Zone contaminée
Par : sebb73
Genre : Horreur
Status : Terminée
Note :
Chapitre 7
Publié le 20/08/09 à 15:51:17 par sebb73
Fred et moi nous regardâmes et nous tirions les premiers à travers la porte. Nous vidions nos chargeurs et nous entendîmes les bouffeurs hurlant de douleur et également un gros bruit. Nous avions eu l’un d’entre eux qui était tombé dans les escaliers. Après ces tirs, la porte céda peu à peu. Fred et moi allions nous cacher dans une chambre. Un gros Boum se fit entendre. Ça y est, la porte avait cédé et les bouffeurs étaient entrés. L’un des 2 restants poussa un hurlement et grâce au soleil nous vîmes qu’ils se dirigèrent à la cuisine où les tirs commencèrent mais ceux-ci furent stoppés d’un coup quand j’entendis les 2 gars dire:
« Merde plus de munitions !! »
Fred, David et Christophe partirent vers la cuisine mais trop tard: Les 2 bouffeurs leur avaient sauté dessus et commençaient à les mordre. Je courus vers la caisse d’arme et me saisit d’un fusil à pompe. Je retourna dans la cuisine vit Tof qui était revenu vers la porte d’entrée tirer en leur direction. Les bouffeurs se retournèrent alors dans notre direction et je tira. A cause du recul dû à la puissance de l’arme, mon tir se logea dans la jambe du bouffeur qui s’écroula. Mon tir lui avait sectionné la jambe. Il rampait, agonisant, je tira une seconde fois. Cette fois-ci je l’ai eu en plein dans le crâne qui avait explosé et le sang avait éclaboussé le mur de la cuisine. Ce que je n’avais pas vu c’est qu’à cause du temps de rechargement de mon fusil, le second bouffeur s’était approché de nous. Il sauta en notre direction, j’esquivai mais pas Tof et le monstre était sur lui. Cette image avait vidé mon esprit de toute forme logique de défense et je pris mon fusil par la crosse et en donna des énormes coups au bouffeur qui s’affaiblissait. Je le pris par le dos et le balança dans la montée. Le bouffeur se releva et nous regardait. Je tirais un coup de fusil. Le cerveau du bouffeur éclata en petits morceaux. Je me tourna et alla voir Christophe
« Ça va t’as rien ? » Lui-demandais je paniqué à cette idée
Tof se releva, vérifia et fort heureusement j’eus intervenu avant que le bouffeur ne le morde. Fred nous appela alors:
« Venez voir ! »
Nous allions dans la cuisine et nous vîmes les 2 gars mordus par ces choses. Nous ouvrîmes les portes des balcons et quand les portes s’ouvrit Amélie se jeta dans les bras de David tandis qu’Éva fit la même chose avec Tof. Sylvie de son côté était allé voir les 2 blessés et me dit:
« Je crois que ça va faire pareil que Sandy » Me dit elle pessimiste « T’es sûr ? » Lui demandais je
« Les plaies sont devenues verdâtres » Me répondit elle
Je me mis à réfléchir quelques instants et 2 pensées me vinrent alors à l’esprit. Je me retournais vers Sylvie et dit:
« Vois ça avec Fred »
« Où vas tu ? » Me demanda elle
« Je viens de penser a un truc ! »
Je passa alors dans la montée avec mon arme. Pour ne pas perdre de temps je courus jusqu’au hall de l’immeuble et referma bien la porte de façon à éviter une nouvelle attaque. Je remonta alors en courant tandis que dans l’appartement, Fred haussa le ton avec Sylvie
« Vous êtes dingue de l’avoir laissé sortir seul !! »
« Mais il est parti trop vite ! Je n’ai pas eu le temps de le... » Un souffle se fit entendre dans la montée. Similaire à celui d’une personne essoufflée donc à celui des bouffeurs. Fred prit son arme et dit aux autres:
« Repliez vous dans le salon !! »
Les survivants se replièrent et Fred sortit dans la montée. Il vit alors quelque chose arriver à l’étage d’en dessous. Pour vérifier il dit alors:
« Seb c’est toi ? »
« Oui... » lui répondis je essoufflé
« Putain t’es malade de nous faire peur comme ça ? » « Désolé bah viens je t’explique »
