Une Vie Mouvementée
Par : Goloump
Genre : Sentimental , Réaliste
Status : Terminée
Note :
Chapitre 22
Tentations
Publié le 20/07/14 à 21:16:39 par Goloump
Toutes les bonnes choses ont une fin. Et c’est valable pour les vacances.
Ce matin de mars avait des allures de printemps, en même temps, c’était le jour du printemps. Je me lave, coiffe mes cheveux qui sont en bataille, déjeune copieusement, enfile un jean et un pull. Mon père et moi chargeons les affaires dans la voiture. Nous passons prendre Cher, qui est, je vous le rappelle ma voisine et nous partons. Rien de bien extraordinaire sauf que, pour la première fois, c’est moi qui suis au volant. Je vais avoir 17 ans au mois d’août et j’ai passé le permis de conduire. Je suis un peu stressé mais rien de grave.
Je démarre, je ne cale pas comme les autres fois. Je réussis plutôt bien le trajet, j’ai juste grillé un feu rouge ayant confondu la pédale d’accélération et de frein, le stress je vous dis.
Nous arrivions finalement sans encombre au lycée. Nous allions revoir notre bande de pote.
Après avoir déposé nos affaires à la bagagerie, je me dirigeais vers mes amis pendant que Cher rejoignais Sonia, Nadia … :
- Alors ce voyage aux USA me demanda Jean
- C’était extraordinaire, le meilleur voyage que j’ai jamais fait.
- Tu t’es battu avec des américains me demanda Arthur en voyant les marques encore visibles sur mon front.
- Oui, enfin c’est des blacks qui m’ont agressé alors que l’on allait au cinéma avec Cher et Sonia.
- Il voulait quoi demanda Norbert.
- Mon fric mais finalement, je m’en suis bien sorti.
- Ouais enfin si on veut dit Quentin
On se rendit en français et cette heure promettait d’être marrante à défaut d’être passionnante. Mme Viboche avait, comme je vous l’ai dit de sérieux problèmes d’audition.
Cela satisfaisait pleinement Arthur qui en entrant dans la classe cria :
- Salut la vielle !
Les rires fusèrent, madame Viboche qui n’avait rien entendu répliqua :
- Bonjour Arthur. Tu pourrais parler plus fort j’ai du mal à t’entendre.
Les rires redoublent, je m’installe en rigolant alors qu’Arthur me rejoint en essayant de dissimuler un rire nerveux :
- Putain ça s’arrange pas sa surdité me dit-il
- Trop, et en plus, elle voit presque plus rien j’ai entendu dire.
- Sérieux ? dit Arthur
- Oui, on va vite le savoir dis-je.
Je m’emparais d’une feuille de papier, la roula en boule et la balança sur Mme Viboche qui regardait dans ma direction. La boulette atterrit en plein sur ses lunettes. Je m’attendais à une punition, ou pire, à une heure de colle mais :
- Excuse moi Kevin, peut tu fermer la fenêtre, les oiseaux rentrent et il y en à un qui m’a percuter.
- Moi c’est Norbert madame.
Nouveaux rires dans la salle, décidément, cette prof’ nous fera mourir de rire. Je ne vous décrirais pas la suite dur cour qui était aussi drôle que le début.
La pause de midi arrivait, je déjeuner comme d’habitude avec ma bande de pote.
La journée commençait à se réchauffer, on était bien dehors, les arbres recommençaient à fleurir et la nature s’éveillait.
Je me rendis sur un banc à l’écart des regards comme d’habitude avec Cher. Ce banc, c’était le notre, il était si loin du lycée que quasiment personne n’y allait. On commença à s’embrasser, Je passais ma main dans son dos et lui caressais les cheveux.
Au bout d’un moment, elle se décolla de moi, me regarda droit dans les yeux et me dit :
- J’aimerais bien que l’on aille un peu plus loin m’avoua-t-elle
Un long silence s’ensuivit, je la regardais longuement, elle me fit un sourire en coin. C’est vrai que moi aussi j’avais envie de franchir le cap depuis longtemps.
