Ma cousine, une bombe
Par : Bay
Genre : Sentimental
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 96
Publié le 21/09/14 à 12:01:34 par Bay
Chapitre 95
Arrivé dans sa chambre, je la posais doucement sur son lit, tout en continuant à l'embrasser. Je n'étais pas concentré, et j'avais l'image de sa chambre en tête, en essayant de me rappeler comment j'avais fait la première fois. Rapidement, je me repris, tout en m'en voulant d'être aussi stupide "Mec, t'es avec une meuf et tout ce que tu penses c'est à l'architecture de la chambre ?". Pour oublier tout ça, je commençais à lui déboutonner sa chemise jusqu'au nombril, avant d’apercevoir sa petite poitrine, et son nombril que je m'empressais d'embrasser.
Elle se laissait faire, et avait l’air de me faire confiance. Une fois que j’en eus assez d’embrasser son petit ventre un peu rebondi, je levai la tête pour profiter de ce que j’avais en face de moi. Une fille qui correspondait parfaitement à mes critères et goûts, allongée, les cheveux négligemment dispersés contre le matelas, ci et là. Elle avait encore sa chemise sur elle, totalement ouverte qui dépassait sur les côtés. Ni une ni deux, je décidai de poser une main sur sa poitrine pendant que je l’embrassais tendrement. Elle avait l’air d’apprécier. Cette même main plongeait à l’intérieur de son décolleté pour empoigner fermement son sein, pendant que l’autre essayait de dégrafer son soutien-gorge. Sa poitrine se dévoilait lentement, pendant que j’en profitais pour embrasser son téton frémissant.
Pendant que je m’y attelais, je me disais que j’avais vraiment eu de la chance cette année. Cette pensée me confirmait que j’étais vraiment étrange pour avoir la tête ailleurs en étant avec une fille comme elle. Mais je n’y pouvais rien, ça me trottait trop dans la tête. Qu’est-ce qui avait bien pu me permettre de franchir le pas depuis tous ces mois ? Je n’avais aucune réponse. Je savais juste que j’étais assez mitigé.
Les filles, l’amour, le sexe. C’est quelque chose qui nous fait tous fantasmer, quelque chose auquel on aspire tous. Depuis qu’on est petit, cette image est omniprésente dans nos vies. Alors pourquoi j’éprouvais une telle morosité quand je pensais à tout ce qui m’avait été offert depuis des mois ? Cassandra, Julie, Mélanie, et même cette pauvre fille dont j’ai oublié le nom à cette soirée minable. Je pensais que c’était ce qui me manquait dans mon quotidien, qu’une fois que j’aurais la chance de pouvoir passer à l’acte tout irait mieux dans ma vie, que le vide se serait comblé. J’avais tout faux. Ca ne faisait que combler un peu plus le vide émotionnel qui perdurait en moi depuis tant de temps.
Ce n’était pas étonnant, je n’avais pas la carrure pour assumer ce genre de relation. Je m’étais totalement foiré avec Cassandra, et avec Mélanie c’était carrément moi qui étais à l’origine de ce qui n’allait pas. Qu’est-ce qui clochait chez moi ? Pendant que je me répétais cela, j’étais incapable de poursuivre avec Julie, et elle s’en était rendue compte. J’étais à genoux sur le lit, le regard vide.
Il m’était physiquement impossible d’aller plus loin avec Julie, mon corps me repoussait, et j’avais sans cesse en tête Laura et ce qui s’était passé lors de nos vacances. C’était plus fort que moi, elle m’obsédait, même dans un moment comme celui-ci.
- Bah qu’est-ce que tu fais ? me demanda Julie
- Je… je vais pas pouvoir je suis désolé
A peine avais-je répondu qu’elle se redressa puis vint m’embrasser à nouveau, geste que je ne pus même pas repousser. Cependant elle comprit que ça ne servait à rien d’insister, que je n’avais pas la tête à ça. Après un dernier baiser, elle reboutonna sa chemise, sans même me demander une explication. Cependant j’avais besoin de dire ce que j’avais sur le cœur, j’avais besoin d’en parler. Garder les choses pour soi fini par nous manger intérieurement. Julie était la première personne en face de moi, cela m’importait peu.
- Je suis désolé je ne peux pas, j’ai déjà une fille en tête.
- T’es encore amoureux de Mélanie ?
- Non, ce n’est pas Mélanie… c’est terminé avec elle, il n’y aura jamais rien d’autres.
Après avoir parlé un peu avec Julie, je décidai de partir, sentant qu’elle était encore un peu vexée de la manière dont je l’avais repoussé. En revanche, cette discussion m’avait fait beaucoup de bien, et ça m’avait redonné un peu d’espoir. Le simple fait d’en parler avec quelqu’un rendait la situation plus réelle à mes yeux, moins fantasmée et beaucoup plus accessible. Je n’avais qu’une envie, retourné voir Laura, et tout lui dire, tenter quelque chose, le tout pour le tout. On ne vit qu’une fois, et je n’ai pas envie de m’en vouloir toute ma vie de n’avoir jamais eu le courage de lui déballer la vérité.
Un peu plus tard, en fin de soirée, je pris mon courage à deux mains, bien aidé par quelques verres envoyés en solitaire après ma virée avec Julie. Il le fallait, je le devais, je le devais pour moi et aussi pour enfin être débarrassé de ce sentiment de culpabilité latent qui venait s’interposer entre ma conscience et mes sentiments. Il était 23h, et je me trouvais en face de la maison de Laura.