Nous rentrâmes donc dans l’appartement et Fred dit:
« C’est rien c’était que Seb »
Tous poussèrent un soupir de soulagement tandis que je me grattais la tête et que je dis:
« Désolé de vous avoir fait peur j’ai pensé à un truc qu’il fallait que je fasse maintenant » « Quoi ? » Me demanda Marion
« Bah refermer la porte du hall j’y ai pensé et je voulais pas que ces choses se réintroduisent dans la montée ! »
Sylvie vint alors vers Fred et moi et dit:
« On a un problème ! »
« Qu’est ce qu’il y a ? » Demanda Fred
« C’est Fabien et Jean ! Ils sont aveugles et vomissent du sang ! »
Cette phrase me fit penser a ce qu’on avait convenu pour Sandy. J’eus alors une boule à l’estomac. Je regardai Fred et me fit un hochement de tête comme pour dire qu’il n’y avait qu’une seule possibilité. Il fallait en finir avec ces 2 là nous même. Fred décida quand même d’aller leur parler. Nous avions accompagner Fabien et Jean dans la chambre ou était encore le corps de Sandy. Nous les asseyons et Fred dit:
« Écoutez les gars je vais être honnête avec vous. Vous avez choppé leur malédiction. Dans quelques heures vous serez dans leur camp. »
« Non pas ça je veux pas mourir ! » Lança Jean
« Vous avez 2 choix: Soit vous passer dans leur camp, soit.... » « Soit ? » Demanda Fabien
« Soit on en fini avec vous nous-même » Dit Fred d’un air dégouté
Nous avions fermer la porte de la chambre pour éviter que l’impact du tir n’effraie les autres survivants. Mais on ignorait la décision de Jean et Fabien. Ils se consultèrent rapidement et Jean dit:
« Tuez nous ! On veut pas finir comme ces bestioles ! »
Fabien acquiesça d’un hochement de tête tandis que Fred avait prit dans la caisse d’arme un Silencieux pour ne pas choquer les autres. Il chargea l’arme tandis qu’entre 2 vomissements Jean me dit:
« Seb c’est ça ? »
« Oui » répondis je d’une petite voix
Jean se fit alors les poches et me tendit son porte-feuille que je pris.
« Ouvre le » dit Jean
Je l’ouvris et vit une photo d’une jeune femme et d’un jeune garçon. La jeune femme devait avoir 25 ans et semblait très heureuse et l’enfant qui était dans ses bras je ne lui donnais pas plus de 5 ans.
« Tu vois ces 2 personnes c’est ma femme et mon fils »
Cette phrase me stoppa net. J’étais figé. Nous nous apprêtions à tuer un père de famille. Je commençai à sangloter tandis que Jean me dit:
« Dans mon porte-feuille je leur ai écrit un petit mot. Si vous les croisez pourrais tu leur donner ? »
Je ne pouvais plus retenir mes larmes plus longtemps. Entre 2 inspirations je lui dit alors:
« Je te le promets Jean »
Jean me sourit alors et Fred dit alors:
« Adieu les gars. Merci pour votre aide. »
« Survivez pour nous ! » dit Fabien
« Promis » dit Fred
PAN ! PAN ! 2 coups. Les 2 avaient atteint leur cible. Fabien et Jean étaient morts mais semblaient bien moins stressés maintenant. Ils étaient sans aucun doute dans un endroit plus paisible. Nous retournâmes dans le salon blêmes. Nous nous asseyons près des autres. Marion me vit et me prit dans ses bras tandis que Fred lui aussi était choqué mais il tenta de se convaincre en se disant qu’il avait bien fait. L’après-midi passa à la vitesse de l’éclair et heureusement les bouffeurs semblaient s’être calmés. La nuit approcha et Fred toujours dans un état second était allé dans la chambre où nous nous reposions et je le vis faire de drôles de gestes. J’allai le voir et lui dit:
« Qu’est ce que tu fais ? »
Fred me montra alors la télécommande de ma télé et dit:
« J’allais allumer la télé »
Je lui fis un hochement de tête et il alluma la TV. La neige était présente sur l’écran à la place des chaînes. Il se tourna vers moi et dit:
« Ça aurait pu marcher »
