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CHAPITRE 7 : L'affrontement final
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Hier, j'étais assis tranquille sur mon siège à jouer à Garry's Mod sur mon PC, j'étais loin de me douter que cette rentrée se passerait ainsi... Jamais je ne me serais douté que pour mon premier jour de lycée j'aurais eu à sauver une blondasse des griffes du légendaire Robert le Pédobear.
Qui sait, je vais peut-être passer à la TV ? "Un jeune lycéen accompagné de ces 3 sous-fifres a sauvé une jeune fille qui s’apprêtait à se faire sodoculer par un dangereux pédophile"
La classe Toutes les bonasses du monde à mes pieds
J'aurais peut-être un rôle principal pour un futur blockbuster Hollywoodien ? Et peut-être même la chance de rencontrer et Z+V sauvagement Chloé Moretz

En tout cas pour le moment je dois me concentrer sur le sauvetage de cette jeune guenon en détresse
Marc a du mal à se rappeler par ou il est passé la première fois, mais après avoir tourné en rond pendant une éternité, on arrive enfin à destination.
Amélia est toujours attachée sur sa chaise, elle s'est retrouvée au sol, certainement pendant l’altercation entre Marc et le pédobert. Alors que Justine la détache, un coup de feu se fait entendre.

Marc : C'était quoi ça ?
Tony : Un pétard ?
Julien : Non, ça, c'était le tir d'une arme à feu. Ça venait du bâtiment principal je crois.
Marc : OMG
Tony : On a intérêt de dégager vite d'ici
Justine : Amélia ?! Est-ce que ça va ?
Amélia : Oui oui t'inquiète pas
Tony : Génial alors on se tire d'ici !
Amélia : Attendez ! Le prof d'EPS, il m'a prit mon portable !
Tony : On s'en branle de ton portable faut qu'on se casse avant de se faire agrandir l'anus par ce malade !
Justine : On le retrouvera fais moi confiance ! Mais pour le moment, il faut partir de là !
Amélia : D'accord.

Alors que l'on s'apprête à sortir de la pièce, un deuxième coup de feu se fait entendre, cette fois c'est sur, faut vraiment se tirer !
Julien prend la tête de la course, se souvenant parfaitement du plan du bâtiment, il réussit à nous faire sortir facilement. Mais une mauvaise surprise se pointe vers notre direction au même moment...

Marc : C'EST ROBERT !!!
Justine : On dirait qu'il est blessé...
Robert : Vous... Vous allez me le payer !!! (
Marc : Il a une arme !
Tony : FUYEZ PAUVRES FOUS !!!

Malgré la souffrance que lui fait enduré sa blessure, Robert prend en chasse les jeunes adolescents, il est fou de rage, cette même rage lui permet de les courser sans trop de difficulté. Hors de question de les laisser filer, ils en savent trop ! Julien les diriges vers une autre sortie qui mène près du gymnase.
Le portail pour quitter le lycée n'est plus très loin.

Tony : COUREZ PUTAIN IL NOUS RATTRAPE !
Marc : J'en peut plus...
Tony : CONTINUE OU TES FESSES VONT Y PASSER !
Robert : Je vais vous violez les gamins, je vais vous refaire le trou du cul ! :
(lol c le dialaugue du debu ta vu komen jé tro tou calculé mon frayre lol !)

Tony : Julien ! Je crois que c'est le bon moment pour le paralyser ou lui donné envie de chier !
Julien : Désolé mais j'ai déjà utilisé tout ce que j'avais en stock
Tony : On va jamais réussir à le semer

Robert sent qu'il est à bout de souffle, il décide de s'arrêter et de leur tirer dessus.
Le groupe se cache derrière un mur du bâtiment, le portail n'est plus très loin, mais s'ils font un pas vers lui, il y'a de grande chance pour qu'ils se fassent descendre.

Robert : Les enfants ! Sortez de votre cachette ! :
Tonton Robert ne vous fera aucun mal :

Marc : Tony ?
Tony : Quoi ?
Marc : Est-ce qu'on va s'en sortir ?
Tony : Nan on va tous mourir
Justine : TONY ! (
Tony : Ben quoi ?
Justine : Ne t'en fais pas Marc, on va s'en sortir, je te le promet
Marc : D'accord
Tony : Pathétique

Robert : Alors c'était là que vous vous cachiez ? :
Amélia : NON PITIÉ NE NOUS TUEZ PAS !
Marc : OUINNNN !
Tony : J'vais mourir puceau putain

??? : HEY VOUS PLUS UN GESTE !