Nous étions vraiment isolés du reste du monde dans notre petit havre de paix.
Mais étais-ce vraiment l’endroit rêvé pour le faire. Un banc, c’était un peu étroit et pas franchement romantique je dois avouer. Mon cerveau était en ébullition, pendant deux trois minutes je réfléchissais intensément au pour et au contre, un tas de questions se bousculaient dans ma tête.
Puis, animé par une force invisible je pris Cher dans mes bras et l’embrassa mais beaucoup plus fougueusement que d’habitude. Je la caressais dans le dos, je descendis jusqu’à ses fesses qui étaient bien fermes. Elle me caressa le torse en m’embrassant sur la joue.
Je décidais de lui enlever son pull fin en cachemire. Dessous, elle portait un soutien-gorge rose bonbon. Je l’avais déjà vu comme cela mais ce coup-ci, l’effet procuré était totalement différent. Elle me sourit et pendant que l’on s’embrassait, elle me retira mon pull noir.
Elle prit mes mains et les posa sur ses seins en gémissant :
- Hum, j’attends ça depuis si longtemps, gémit-elle.
Je continuais à la caresser sensuellement. Dans mon boxer, mon pénis durcissait. Elle descendit mon jean et regarda la bosse dans mon boxer d’un air amusé :
- Je te fais de l’effet dit-elle en m’embrassant
- Oh oui répondis-je.
Alors qu’elle m’enlevait mes baskets, j’espérais fortement que mes pieds auraient une odeur supportable, je lui dégrafais son soutien-gorge.
Je vis alors sa superbe poitrine, des seins ronds biens fermes et je ne pus m’empêcher de les palper.
La tension commençait à monter, elle me prit par le col de mon t-shirt, me regarda droit dans les yeux et me dit :
- Prends-moi !
- Je veux répondis-je. C’est ta première fois ?
- Moui dit-elle entre deux baisers.
Elle retira mon t-shirt et commença à m’embrasser et à toucher mon torse :
- Oh, musclé rigola-t-elle
- Merci dis-je en rigolant. Tu as un corps parfait.
- Tu es gentil.
Je lui enlevais son jean pour mettre à découvert ses élégantes cuisses. Nous étions désormais face à face, en boxer.
J’allais franchir le cap, je pris son boxer par les côtés et le fit descendre le long de ses jambes. Elle était là, nue, devant moi. Elle fit de même avec moi.
Elle colla son corps contre le mien, ses seins se trémoussaient contre mon torse et je pus sentir qu’elle mouillait.
J’eus pour ma part la plus grosse érection de toute ma vie.
Alors que je me rapprochais de son vagin, une voix retentit derrière nous :
- Oh, Jean-Freud.
- A-A-Arthur ! Comment nous à tu retrouvé gueulais-je troublé. Et par ou es-tu arrivé !
- Tu veux te joindre à nous dis Cher.
- Mais tu déconnes là j’espère.
- Ben non pourquoi
Quelque chose clochait, mais quoi ?
- Oh Jean-Freud
- Oui c’est bon, je t’ai entendu dis-je en remettant mon caleçon
Il s’approcha de moi et me mit une petite claque, je le plaquais alors par terre empreint d’une rage incontrôlable que quelqu’un nous ai gâché ce moment magique :
- Eh oh Jean-Freud ! Réveilles-toi !
- R-réveilles toi dis-je
- Oui réveilles toi, me dis Cher, ce n’est qu’un rêve.
Puis elle disparue…
Tout se troubla autour de moi, je me réveillais dans ma chambre d’internat, une lampe éclairait légèrement la pièce, j’étais au centre de la pièce sur Arthur qui me voyait ouvrir les yeux.
Il fut soulagé et je l’aidais à se relever :
- Putain tu dois faire des rêves bizarres toi pour être aussi agressif.
- Désolé dis-je un peu confus. Mais j’ai dis quoi au juste pour que tu viennes me réveiller.
- Tu t’agitais dans tout les sens sur ton lit, tu as même failli tomber. Tu rêvais à quoi.
