Zone contaminée
Par : sebb73
Genre : Horreur
Status : Terminée
Note :
Chapitre 12
Publié le 23/08/09 à 14:24:57 par sebb73
Ses 2 copains se retournèrent vers lui tandis que je répondis
« Oui. »
Le jeune devint blême tandis que ses 2 potes lui dirent:
« De quoi tu parles mec ? »
« Vous avez pas vu aux infos ? Y a plus de Chambéry presque toute la populace est morte. »
« T’es vraiment débile de regarder les infos gars c’est des tissus de mensonges ! »
« C’est vous les débiles ce serait stupide d’appeler ça des infos si c’était faux... »
Leur expliquer la situation était trop compliqué et surtout on voulait arriver à Yenne dans les temps car dans pas longtemps l’armée nous aurait comme cible et de là me vint une pensée. Ce petit village avait l’air sain et si l’armée passe par ici ils tueront tout le monde. Ça me parut inconcevable et je demanda au jeune qui avait regarder les infos:
« Dis moi ils ont reparlé de l’armée aujourd’hui ? »
« De quoi ? Non ils en ont même jamais parlés ! »
« Bien sur que si, t’as pas regardé ce matin ? » lui répondis-je
« Bah non pourquoi ? » Il avait prit une allure plus tendue
« Parce que l’armée a dit qu’entre Chambéry et Yenne la zone serait considéré comme contaminée et les habitants même sains seront tués ! »
Les 2 autres jeunes s’arrêtèrent brusquement de rire. Au début je crus que ma dernière phrase les avait calmés. Le 3ème brisa le silence et dit:
« Sérieux ? »
« Bah oui faut que alliez a Yenne où vous mourrez ! »
Le jeune dit alors à ses copains:
« Venez on va prendre ma voiture et... »
Il se fit interrompre par son camarade qui dit:
« Hé vous avez vu sans déconner ? Regardez moi ces 2 clodos avec leur clébard ! »
Je me tournai doucement dans la direction du regard de ce jeune et vit 2 hommes qui nous fixait lourdement et leur chien qui paraissait très excité. Je chuchotai au jeune:
« Ils sont là depuis longtemps ? »
« Je sais pas 2 minutes je dirais... »
« Et tu les a vu arriver ? »
« Ouais c’est bien des clodos ils boitaient d’une force ! »
« Oh merde... »
A peine ces mots terminés que les bouffeurs hurlèrent et leur chien sauta par dessus la rambarde qui nous séparaient et se dirigea vers nous à toute allure.
« Partez ! » Hurlais je alors aux jeunes qui prirent la poudre d’escampette. De mon côté je parvins a rejoindre la voiture et David accéléra a toute vitesse et au bout de quelques secondes, nous les avions semés. Après cette fuite quelque peu spectaculaire nous entrâmes dans le Tunnel du Chat qui était allumé heureusement pour nous. Je choisis ce moment pour demandé a David de stopper. Il s’arrêta et je pris la parole:
« Ceux là de bouffeurs étaient pas aveugles »
« Oui et c’est aussi le premier chien bouffeur que l’on rencontre » Répondit Amélie
« C’est vrai mais pour l’instant on va parler des « humains ». Le fait que ces 2 là ne soient pas aveugles nous apprend une chose mais y a plusieurs possibilités. On va les récapituler. »
« Bah soit le virus se déplace soit la cécité des bouffeurs est intermittente. » Me dit Marion
« Pour la solution on la trouvera peut-être mais plus tard mais si ce chien est devenu bouffeur hé bah y a pas 1000 solutions. Un bouffeur l’a attaqué. Le comportement des bouffeurs change et y a peut-être d’autres choses qui ont bougé va falloir être plus méfiant que jamais » Annonçais-je a mes amis.
