Ma cousine, une bombe
Par : Bay
Genre : Sentimental
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 94
Publié le 31/03/14 à 23:02:10 par Bay
Chapitre 93
Mélanie et Laura allèrent se coucher. Il était tard, tout le monde était fatigué, et bourré de surcroît. Elles n'avaient jamais tenu l'alcool, ce n’était pas étonnant. Tout le monde décidait d'en faire de même, et arrivait 4h du matin, il était temps de dormir. Après avoir rangé le bordel et préparé mon « lit », je pris la direction de la porte histoire d'être au calme et faire le point sur mes idées. C'est toujours quand on est couché, avant de dormir, qu'on est le plus apte à réfléchir sur sa situation et ses problèmes. Cependant, je fus vite interrompu, et quelqu'un vint frappé à ma porte.
2 semaines plus tard
_________________________
Assis dans ma chambre, sur ce lit qui m'avait un peu manqué, j'étais posé, une cigarette à la main, encore une fois dans mes pensées. Les rideaux fermés laissaient pénétrer un léger halo lumineux dans la pièce, donnant une impression religieuse de clair au milieu d'un environnement sombre.
Ces vacances étaient terminées, et elles n'avaient pas été à la hauteur de mes espérances. Cependant, j'avais décidé de profiter de mon été, du temps qu'il me restait avant l'année prochaine, les études, et tout ce stress que je ne supportais plus.
- Vincent, tu viens à table ?
Ma mère m'avait manqué. Tout le reste m'avait manqué. Je n'étais pas quelqu'un qui appréciait le changement, et j'aimais garder mes petites habitudes, mon quotidien. C'est là où j’étais le plus à l'aise, malgré tout ça m'avait fait du bien de partir avec Laura et Mélanie.
Les jours passèrent, et je ne savais pas quoi faire. J'oscillais entre joueur au basket, courir, aller à la salle de sport, et rester comme une larve les yeux écarquillés devant mon écran à attendre que le temps passe. Je n'avais toujours pas eu de nouvelle de Laura, de Mélanie, ou même de Cassandra. Je me sentais tellement seul et à l'écart que j'étais prêt à l'appeler pour sortir. Cependant, elle aussi devait être occupée. Je la voyais, s'afficher allégrement avec Benjamin sur Facebook, à poster des messages plus ridicules les uns que les autres à coup de "Je t'aime trop mon chéri". La jalousie parlait certainement, n'étant pas au mieux sentimentalement depuis un moment.
- Qu'est-ce qui t’arrive ? T'as pas l'air bien depuis que t'es revenu, il s'est passé quelque chose pendant tes vacances ? C'était pas bien ?
- Bah si super, t'inquiètes pas, je dors juste pas beaucoup en ce moment, c'est tout. Désolé j'ai pas très faim, je vais faire un tour.
J'avais besoin de trouver une excuse, je n'en pouvais plus, il fallait que je parle à quelqu'un. Je ne pouvais pas me retenir, et en même temps j'avais besoin d'être seul avec moi-même pour faire le point. J'avais l'impression de ne faire que ça, et en même temps cette horrible sensation de toujours tourner en rond, de ne jamais arriver à trouver une réponse satisfaisante. Cela me laisser toujours dans un état de quasi déprime qui ne me permettait pas de réfléchir clairement. Après avoir erré une journée entière, je m'apprêtais à rentrer chez moi, en passant par mon lycée. Soudainement, une voix qui m'était familière m'interpellait.
- Vincent ? Tu te rappelles de moi ? :)
C'était Julie, la sœur de Mélanie. Comment je pourrais oublier, alors que c'était avec elle que j'avais gâché ma relation avec Mélanie. Je ne savais pas pourquoi, mais j'avais une mauvaise sensation en la voyant, je n'avais pas vraiment envie de lui parler, et un sentiment de malaise m'envahit.
- Heu ouais très bien...
- Qu'est-ce que tu fais ?
- Bah en fait je me baladais, je savais pas quoi faire. Je cherchais quelqu'un à qui parler, en fait. Lui dis-je en regrettant immédiatement de lui avoir fait cette révélation.
- Ah, je vois. Tu sais, y'a Mél à la maison si tu veux, elle serait contente si tu passais je pense !
- Bah ouais nickel, ce serait cool.
Cette rencontre m'avait au moins permis d'atteindre mon but. Une fois arrivée sur place, nous rentrions dans la maison que je connaissais si bien, puis après s'être installé sur le canapé, je demandai à Julie où était Mélanie. Julie ne répondit pas, vint s'asseoir près de moi, avant de poser sa main sur ma cuisse, en approchant lentement ses lèvres, collées sur les miennes.
