" de l'index gauche je touche mon auriculaire droit et je me questionne, longuement, sur la possibilité qu'un jour, un homme au dessus de toutes loi et d'une toute puissance puisse existé quelque part en ce monde, et je reviens un instant a la dur réalité de la vie. Moi, Danny, jeune étudiant en droit, pas plus intéressé que ça d'ailleurs clairement, vivant dans une putain de piaule a peine plus grande qu'une chambre de bonnes, fou amoureux d'Estelle, la fille la plus classe et raffinée qui sois, un peu trop cela dis, eh bien moi, j'ose émettre la possibilité de l'existence de la parfaite incarnation. Foutaise, moi même je suis persuadé que cela est le fruit d'une imagination gangrené par une folie intérieur, impossible d'extériorisé ce fantasme autrement qu'en ouvrant un cahier et de m'armer d'un stylo et d'écrire, mots pour mots, ce que l'homme, dans toute sa splendeur, serais capable d'accomplir. Qui sais, vous savez, il n'existe encore aujourd'hui aucun Homme capable de comblé chaque individu, quel que sois ses attentes, et je dis Homme avec un grand ache ! Prenons le temps de nous posez cinq minutes, que je puisse me servir calmement un café et de réfléchir a ce que l'homme serais si j'était Dieu.
Commençons par le commencement:

Chapitre premier.

Première ébauche, ma main droite est celle qui crée, elle est toute puissante, grande, pleine de doigts tous aussi magique les uns que les autres, et pourtant elle paraît si humaine, si faible, tellement que quand je frappe dans un mur, je saigne...résultant donc de ma condition d'être humain.

Première ébauche: suite. Ma main est celle de Dieu, le tout puissant, celui qui crée et qui permet la destruction a celui qui est mauvais ou au bon qui est dans l'ignorance, elle est ferme quand il le faut, et tendre quand elle le doit.

Deuxième ébauche: Je pense que ma volonté de crée l'homme parfait échouera puisque je ne suis moi même pas le model exemplaire, faudrait-il que je puise dans les mémoires de mon défunt père ? le regrettable " Monsieur Boy " ? la question me hante.


Monsieur Boy était un homme étrange, assez réservé, il ne parlait a son entourage que quand l'envie lui venais de parler du grand large, de sa côte Anglaise de sa ville natal de Bournemouth, là ou il était née donc, vraisemblablement comme il est dis dans le récit, mais... quelques doutes émergèrent, venant de ci et de là, surtout venant d'ailleurs, de ceux qui habitais Bournemouth, les doyens, qui eux n'avais, dans leurs longues vies, jamais eu vents de l'existence d'un quelconque Monsieur Boy...

" Mais bon sang je viens de là ou j'arrive ! " aimais dire le vieux Boy, alors, vue qu'il était imposant et assez repoussant, on fis mine de le croire.

Monsieur Boy dans tout ça, s'il devais avoir une place dans la deuxième ébauche, ce serais certainement et seulement parce qu'il inspirais quelque chose de nouveaux a chaque individu qui le croisais, si bien qu'un ancien de quatre vingt dix ans m'affirma qu'il as connu le grand Boy alors qu'il n'était âgé que de 18 ans... cela ne se pouvais étant donner qu'actuellement, Boy soufflait... ses 20 bougies...

Un autre connaissais aussi Monsieur Boy, il disais l'avoir déplumé un soir au sous-sol de chez la Dame Irma, et qu'elle n'avais pas su voir l'escroquerie que ce dernier infligea a ses cinq adversaire, cela ce passa il y a quelques années, moins d'une vingtaine mais certainement plus d'une dizaine, l'homme affirmant cela jura qu'il était née le 18 Décembre de cette année.


Troisième ébauche: La main du mâlin serais-t'elle plus douce que celle du seigneur ? elle est rouge, mais quand je souffle dessus, je me sens soulager ! serais-je atteint d'un mal intérieur ? je l'ignore.

Quatrième ébauche: Mon envie s'estompe, graduellement je dirais que d'une échelle de dix, elle passe a sept, mais une boule au ventre me fait terriblement souffrir, il faut que j'en vienne aux fait...

L'an 2000; Centre Hospitalier, Lieu inconnu.

* Tut...tut...tut...*

L'apparente tranquillité de cette salle blanche cachais bien là une souffrance pesante dans l'air qu'expirais Jeff Jefferson. Ses parents a son chevet l'admirais, l'air triste évidemment, mais aussi serein, comme s'ils savaient au fond d'eux même que leur enfant ne disparaîtrais pas, quoi qu'il puisse arriver... alors une infirmière frappa a la porte puis entra:

-" S'il vous plait, Monsieur Jefferson, vous êtes demander a l'extérieur "

Ce que Monsieur Jefferson s'empressa de faire, c'était d'extraire ses grosses fesses du lit de son fils, ce qui créa un certain décalage au niveau de la hauteur, ce que sa femme fit mine de lui faire remarquer, pour ne pas le vexé.

A l'extérieur l'attentais deux hommes en vérité, tous deux vêtu de noirs, de la tête aux pieds, l'attendant là, passible, droit comme des piquets ! Quand la lumière des néons des couloirs de l'hôpital eurent fini d'aveugler ce pauvre Mr Jefferson, il pu enfin reconnaître les sales gueules de Stan Marl et Smith Borro, deux salopard comme on en fait peu, dans bien des récits !

Bref, Stan Marl et Smith Borro étais deux enfoirés qui enquêtais sur l'existence même d'un individu aux pouvoirs assez spéciaux, mais que personne encore n'avais jamais vue... pourquoi venir emmerder Monsieur Jefferson dans ce cas vous demanderiez vous eh bien cela est simple... Monsieur Jefferson est un conteur d'histoire pour enfant, mais pas n'importe quelles histoires...


Cinquième ébauche: Alors que j'ose un regard pointé au ciel, celui ci me r'envois plus bas que terre, comme s'il m'avais cerné, comme s'il avais compris ce que j'attendais de lui.

2000 ans après Jésus-Christ, Centre Hospitalier, lieu inconnu.

Bref, Stan Marl, un grand chauve mais assez maigre, avais un alter égo, il s'appelais Smith Borro, un petit gros très chevelu, tous deux enquêtais sur l'existence non fondé d'un Homme aux pouvoirs spéciaux, ect. En voyant Monsieur Jefferson sortir de la chambre de son fils, les deux Hyènes fixèrent leur regard sur lui, le voyant approcher pas a pas, semblant entendre le nombre de pas qu'il lui resterais a parcourir pour l'atteindre... * clap, clap, clap, clap... * la résonance était quasi parfaite, quand ce dernier s'arrêta net devant les deux énergumène:

-" Bien le bonsoir bande d'enfoiré, que puis-je faire pour vous ?!
- Doucement le gros dur..." a ce jeu là, Smith Borro semblais savoir de quoi il parlait, il continua.
- Tu vois ça ? c'est le dossier que mon coop et moi on rédige depuis bel lurettes, je pense que tu devrais le lire, ça va intéressée "

Sur ces mots, Jeff pris le dossier, a ce moment là matérialisé en vérité par une pochette noire pas très épaisse, avec écris dans un coin " Multiples Ébauches: Par Monsieur Boy "

Sixième ébauche: Dans un coin de ma tête, je vois la lumière qui m'éblouie, quand je tourne la tête, le coin en est un autre, qui me laisse entrevoir l'ombre, la noirceur, les ténèbres, et je m'évanouie.