« Je peux repartir maintenant ? » Me demanda David visiblement stressé par cet arrêt
« Oui mais une chose avant. On se prépare. Je connais plutôt bien cette route, après le tunnel y a plus de lumières donc va falloir rouler doucement. Y a un petit village sur la route on sait pas a quoi s’attendre là bas donc on s’arrêtera. On pourrait y apprendre des choses. »
Mes compagnons semblaient d’accord et je donna mon accord à David qui redémarra la voiture. Une fois le tunnel passé le contraste de lumière était inquiétant car dans le noir on ne savait pas à quoi s’attendre. Nous roulions assez doucement pas plus de 30 Km/h et pendant que David était concentré sur la route le stress commença à me gagner ainsi qu’Amélie et Marion. Les filles se soutenaient l’une l’autre pour ne pas hurler de peur tandis que je gardais les mains sur mon fusil pour être prêt à toute éventualité. Je tourna la tête vers David qui suait à grosse goutte lui aussi était stressé car il savait bien qu’à la moindre manifestation physique il devait tout faire pour nous éviter la mort et cette pression était difficile à supporter. Après une dizaine de minutes nous arrivâmes enfin dans la petite commune nommée Saint Jean de Cheuvelu. Nous nous arrêtions et nous sortions de la voiture. Nous étions tous tremblants non pas de froid mais de peur. L’adrénaline nous avait envahi de la tête aux pieds. Marion demanda:
« Où on va ? »
Je regardai rapidement autour de moi et vit un bar-tabac qui était allumé. Je dis alors
« Regardez le bar. On va aller voir là bas. »
Mes compagnons acquiescèrent et nous nous dirigions vers le bar. Une fois devant je regardai à la vitre mais il n’y avait personne. Pourtant David tenta d’ouvrir la porte et celle-ci s’ouvrit. Nous commencions a entrer discrètement au cas où. Ça y était nous étions a l’intérieur. A partir de maintenant il ne fallait plus prononcer la moindre parole car si il y avait des bouffeurs on était foutu. Nous fouillâmes le bar mais il était désert. Nous nous apprêtions à sortir quand un bruit de chargeur se fit entendre et une voix grave prononça ces mots:
« Bougez et je vous éclate la tronche ! »
Nous étions tous pétrifiés et l’homme s’approcha de nous. Il tenu David en joue et dit:
« Retourne toi ! Doucement ! »
David s’exécuta et le gars dit alors:
« Retournez vous tous ! Doucement ! »
Nous ne nous fîmes pas prier et nous nous tournions. Nous étions face à lui maintenant. Il devait avoir la quarantaine et des cheveux très courts bruns. Il avait aussi une barbe brune. Il portait une chemise noire et un jean et ses chaussures étaient blanches. Il nous dit alors:
« Ça va vous êtes pas des leurs ! »
Il baissa son arme et je me sentis soulagé de suite. L’homme nous dit alors:
« Vous venez d’où ? »
« De Chambéry » Répondis-je
Il nous regarda tel des extra-terrestres et dit:
« Vous avez survécu ? »
« Oui on a eu du bol » Répondit David
La conversation s’orienta sur l’attaque des bouffeurs et sur leur capacité a détruire tandis que le gars nous dit:
« Au fait me suis pas présenté je m’appelle Lionel. »
Tour à tour nous nous présentâmes et Lionel nous demanda:
« Vous avez soif ? »
« Oh que oui » Répondis-je immédiatement.
Lionel nous apporta 4 Coca et on but nos verres d’un seul coup. Lionel se prit un Whisky mais un bruit nous fit sursauter. Lionel, lui, était très serein et tandis qu’il approcha de la porte je lui sommai de ne pas ouvrir:
« Non n’ouvrez pas c’est peut-être des bouffeurs ! »
« Mais non ce bruit c’est un fusil qui a toqué au store. L’armée surveille le village et fait un recensement journalier. »
Il ouvrit la porte et 2 gars vêtus en uniforme militaire entrèrent. Ils nous vîmes ici et immédiatement s’approchèrent de nous. Il nous fixait tandis que Lionel prit la parole:
« Leur faites pas de mal ! C’est des survivants aussi ! »
Les 2 se retournèrent vers Lionel et l’un d’eux dit alors:
« Attendez on revient »
Ils sortirent alors et moins d’une minute plus tard ils revinrent avec du matériel. Je ne distinguai pas immédiatement ce matériel mais ils revinrent dans notre direction et de plus près je vis qu’il s’agissait de matériel médical. Il nous posèrent toutes sortes de question sur notre survie et ils nous demandaient si on allait bien. Après de longues minutes les soldats reprirent leur matériel et commençaient à plier bagage quand l’un d’eux se tourna vers nous et dit:
« Vous partiez vers Yenne ? »
« Oui » répondit Marion
« Vous voulez venir avec nous ? » Nous demanda le soldat
« Pourquoi pas oui » Répondis je
Les 2 soldats se tournèrent vers Lionel qui lui déclina la proposition et s’expliqua:
« C’est mon bar ici c’est la seule chose qu’il me reste donc je ne bougerais pas ! » « Mais l’armée a dit que ceux.... » J’allais dire ce que j’avais entendu aux infos quand un soldat me coupa net « Non on surveille la population jusqu’au tunnel du Chat et ceux d’après sont considérés comme contaminés. » « OK bah bon courage Lionel » Dit Amélie
Lionel nous sourit et nous dit au revoir. Nous sortîmes et gagnâmes la voiture de l’armée. Je regarda mon portable qui indiquait 1H28 du matin tandis que les soldats nous parlèrent:
« Je vous explique là on va arriver dans 5 minutes au camp de réfugiés. Une fois arrivés, on vous donnera un numéro et vous devrez aller à votre emplacement ou vous pourrez dormir... Compris ? »
« Oui » Répondis-je.