Deux hommes en uniforme de police braquent leur arme sur Robert.

Policier : Le lycée tout entier est cerné par la police, lâchez cette arme et rendez-vous !
Tony : Voilà les renforts !

Robert n'a plus la force de continuer, il a perdu trop de sang et commence à avoir le tournis, il se rend à la police. L'un des policiers nous demande si nous ne sommes pas blessés, mise à part Marc qui s'est pissé dessus, on est en un seul morceau...

On fut tous examinés par un médecin et on eu même le droit à un bol de chocolat chaud
La police prit notre déposition, on leur expliqua tous ce qui s'était passé, l'enlèvement d'Amélia, la véritable identité de Robert et tous le reste. On apprit qu'un officier qui avait tenté d'arrêter Robert auparavant avait été tué, c'est donc de là que venaient les coups de feu... R.I.P à cet héros mort au combat
On fut interdit de communiquer quoi que ce soit aux journalistes qui avaient envahit l'entrée du lycée, à la recherche d'un max d'infos. Mon plan pour devenir célèbre était tombé à l'eau... Chloé Moretz n'aura jamais l'occasion de sentir mon gros engin la pénétrer

Robert de son côté fut condamné à la prison à vie pour les viols et meurtres qu'il a commit.
Quand à nous, on fut raccompagné à nos domiciles respectifs après avoir prit le soin de s'échanger nos numéros de portable. Evidemment, le lycée fut fermé, pour notre plus grande joie à tous
Bon il sera pas fermé indéfiniment mais au moins on aura droit à un bon gros mois de repos bien mérité Je vous l'avez bien dis, avec moi, rien ne se passe jamais comme prévu, jamais

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[Commissariat - Bureau de Philippe Latour - Chef de Police - 17H20]

Philippe : Alors vous l'avez finalement retrouvé et mit derrière les barreaux...
Gilbert : Oui monsieur, mais j'ai l'impression que cette nouvelle ne vous réjouie pas...
Philippe : Me réjouir ? Vous pensez que je devrais me réjouir ?
Gilbert : He bien je...
Philippe : Par votre faute, l'un de nos agents est mort ! (
Gilbert : L'officier Gaden est mort en héro !
Philippe : L'officier Gaden est mort parce qu'il vous as suivit, vous et votre histoire de vengeance !
Gilbert : Ça n'a rien à voir ! Robert Denira était l'un des pédophiles les plus dangereux de cette ville et il fallait absolument l'arrêter !
Philippe : Effectivement mais ce n'était pas à vous de le faire ! Suite à la mort de votre ancien co-équipier, je vous avez ordonné de ne plus vous occupez de cette affaire et de nous laisser faire le reste !
Gilbert : Vous laissez faire le reste ?! Vous passez vos journées avachis dans vos fauteuil à classer vos dossiers et à boire du café à longueur de temps, et pendant ce temps là, cette ville pourrie sous le flot de violeurs et de meurtriers qui ne cesse d'augmenter d'année en année !
Aucun d'entre vous dans ce commissariat ne mérite d'être nommé officier, ou même chef de police !
Sans moi, Robert serait encore libre aujourd'hui !
Philippe : Sans vous, l'officier Gaden serait encore en vie aujourd'hui.
Gilbert : ...
Philippe : En continuant à enquêter sur cette affaire vous avez désobéis à mes ordres, de plus, votre soif de vengeance a coûté la vie à l'une de mes plus jeunes et talentueuses recrues.... Vous êtes renvoyé.
Gilbert : Quoi ?! Mais vous ne pouvez pas !
Philippe : Vous remettrez votre insigne ainsi que votre arme de service à l'accueil.
Gilbert : Non attendez je...
Philippe : Sortez de mon bureau, immédiatement !
Gilbert : ...

Après plus de 40 ans de services, l'officier Gilbert fut licencié.
Il va chercher son badge et son arme de service posés sur son bureau puis les ramène à l'accueil.
Il range toutes ses affaires dans un carton et observe pour la dernière fois le bureau dans lequel il a travaillé toute sa vie. Il se remémore tous les meurtriers et les violeurs d'enfants qu'il a-- réussit à mettre en prison jusque là, plus de 300, il est l'un des officiers les plus compétents de cette ville, il était...