Arrivé dans sa chambre, je la posais doucement sur son lit, tout en continuant à l'embrasser. Je n'étais pas concentré, et j'avais l'image de sa chambre en tête, en essayant de me rappeler comment j'avais fait la première fois. Rapidement, je me repris, tout en m'en voulant d'être aussi stupide "Mec, t'es avec une meuf et tout ce que tu penses c'est à l'architecture de la chambre ?". Pour oublier tout ça, je commençais à lui déboutonner sa chemise jusqu'au nombril, avant d’apercevoir sa petite poitrine, et son nombril que je m'empressais d'embrasser.
Elle se laissait faire, et avait l’air de me faire confiance. Une fois que j’en eus assez d’embrasser son petit ventre un peu rebondi, je levai la tête pour profiter de ce que j’avais en face de moi. Une fille qui correspondait parfaitement à mes critères et goûts, allongée, les cheveux négligemment dispersés contre le matelas, ci et là. Elle avait encore sa chemise sur elle, totalement ouverte qui dépassait sur les côtés. Ni une ni deux, je décidai de poser une main sur sa poitrine pendant que je l’embrassais tendrement. Elle avait l’air d’apprécier. Cette même main plongeait à l’intérieur de son décolleté pour empoigner fermement son sein, pendant que l’autre essayait de dégrafer son soutien-gorge. Sa poitrine se dévoilait lentement, pendant que j’en profitais pour embrasser son téton frémissant.
Pendant que je m’y attelais, je me disais que j’avais vraiment eu de la chance cette année. Cette pensée me confirmait que j’étais vraiment étrange pour avoir la tête ailleurs en étant avec une fille comme elle. Mais je n’y pouvais rien, ça me trottait trop dans la tête. Qu’est-ce qui avait bien pu me permettre de franchir le pas depuis tous ces mois ? Je n’avais aucune réponse. Je savais juste que j’étais assez mitigé.
Les filles, l’amour, le sexe. C’est quelque chose qui nous fait tous fantasmer, quelque chose auquel on aspire tous. Depuis qu’on est petit, cette image est omniprésente dans nos vies. Alors pourquoi j’éprouvais une telle morosité quand je pensais à tout ce qui m’avait été offert depuis des mois ? Cassandra, Julie, Mélanie, et même cette pauvre fille dont j’ai oublié le nom à cette soirée minable. Je pensais que c’était ce qui me manquait dans mon quotidien, qu’une fois que j’aurais la chance de pouvoir passer à l’acte tout irait mieux dans ma vie, que le vide se serait comblé. J’avais tout faux. Ca ne faisait que combler un peu plus le vide émotionnel qui perdurait en moi depuis tant de temps.
Ce n’était pas étonnant, je n’avais pas la carrure pour assumer ce genre de relation. Je m’étais totalement foiré avec Cassandra, et avec Mélanie c’était carrément moi qui étais à l’origine de ce qui n’allait pas. Qu’est-ce qui clochait chez moi ? Pendant que je me répétais cela, j’étais incapable de poursuivre avec Julie, et elle s’en était rendue compte. J’étais à genoux sur le lit, le regard vide.
Il m’était physiquement impossible d’aller plus loin avec Julie, mon corps me repoussait, et j’avais sans cesse en tête Laura et ce qui s’était passé lors de nos vacances. C’était plus fort que moi, elle m’obsédait, même dans un moment comme celui-ci.
- Bah qu’est-ce que tu fais ? me demanda Julie
- Je… je vais pas pouvoir je suis désolé
A peine avais-je répondu qu’elle se redressa puis vint m’embrasser à nouveau, geste que je ne pus même pas repousser. Cependant elle comprit que ça ne servait à rien d’insister, que je n’avais pas la tête à ça. Après un dernier baiser, elle reboutonna sa chemise, sans même me demander une explication. Cependant j’avais besoin de dire ce que j’avais sur le cœur, j’avais besoin d’en parler. Garder les choses pour soi fini par nous manger intérieurement. Julie était la première personne en face de moi, cela m’importait peu.
- Je suis désolé je ne peux pas, j’ai déjà une fille en tête.
- T’es encore amoureux de Mélanie ?
- Non, ce n’est pas Mélanie… c’est terminé avec elle, il n’y aura jamais rien d’autres.
Après avoir parlé un peu avec Julie, je décidai de partir, sentant qu’elle était encore un peu vexée de la manière dont je l’avais repoussé. En revanche, cette discussion m’avait fait beaucoup de bien, et ça m’avait redonné un peu d’espoir. Le simple fait d’en parler avec quelqu’un rendait la situation plus réelle à mes yeux, moins fantasmée et beaucoup plus accessible. Je n’avais qu’une envie, retourné voir Laura, et tout lui dire, tenter quelque chose, le tout pour le tout. On ne vit qu’une fois, et je n’ai pas envie de m’en vouloir toute ma vie de n’avoir jamais eu le courage de lui déballer la vérité.
Un peu plus tard, en fin de soirée, je pris mon courage à deux mains, bien aidé par quelques verres envoyés en solitaire après ma virée avec Julie. Il le fallait, je le devais, je le devais pour moi et aussi pour enfin être débarrassé de ce sentiment de culpabilité latent qui venait s’interposer entre ma conscience et mes sentiments. Il était 23h, et je me trouvais en face de la maison de Laura.
15/10/14 à 23:43:32
Sweet ! *o*
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