« Oui. »
Le jeune devint blême tandis que ses 2 potes lui dirent:
« De quoi tu parles mec ? »
« Vous avez pas vu aux infos ? Y a plus de Chambéry presque toute la populace est morte. »
« T’es vraiment débile de regarder les infos gars c’est des tissus de mensonges ! »
« C’est vous les débiles ce serait stupide d’appeler ça des infos si c’était faux... »
Leur expliquer la situation était trop compliqué et surtout on voulait arriver à Yenne dans les temps car dans pas longtemps l’armée nous aurait comme cible et de là me vint une pensée. Ce petit village avait l’air sain et si l’armée passe par ici ils tueront tout le monde. Ça me parut inconcevable et je demanda au jeune qui avait regarder les infos:
« Dis moi ils ont reparlé de l’armée aujourd’hui ? »
« De quoi ? Non ils en ont même jamais parlés ! »
« Bien sur que si, t’as pas regardé ce matin ? » lui répondis-je
« Bah non pourquoi ? » Il avait prit une allure plus tendue
« Parce que l’armée a dit qu’entre Chambéry et Yenne la zone serait considéré comme contaminée et les habitants même sains seront tués ! »
Les 2 autres jeunes s’arrêtèrent brusquement de rire. Au début je crus que ma dernière phrase les avait calmés. Le 3ème brisa le silence et dit:
« Sérieux ? »
« Bah oui faut que alliez a Yenne où vous mourrez ! »
Le jeune dit alors à ses copains:
« Venez on va prendre ma voiture et... »
Il se fit interrompre par son camarade qui dit:
« Hé vous avez vu sans déconner ? Regardez moi ces 2 clodos avec leur clébard ! »
Je me tournai doucement dans la direction du regard de ce jeune et vit 2 hommes qui nous fixait lourdement et leur chien qui paraissait très excité. Je chuchotai au jeune:
« Ils sont là depuis longtemps ? »
« Je sais pas 2 minutes je dirais... »
« Et tu les a vu arriver ? »
« Ouais c’est bien des clodos ils boitaient d’une force ! »
« Oh merde... »
A peine ces mots terminés que les bouffeurs hurlèrent et leur chien sauta par dessus la rambarde qui nous séparaient et se dirigea vers nous à toute allure.
« Partez ! » Hurlais je alors aux jeunes qui prirent la poudre d’escampette. De mon côté je parvins a rejoindre la voiture et David accéléra a toute vitesse et au bout de quelques secondes, nous les avions semés. Après cette fuite quelque peu spectaculaire nous entrâmes dans le Tunnel du Chat qui était allumé heureusement pour nous. Je choisis ce moment pour demandé a David de stopper. Il s’arrêta et je pris la parole:
« Ceux là de bouffeurs étaient pas aveugles »
« Oui et c’est aussi le premier chien bouffeur que l’on rencontre » Répondit Amélie
« C’est vrai mais pour l’instant on va parler des « humains ». Le fait que ces 2 là ne soient pas aveugles nous apprend une chose mais y a plusieurs possibilités. On va les récapituler. »
« Bah soit le virus se déplace soit la cécité des bouffeurs est intermittente. » Me dit Marion
« Pour la solution on la trouvera peut-être mais plus tard mais si ce chien est devenu bouffeur hé bah y a pas 1000 solutions. Un bouffeur l’a attaqué. Le comportement des bouffeurs change et y a peut-être d’autres choses qui ont bougé va falloir être plus méfiant que jamais » Annonçais-je a mes amis.