Fred se leva et commença à partir mais je lui dit:
« Attends t’as oublié de faire un truc. »
Je débranchais alors la péri tel de ma PS2 et la remplaça par celle de mon décodeur TV. Je l’allumai et là surprise... nous captions la télévision. Fred appela nos amis:
« Hé ! Venez voir on capte la télé ! »
« Merde plus de munitions !! »
Fred, David et Christophe partirent vers la cuisine mais trop tard: Les 2 bouffeurs leur avaient sauté dessus et commençaient à les mordre. Je courus vers la caisse d’arme et me saisit d’un fusil à pompe. Je retourna dans la cuisine vit Tof qui était revenu vers la porte d’entrée tirer en leur direction. Les bouffeurs se retournèrent alors dans notre direction et je tira. A cause du recul dû à la puissance de l’arme, mon tir se logea dans la jambe du bouffeur qui s’écroula. Mon tir lui avait sectionné la jambe. Il rampait, agonisant, je tira une seconde fois. Cette fois-ci je l’ai eu en plein dans le crâne qui avait explosé et le sang avait éclaboussé le mur de la cuisine. Ce que je n’avais pas vu c’est qu’à cause du temps de rechargement de mon fusil, le second bouffeur s’était approché de nous. Il sauta en notre direction, j’esquivai mais pas Tof et le monstre était sur lui. Cette image avait vidé mon esprit de toute forme logique de défense et je pris mon fusil par la crosse et en donna des énormes coups au bouffeur qui s’affaiblissait. Je le pris par le dos et le balança dans la montée. Le bouffeur se releva et nous regardait. Je tirais un coup de fusil. Le cerveau du bouffeur éclata en petits morceaux. Je me tourna et alla voir Christophe
« Ça va t’as rien ? » Lui-demandais je paniqué à cette idée
Tof se releva, vérifia et fort heureusement j’eus intervenu avant que le bouffeur ne le morde. Fred nous appela alors:
« Venez voir ! »
Nous allions dans la cuisine et nous vîmes les 2 gars mordus par ces choses. Nous ouvrîmes les portes des balcons et quand les portes s’ouvrit Amélie se jeta dans les bras de David tandis qu’Éva fit la même chose avec Tof. Sylvie de son côté était allé voir les 2 blessés et me dit:
« Je crois que ça va faire pareil que Sandy » Me dit elle pessimiste « T’es sûr ? » Lui demandais je
« Les plaies sont devenues verdâtres » Me répondit elle
Je me mis à réfléchir quelques instants et 2 pensées me vinrent alors à l’esprit. Je me retournais vers Sylvie et dit:
« Vois ça avec Fred »
« Où vas tu ? » Me demanda elle
« Je viens de penser a un truc ! »
Je passa alors dans la montée avec mon arme. Pour ne pas perdre de temps je courus jusqu’au hall de l’immeuble et referma bien la porte de façon à éviter une nouvelle attaque. Je remonta alors en courant tandis que dans l’appartement, Fred haussa le ton avec Sylvie
« Vous êtes dingue de l’avoir laissé sortir seul !! »
« Mais il est parti trop vite ! Je n’ai pas eu le temps de le... » Un souffle se fit entendre dans la montée. Similaire à celui d’une personne essoufflée donc à celui des bouffeurs. Fred prit son arme et dit aux autres:
« Repliez vous dans le salon !! »
Les survivants se replièrent et Fred sortit dans la montée. Il vit alors quelque chose arriver à l’étage d’en dessous. Pour vérifier il dit alors:
« Seb c’est toi ? »
« Oui... » lui répondis je essoufflé
« Putain t’es malade de nous faire peur comme ça ? » « Désolé bah viens je t’explique »
Nous rentrâmes donc dans l’appartement et Fred dit:
« C’est rien c’était que Seb »
Tous poussèrent un soupir de soulagement tandis que je me grattais la tête et que je dis:
« Désolé de vous avoir fait peur j’ai pensé à un truc qu’il fallait que je fasse maintenant » « Quoi ? » Me demanda Marion
« Bah refermer la porte du hall j’y ai pensé et je voulais pas que ces choses se réintroduisent dans la montée ! »