Mélanie et Laura allèrent se coucher. Il était tard, tout le monde était fatigué, et bourré de surcroît. Elles n'avaient jamais tenu l'alcool, ce n’était pas étonnant. Tout le monde décidait d'en faire de même, et arrivait 4h du matin, il était temps de dormir. Après avoir rangé le bordel et préparé mon « lit », je pris la direction de la porte histoire d'être au calme et faire le point sur mes idées. C'est toujours quand on est couché, avant de dormir, qu'on est le plus apte à réfléchir sur sa situation et ses problèmes. Cependant, je fus vite interrompu, et quelqu'un vint frappé à ma porte.
2 semaines plus tard
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Assis dans ma chambre, sur ce lit qui m'avait un peu manqué, j'étais posé, une cigarette à la main, encore une fois dans mes pensées. Les rideaux fermés laissaient pénétrer un léger halo lumineux dans la pièce, donnant une impression religieuse de clair au milieu d'un environnement sombre.
Ces vacances étaient terminées, et elles n'avaient pas été à la hauteur de mes espérances. Cependant, j'avais décidé de profiter de mon été, du temps qu'il me restait avant l'année prochaine, les études, et tout ce stress que je ne supportais plus.
- Vincent, tu viens à table ?
Ma mère m'avait manqué. Tout le reste m'avait manqué. Je n'étais pas quelqu'un qui appréciait le changement, et j'aimais garder mes petites habitudes, mon quotidien. C'est là où j’étais le plus à l'aise, malgré tout ça m'avait fait du bien de partir avec Laura et Mélanie.
Les jours passèrent, et je ne savais pas quoi faire. J'oscillais entre joueur au basket, courir, aller à la salle de sport, et rester comme une larve les yeux écarquillés devant mon écran à attendre que le temps passe. Je n'avais toujours pas eu de nouvelle de Laura, de Mélanie, ou même de Cassandra. Je me sentais tellement seul et à l'écart que j'étais prêt à l'appeler pour sortir. Cependant, elle aussi devait être occupée. Je la voyais, s'afficher allégrement avec Benjamin sur Facebook, à poster des messages plus ridicules les uns que les autres à coup de "Je t'aime trop mon chéri". La jalousie parlait certainement, n'étant pas au mieux sentimentalement depuis un moment.
- Qu'est-ce qui t’arrive ? T'as pas l'air bien depuis que t'es revenu, il s'est passé quelque chose pendant tes vacances ? C'était pas bien ?
- Bah si super, t'inquiètes pas, je dors juste pas beaucoup en ce moment, c'est tout. Désolé j'ai pas très faim, je vais faire un tour.
J'avais besoin de trouver une excuse, je n'en pouvais plus, il fallait que je parle à quelqu'un. Je ne pouvais pas me retenir, et en même temps j'avais besoin d'être seul avec moi-même pour faire le point. J'avais l'impression de ne faire que ça, et en même temps cette horrible sensation de toujours tourner en rond, de ne jamais arriver à trouver une réponse satisfaisante. Cela me laisser toujours dans un état de quasi déprime qui ne me permettait pas de réfléchir clairement. Après avoir erré une journée entière, je m'apprêtais à rentrer chez moi, en passant par mon lycée. Soudainement, une voix qui m'était familière m'interpellait.
- Vincent ? Tu te rappelles de moi ? :)
C'était Julie, la sœur de Mélanie. Comment je pourrais oublier, alors que c'était avec elle que j'avais gâché ma relation avec Mélanie. Je ne savais pas pourquoi, mais j'avais une mauvaise sensation en la voyant, je n'avais pas vraiment envie de lui parler, et un sentiment de malaise m'envahit.
- Heu ouais très bien...
- Qu'est-ce que tu fais ?
- Bah en fait je me baladais, je savais pas quoi faire. Je cherchais quelqu'un à qui parler, en fait. Lui dis-je en regrettant immédiatement de lui avoir fait cette révélation.
- Ah, je vois. Tu sais, y'a Mél à la maison si tu veux, elle serait contente si tu passais je pense !
- Bah ouais nickel, ce serait cool.
Cette rencontre m'avait au moins permis d'atteindre mon but. Une fois arrivée sur place, nous rentrions dans la maison que je connaissais si bien, puis après s'être installé sur le canapé, je demandai à Julie où était Mélanie. Julie ne répondit pas, vint s'asseoir près de moi, avant de poser sa main sur ma cuisse, en approchant lentement ses lèvres, collées sur les miennes.
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