« Je peux repartir maintenant ? » Me demanda David visiblement stressé par cet arrêt
« Oui mais une chose avant. On se prépare. Je connais plutôt bien cette route, après le tunnel y a plus de lumières donc va falloir rouler doucement. Y a un petit village sur la route on sait pas a quoi s’attendre là bas donc on s’arrêtera. On pourrait y apprendre des choses. »
Mes compagnons semblaient d’accord et je donna mon accord à David qui redémarra la voiture. Une fois le tunnel passé le contraste de lumière était inquiétant car dans le noir on ne savait pas à quoi s’attendre. Nous roulions assez doucement pas plus de 30 Km/h et pendant que David était concentré sur la route le stress commença à me gagner ainsi qu’Amélie et Marion. Les filles se soutenaient l’une l’autre pour ne pas hurler de peur tandis que je gardais les mains sur mon fusil pour être prêt à toute éventualité. Je tourna la tête vers David qui suait à grosse goutte lui aussi était stressé car il savait bien qu’à la moindre manifestation physique il devait tout faire pour nous éviter la mort et cette pression était difficile à supporter. Après une dizaine de minutes nous arrivâmes enfin dans la petite commune nommée Saint Jean de Cheuvelu. Nous nous arrêtions et nous sortions de la voiture. Nous étions tous tremblants non pas de froid mais de peur. L’adrénaline nous avait envahi de la tête aux pieds. Marion demanda:
« Où on va ? »
Je regardai rapidement autour de moi et vit un bar-tabac qui était allumé. Je dis alors
« Regardez le bar. On va aller voir là bas. »
Mes compagnons acquiescèrent et nous nous dirigions vers le bar. Une fois devant je regardai à la vitre mais il n’y avait personne. Pourtant David tenta d’ouvrir la porte et celle-ci s’ouvrit. Nous commencions a entrer discrètement au cas où. Ça y était nous étions a l’intérieur. A partir de maintenant il ne fallait plus prononcer la moindre parole car si il y avait des bouffeurs on était foutu. Nous fouillâmes le bar mais il était désert. Nous nous apprêtions à sortir quand un bruit de chargeur se fit entendre et une voix grave prononça ces mots:
« Bougez et je vous éclate la tronche ! »
Nous étions tous pétrifiés et l’homme s’approcha de nous. Il tenu David en joue et dit:
« Retourne toi ! Doucement ! »
David s’exécuta et le gars dit alors:
« Retournez vous tous ! Doucement ! »
Nous ne nous fîmes pas prier et nous nous tournions. Nous étions face à lui maintenant. Il devait avoir la quarantaine et des cheveux très courts bruns. Il avait aussi une barbe brune. Il portait une chemise noire et un jean et ses chaussures étaient blanches. Il nous dit alors:
« Ça va vous êtes pas des leurs ! »
Il baissa son arme et je me sentis soulagé de suite. L’homme nous dit alors:
« Vous venez d’où ? »
« De Chambéry » Répondis-je
Il nous regarda tel des extra-terrestres et dit:
« Vous avez survécu ? »
« Oui on a eu du bol » Répondit David
La conversation s’orienta sur l’attaque des bouffeurs et sur leur capacité a détruire tandis que le gars nous dit:
« Au fait me suis pas présenté je m’appelle Lionel. »
Tour à tour nous nous présentâmes et Lionel nous demanda:
« Vous avez soif ? »
« Oh que oui » Répondis-je immédiatement.
Lionel nous apporta 4 Coca et on but nos verres d’un seul coup. Lionel se prit un Whisky mais un bruit nous fit sursauter. Lionel, lui, était très serein et tandis qu’il approcha de la porte je lui sommai de ne pas ouvrir:
« Non n’ouvrez pas c’est peut-être des bouffeurs ! »
« Mais non ce bruit c’est un fusil qui a toqué au store. L’armée surveille le village et fait un recensement journalier. »
Il ouvrit la porte et 2 gars vêtus en uniforme militaire entrèrent. Ils nous vîmes ici et immédiatement s’approchèrent de nous. Il nous fixait tandis que Lionel prit la parole:
« Leur faites pas de mal ! C’est des survivants aussi ! »
Les 2 se retournèrent vers Lionel et l’un d’eux dit alors:
« Attendez on revient »
Ils sortirent alors et moins d’une minute plus tard ils revinrent avec du matériel. Je ne distinguai pas immédiatement ce matériel mais ils revinrent dans notre direction et de plus près je vis qu’il s’agissait de matériel médical. Il nous posèrent toutes sortes de question sur notre survie et ils nous demandaient si on allait bien. Après de longues minutes les soldats reprirent leur matériel et commençaient à plier bagage quand l’un d’eux se tourna vers nous et dit:
« Vous partiez vers Yenne ? »
« Oui » répondit Marion
« Vous voulez venir avec nous ? » Nous demanda le soldat
« Pourquoi pas oui » Répondis je
Les 2 soldats se tournèrent vers Lionel qui lui déclina la proposition et s’expliqua:
« C’est mon bar ici c’est la seule chose qu’il me reste donc je ne bougerais pas ! » « Mais l’armée a dit que ceux.... » J’allais dire ce que j’avais entendu aux infos quand un soldat me coupa net « Non on surveille la population jusqu’au tunnel du Chat et ceux d’après sont considérés comme contaminés. » « OK bah bon courage Lionel » Dit Amélie
Lionel nous sourit et nous dit au revoir. Nous sortîmes et gagnâmes la voiture de l’armée. Je regarda mon portable qui indiquait 1H28 du matin tandis que les soldats nous parlèrent:
« Je vous explique là on va arriver dans 5 minutes au camp de réfugiés. Une fois arrivés, on vous donnera un numéro et vous devrez aller à votre emplacement ou vous pourrez dormir... Compris ? »
« Oui » Répondis-je.
23/08/09 à 18:34:34
Merci mec a suyite est dispo :)
23/08/09 à 16:54:40
Ta fic est génial je voyais tous dans ma tête comme une vidéo
Il me tarde la sweet
23/08/09 à 16:50:54
Sweet !!
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