- C’est un peu compliqué. Mais dis moi, on à fait quoi aujourd’hui, je ne me rappelle plus de ma journée.
C’est vrai que j’étais complètement dans les vap’. Je ne me rappelais plus à quel moment la réalité avait laissé place à la fiction :
- Eh bien, on à eu cours avec Mme Viboche même que tu lui à balancé une boulette.
- Ca je m’en rappelle
- Après, anglais puis on à mangé. Après, on est allé s’asseoir sur les bancs toi, Norbert, Sonia, Cher et moi. Et pour l’après-midi, on à eu sport et espagnol. Tu ne te souviens de rien ?
- A partir du repas non je ne me souviens de rien.
- Allez, dors ça ira mieux demain. Tu devais faire un rêve agité.
- Oui on peut voir les choses sous cet angle.
Le lendemain, c’était frais et reposé que je me rendais à la douche histoire de me rafraichir un peu. Quand j’y repense, j’avais l’esprit drôlement déplacé mais on ne peut rien faire contre ça.
J’attendais qu’Arthur et Kevin finissent de se préparer et on alla déjeuner.
A la pause du midi, Cher alla me voir, on ne s’était pas encore vue de la journée. Je ne pus m’empêcher de la regarder un peu différent de d’habitude. Elle me prit par les mains, et m’entraîna vers un banc.
Et pas n’importe quel banc, LE banc.
On s’assit, parla un peu de tout et de rien puis elle me dit :
- Tu sais, j’ai rêvé de nous cette nuit.
Je suppose que je devais faire une drôle de tête, pourtant, je m’arrangeais pour ne rien laisser transparaître :
- Et c’était comment ?
- Bah, j’ai un peu honte de t’en parler mais c’était un peu cochon si tu vois ce que je veux dire.
Elle rougit, je ne dis rien, comment lui avouer qu’il m’était arrivé exactement la même chose cette nuit :
- Cochon à quel point demandais-je
- On ne va pas rentrer dans les détails, je pense que tu as très bien compris ce que je voulais dire dit-elle en m’adressant un clin d’œil.
- Bientôt, on fera en sorte que ça ne soit plus un rêve mais une réalité.
- J’aimerais beaucoup dit-elle en posant une main sur ma cuisse.
Ce matin de mars avait des allures de printemps, en même temps, c’était le jour du printemps. Je me lave, coiffe mes cheveux qui sont en bataille, déjeune copieusement, enfile un jean et un pull. Mon père et moi chargeons les affaires dans la voiture. Nous passons prendre Cher, qui est, je vous le rappelle ma voisine et nous partons. Rien de bien extraordinaire sauf que, pour la première fois, c’est moi qui suis au volant. Je vais avoir 17 ans au mois d’août et j’ai passé le permis de conduire. Je suis un peu stressé mais rien de grave.
Je démarre, je ne cale pas comme les autres fois. Je réussis plutôt bien le trajet, j’ai juste grillé un feu rouge ayant confondu la pédale d’accélération et de frein, le stress je vous dis.
Nous arrivions finalement sans encombre au lycée. Nous allions revoir notre bande de pote.
Après avoir déposé nos affaires à la bagagerie, je me dirigeais vers mes amis pendant que Cher rejoignais Sonia, Nadia … :
- Alors ce voyage aux USA me demanda Jean
- C’était extraordinaire, le meilleur voyage que j’ai jamais fait.
- Tu t’es battu avec des américains me demanda Arthur en voyant les marques encore visibles sur mon front.
- Oui, enfin c’est des blacks qui m’ont agressé alors que l’on allait au cinéma avec Cher et Sonia.
- Il voulait quoi demanda Norbert.
- Mon fric mais finalement, je m’en suis bien sorti.
- Ouais enfin si on veut dit Quentin
On se rendit en français et cette heure promettait d’être marrante à défaut d’être passionnante. Mme Viboche avait, comme je vous l’ai dit de sérieux problèmes d’audition.
Cela satisfaisait pleinement Arthur qui en entrant dans la classe cria :
- Salut la vielle !