Il repense à Gaden, il ne le connaissait pas vraiment, il ne l'avait rejoint que depuis 2 mois.
C'était un garçon aimable et sérieux dans son travail, ce qu'il commençait, il le terminait toujours.
Gilbert lui avait demandé de l'aider pour coincer Robert une bonne fois pour toute, il n'y était pas obligé, il connaissait les risques, il savait qu'il pouvait perdre sa place, ou pire, y laisser la vie, mais malgré tout, il avait accepté. Il avait confiance en lui... Désormais, il est rongé par le remord... Il ne veut pas l'avouer, mais il sait qu'au fond de lui, tout est de sa faute... S'il ne l'avait pas embarqué là-dedans, il serait encore en vie...

Il pousse un léger soupir, éteint l'interrupteur puis ferme la porte à clef.
Tous les regards sont fixés sur lui, il n'y fait pas attention et continue à marcher vers la sortie.
Une fois à l'extérieur, il observe les alentours, l’esprit pensif...
Malgré le fait qu'il passait ses journées à courir après les meurtrier et les violeurs, il avait un hobbie, la pêche.

Gilbert : Bien... Il est temps de rentrer à la maison.

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[2 semaines plus tards]

Maman : Tony !
Tony : Putain c'est qui l'enculé de sa grand-mère la chienne qui...
Maman : Réveils-toi mon chéri allez !
Tony : Mhmhmhmhmh...
Maman : Aller ! C'est l'anniversaire de ta cousine aujourd'hui, on avait dit qu'il fallait tout préparer avant son arrivé ce soir !
Tony : J'ai jamais dit que je t'aiderais... Et puis j'ai pas envie de la voir, c'est une grosse morue et elle est pleine de boutons, j'ai déjà assez avec ta gueule à supporter tous les jours alors avec elle en plus...
Maman : Ton père est déjà arrivé :)
Tony : Hein ?! Mais il est quelle heure ?!
Maman : 13h30 :)
Tony : Ha... Bon ça va j'descend mais arrête de me faire chier
Maman : Je t'ai préparer à manger
Tony : C'est ça casse-toi femme !

Aujourd'hui on est un dimanche, deux semaines ont passés depuis les événements qui se sont déroulés au lycée Philippe Guitton. Ça n'a pas vraiment changé quoi que ce soit à ma vie
Ma mère me fait toujours autant chier, mon père est toujours un gros con et je vais devoir passer ma soirée à fêter l'anniv de ma grosse truie de cousine à la con
Depuis, je revoie encore Marc, Julien, Justine et Amélia... Ha et Momo aussi... Il avait poursuivit Kévin dans toute la ville et avait finit par le rattraper, mais au même moment il s'était fait chopper par les flics, Kévin s'est mis à chialer et à fait croire qu'il le persécutait, du coup Momo s'est retrouvé quelques jours en taules

Enfin bon en tout cas là j'ai la dalle alors je vais prendre un bon gros déjeuner de bon gros porcs bien halal que je suis J'évite de passer par la salle à manger pour ne pas voir mon père et je m'infiltre en douce dans la cuisine, aujourd'hui, c'est calélonies, mon plat préféré

Mhmhmhmh cette odeur, j'en ai déjà l'eau à la bouche
Je m'empare de ma magnifique fourchette argenté acheté à Carrefour et j'engouffre cette onctueuse nourriture

Mais au même moment, je sens mon portable vibrer dans ma poche de pantalon, c'est Justine, qu'est-ce qu'elle peut bien me vouloir

Tony : J'ai pas le temps de te parler je bouffe
Justine : Ha Tony ! Enfin un qui me répond !
Tony : Qu'est-ce qui se passe
Justine : Tu regardes la télé actuellement ?
Tony : Nope je bouffe des calélonies
Justine : Allume ta télévision, vite !
Tony : Ok ok ça va calmos

BIP

"...apprendre à l'instant que le dangereux pédophile, Robert Denira qui était incarcéré dans la prison de Fleuri-Miringisse s'est échappé aujourd'hui même avec ces trois compagnons de cellule..."

Tony :