Sylvie vint alors vers Fred et moi et dit:
« On a un problème ! »
« Qu’est ce qu’il y a ? » Demanda Fred
« C’est Fabien et Jean ! Ils sont aveugles et vomissent du sang ! »
Cette phrase me fit penser a ce qu’on avait convenu pour Sandy. J’eus alors une boule à l’estomac. Je regardai Fred et me fit un hochement de tête comme pour dire qu’il n’y avait qu’une seule possibilité. Il fallait en finir avec ces 2 là nous même. Fred décida quand même d’aller leur parler. Nous avions accompagner Fabien et Jean dans la chambre ou était encore le corps de Sandy. Nous les asseyons et Fred dit:
« Écoutez les gars je vais être honnête avec vous. Vous avez choppé leur malédiction. Dans quelques heures vous serez dans leur camp. »
« Non pas ça je veux pas mourir ! » Lança Jean
« Vous avez 2 choix: Soit vous passer dans leur camp, soit.... » « Soit ? » Demanda Fabien
« Soit on en fini avec vous nous-même » Dit Fred d’un air dégouté
Nous avions fermer la porte de la chambre pour éviter que l’impact du tir n’effraie les autres survivants. Mais on ignorait la décision de Jean et Fabien. Ils se consultèrent rapidement et Jean dit:
« Tuez nous ! On veut pas finir comme ces bestioles ! »
Fabien acquiesça d’un hochement de tête tandis que Fred avait prit dans la caisse d’arme un Silencieux pour ne pas choquer les autres. Il chargea l’arme tandis qu’entre 2 vomissements Jean me dit:
« Seb c’est ça ? »
« Oui » répondis je d’une petite voix
Jean se fit alors les poches et me tendit son porte-feuille que je pris.
« Ouvre le » dit Jean
Je l’ouvris et vit une photo d’une jeune femme et d’un jeune garçon. La jeune femme devait avoir 25 ans et semblait très heureuse et l’enfant qui était dans ses bras je ne lui donnais pas plus de 5 ans.
« Tu vois ces 2 personnes c’est ma femme et mon fils »
Cette phrase me stoppa net. J’étais figé. Nous nous apprêtions à tuer un père de famille. Je commençai à sangloter tandis que Jean me dit:
« Dans mon porte-feuille je leur ai écrit un petit mot. Si vous les croisez pourrais tu leur donner ? »
Je ne pouvais plus retenir mes larmes plus longtemps. Entre 2 inspirations je lui dit alors:
« Je te le promets Jean »
Jean me sourit alors et Fred dit alors:
« Adieu les gars. Merci pour votre aide. »
« Survivez pour nous ! » dit Fabien
« Promis » dit Fred
PAN ! PAN ! 2 coups. Les 2 avaient atteint leur cible. Fabien et Jean étaient morts mais semblaient bien moins stressés maintenant. Ils étaient sans aucun doute dans un endroit plus paisible. Nous retournâmes dans le salon blêmes. Nous nous asseyons près des autres. Marion me vit et me prit dans ses bras tandis que Fred lui aussi était choqué mais il tenta de se convaincre en se disant qu’il avait bien fait. L’après-midi passa à la vitesse de l’éclair et heureusement les bouffeurs semblaient s’être calmés. La nuit approcha et Fred toujours dans un état second était allé dans la chambre où nous nous reposions et je le vis faire de drôles de gestes. J’allai le voir et lui dit:
« Qu’est ce que tu fais ? »
Fred me montra alors la télécommande de ma télé et dit:
« J’allais allumer la télé »
Je lui fis un hochement de tête et il alluma la TV. La neige était présente sur l’écran à la place des chaînes. Il se tourna vers moi et dit:
« Ça aurait pu marcher »
Fred se leva et commença à partir mais je lui dit:
« Attends t’as oublié de faire un truc. »
Je débranchais alors la péri tel de ma PS2 et la remplaça par celle de mon décodeur TV. Je l’allumai et là surprise... nous captions la télévision. Fred appela nos amis:
« Hé ! Venez voir on capte la télé ! »
20/08/09 à 20:41:21
Et ils regardèrent des films pendant le reste de leur vie. FIN.
20/08/09 à 16:42:38
OMAGAD sa sent le couscous
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