Les rires fusèrent, madame Viboche qui n’avait rien entendu répliqua :
- Bonjour Arthur. Tu pourrais parler plus fort j’ai du mal à t’entendre.
Les rires redoublent, je m’installe en rigolant alors qu’Arthur me rejoint en essayant de dissimuler un rire nerveux :
- Putain ça s’arrange pas sa surdité me dit-il
- Trop, et en plus, elle voit presque plus rien j’ai entendu dire.
- Sérieux ? dit Arthur
- Oui, on va vite le savoir dis-je.
Je m’emparais d’une feuille de papier, la roula en boule et la balança sur Mme Viboche qui regardait dans ma direction. La boulette atterrit en plein sur ses lunettes. Je m’attendais à une punition, ou pire, à une heure de colle mais :
- Excuse moi Kevin, peut tu fermer la fenêtre, les oiseaux rentrent et il y en à un qui m’a percuter.
- Moi c’est Norbert madame.
Nouveaux rires dans la salle, décidément, cette prof’ nous fera mourir de rire. Je ne vous décrirais pas la suite dur cour qui était aussi drôle que le début.
La pause de midi arrivait, je déjeuner comme d’habitude avec ma bande de pote.
La journée commençait à se réchauffer, on était bien dehors, les arbres recommençaient à fleurir et la nature s’éveillait.
Je me rendis sur un banc à l’écart des regards comme d’habitude avec Cher. Ce banc, c’était le notre, il était si loin du lycée que quasiment personne n’y allait. On commença à s’embrasser, Je passais ma main dans son dos et lui caressais les cheveux.
Au bout d’un moment, elle se décolla de moi, me regarda droit dans les yeux et me dit :
- J’aimerais bien que l’on aille un peu plus loin m’avoua-t-elle
Un long silence s’ensuivit, je la regardais longuement, elle me fit un sourire en coin. C’est vrai que moi aussi j’avais envie de franchir le cap depuis longtemps.
Nous étions vraiment isolés du reste du monde dans notre petit havre de paix.
Mais étais-ce vraiment l’endroit rêvé pour le faire. Un banc, c’était un peu étroit et pas franchement romantique je dois avouer. Mon cerveau était en ébullition, pendant deux trois minutes je réfléchissais intensément au pour et au contre, un tas de questions se bousculaient dans ma tête.
Puis, animé par une force invisible je pris Cher dans mes bras et l’embrassa mais beaucoup plus fougueusement que d’habitude. Je la caressais dans le dos, je descendis jusqu’à ses fesses qui étaient bien fermes. Elle me caressa le torse en m’embrassant sur la joue.
Je décidais de lui enlever son pull fin en cachemire. Dessous, elle portait un soutien-gorge rose bonbon. Je l’avais déjà vu comme cela mais ce coup-ci, l’effet procuré était totalement différent. Elle me sourit et pendant que l’on s’embrassait, elle me retira mon pull noir.
Elle prit mes mains et les posa sur ses seins en gémissant :
- Hum, j’attends ça depuis si longtemps, gémit-elle.
Je continuais à la caresser sensuellement. Dans mon boxer, mon pénis durcissait. Elle descendit mon jean et regarda la bosse dans mon boxer d’un air amusé :
- Je te fais de l’effet dit-elle en m’embrassant
- Oh oui répondis-je.
Alors qu’elle m’enlevait mes baskets, j’espérais fortement que mes pieds auraient une odeur supportable, je lui dégrafais son soutien-gorge.
Je vis alors sa superbe poitrine, des seins ronds biens fermes et je ne pus m’empêcher de les palper.
La tension commençait à monter, elle me prit par le col de mon t-shirt, me regarda droit dans les yeux et me dit :
- Prends-moi !
- Je veux répondis-je. C’est ta première fois ?
- Moui dit-elle entre deux baisers.
Elle retira mon t-shirt et commença à m’embrasser et à toucher mon torse :
- Oh, musclé rigola-t-elle
- Merci dis-je en rigolant. Tu as un corps parfait.
- Tu es gentil.
Je lui enlevais son jean pour mettre à découvert ses élégantes cuisses. Nous étions désormais face à face, en boxer.
