entendu mes cris. Il s'approcha de nous, avec une démarche plutôt féminine:

«-Dis donc toi, tu va lâcher ce boy. Il t'as rien fait. C'est pas un vilain garçon.
-Désolé Monsieur l'agent...
-Tu te tait ma petite chatte[Il lui passe les menottes]. Et toi mon choux, Pedro vas t'aider à t'enlever ces cordes.[Pose une main malencontreusement sur mon caleçon] Et bien!! Quel calibre!!
Woouu je suis tout émoustillé. En voilà un beau garçon.»

Il m'aide à me relever, je me dirigeai vers la sortit, je me retournai, le flic était en train de reluquer mon cul. Il voit que je l'ai remarqué, il arrive à ma hauteur:

«-J'adorerais croquais ces petites fesses»

Et il me fout une grosse main au cul. Ils sont vraiment bizarre les gens ici, il y en a aucun pour rattraper l'autre. Je sort de cette endroit, nous étions en fait dans un entrepôt. J'arrive à me repérer, je rejoint donc ma maison, il y en a pour une petite heure.
C'est bizarre les gens me regarde bizarrement, en plus on se les pèlent ici... Merde! Je suis en calbut! . Quitte à que qu'ils me regardent bizarrement, autant qu'ils m'admirent. J'enlève donc le peu de tissu qui me recouvrait. Les femmes était en effet en admiration, du genre , les hommes s'étaient plutôt