J’allais franchir le cap, je pris son boxer par les côtés et le fit descendre le long de ses jambes. Elle était là, nue, devant moi. Elle fit de même avec moi.
Elle colla son corps contre le mien, ses seins se trémoussaient contre mon torse et je pus sentir qu’elle mouillait.
J’eus pour ma part la plus grosse érection de toute ma vie.
Alors que je me rapprochais de son vagin, une voix retentit derrière nous :
- Oh, Jean-Freud.
- A-A-Arthur ! Comment nous à tu retrouvé gueulais-je troublé. Et par ou es-tu arrivé !
- Tu veux te joindre à nous dis Cher.
- Mais tu déconnes là j’espère.
- Ben non pourquoi
Quelque chose clochait, mais quoi ?
- Oh Jean-Freud
- Oui c’est bon, je t’ai entendu dis-je en remettant mon caleçon
Il s’approcha de moi et me mit une petite claque, je le plaquais alors par terre empreint d’une rage incontrôlable que quelqu’un nous ai gâché ce moment magique :
- Eh oh Jean-Freud ! Réveilles-toi !
- R-réveilles toi dis-je
- Oui réveilles toi, me dis Cher, ce n’est qu’un rêve.
Puis elle disparue…
Tout se troubla autour de moi, je me réveillais dans ma chambre d’internat, une lampe éclairait légèrement la pièce, j’étais au centre de la pièce sur Arthur qui me voyait ouvrir les yeux.
Il fut soulagé et je l’aidais à se relever :
- Putain tu dois faire des rêves bizarres toi pour être aussi agressif.
- Désolé dis-je un peu confus. Mais j’ai dis quoi au juste pour que tu viennes me réveiller.
- Tu t’agitais dans tout les sens sur ton lit, tu as même failli tomber. Tu rêvais à quoi.
- C’est un peu compliqué. Mais dis moi, on à fait quoi aujourd’hui, je ne me rappelle plus de ma journée.
C’est vrai que j’étais complètement dans les vap’. Je ne me rappelais plus à quel moment la réalité avait laissé place à la fiction :
- Eh bien, on à eu cours avec Mme Viboche même que tu lui à balancé une boulette.
- Ca je m’en rappelle
- Après, anglais puis on à mangé. Après, on est allé s’asseoir sur les bancs toi, Norbert, Sonia, Cher et moi. Et pour l’après-midi, on à eu sport et espagnol. Tu ne te souviens de rien ?
- A partir du repas non je ne me souviens de rien.
- Allez, dors ça ira mieux demain. Tu devais faire un rêve agité.
- Oui on peut voir les choses sous cet angle.
Le lendemain, c’était frais et reposé que je me rendais à la douche histoire de me rafraichir un peu. Quand j’y repense, j’avais l’esprit drôlement déplacé mais on ne peut rien faire contre ça.
J’attendais qu’Arthur et Kevin finissent de se préparer et on alla déjeuner.
A la pause du midi, Cher alla me voir, on ne s’était pas encore vue de la journée. Je ne pus m’empêcher de la regarder un peu différent de d’habitude. Elle me prit par les mains, et m’entraîna vers un banc.
Et pas n’importe quel banc, LE banc.
On s’assit, parla un peu de tout et de rien puis elle me dit :
- Tu sais, j’ai rêvé de nous cette nuit.
Je suppose que je devais faire une drôle de tête, pourtant, je m’arrangeais pour ne rien laisser transparaître :
- Et c’était comment ?
- Bah, j’ai un peu honte de t’en parler mais c’était un peu cochon si tu vois ce que je veux dire.
Elle rougit, je ne dis rien, comment lui avouer qu’il m’était arrivé exactement la même chose cette nuit :
- Cochon à quel point demandais-je
- On ne va pas rentrer dans les détails, je pense que tu as très bien compris ce que je voulais dire dit-elle en m’adressant un clin d’œil.
- Bientôt, on fera en sorte que ça ne soit plus un rêve mais une réalité.
- J’aimerais beaucoup dit-elle en posant une main sur ma cuisse.
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