Les prisonniers de l'île
Par : Camion2LaGalayr
Genre : Action , Science-Fiction
Status : Abandonnée
Note :
Chapitre 34
Publié le 31/10/13 à 19:09:43 par Camion2LaGalayr
Le lendemain, j'ouvrais les yeux. Ces derniers furent immédiatement agressés par les rayons du soleil. C'était encore le matin mais le soleil avait déjà fait un bon bout de chemin dans le ciel. Je regardais autour de moi. J'étais le seul réveillé. Je me levais et me dirigeais vers Guillaume. Ce dernier s'est endormi pendant sa garde.
Avec un coup sur la tête je le réveilla. Il avait manqué à ses responsabilités. Je lui ai expliquer qu'ici, l'erreur ne pardonne pas.
Je réveilla ensuite les autres de leur torpeur. Ce sommeil, bien qu'un peu trop prolongé, nous a remis d'aplomb. En sortant prudemment ma tête de l'avion, je donna le signal pour que nous partions, la ville ne devait plus être très loin.
Midi, le soleil était maintenant caché derrière les nuages. Nous étions sur nos gardes, notre protecteur contre les monstres était entravé, nous pouvions faire une mauvaise rencontre.
Plus tard dans la journée, à l'horizon, parut une forme. A mesure que l'on se rapprochaient, cette forme grossissait. Notre objectif était droit devant. Des palissades étaient en vue.
Deux heures plus tard, nous y étions. La porte était encore grande ouverte. Deux gardes, armés de lances et équipés d'une cotte de maille étaient stationnés devant la porte. Nous les avons salués et nous sommes entrés. De dehors, la ville avait l'air plus massive que Labona. L'intérieur nous revoyait cette expression au centuple. Dans cette ville on se sent en sécurité.
« Nous sommes enfin arrivés ! S'exclama Marie.
_Ce fut une marche difficile, ajoutais-je.
_ Tu l'a dis
_Qu'est-ce que l'on fait maintenant ? Demanda Guillaume.
_ On fait le tour de la ville, on se trouve un endroit où loger et on cherche un job, annonçais-je.
_ J'imagine que l'on a pas trop le choix.
_ On a combien d'argent ? Demanda Marie.
_ 15 pièces d'or, 5 d'argent et 1 de bronze. »
J'imaginais que c'était pas mal. Nous pouvions aussi vendre les deux lances en trop.
Pour optimiser l'exploration de la ville, nous nous sommes séparés. Nous nous sommes donnés rendez-vous devant la porte dès que nous aurons fini notre coté.
Je partis donc de mon coté, en suivant la route principale qui passait au milieu du village et qui reliait les deux entrées. On pouvais d'ailleurs voir d'une entrée celle d'en face. Pendant ma promenade, j'observai les alentours. Les bâtiments qui longeaient la route étaient des échoppes, des tavernes, dont les noms avaient diverses origines. Ce chemin est sûrement celui utilisé par les voyageurs qui traverses la ville, ils n'ont pas a aller dans les petites ruelles pour chercher un magasin ou un endroit ou dormir. La population avait l'air assez joyeuse, beaucoup d'enfants jouaient autour des magasins. Sur le chemin, un gamin d'environs huit ans m'interpella. Il me demandait de le suivre jusqu'à l'échoppe d'un commerçant. Ce dernier me prit pour un voyageur et me proposa divers babioles utiles pour un long voyage. Je lui ai fait comprendre que c'était un mal-entendu et avant de repartir je regarda derrière moi. Le commerçant donna au jeune garçon un petit récipient qu'il rempli de grain. C'est alors que j'ai compris. Le fait qu'il y ai beaucoup d'enfant autour de ce grand chemin où pullule les commerces, c'est parce qu'il servent de coursiers de fortune. « Leurs parents doivent les encouragés à traîner ici » songeais-je.
Avec un coup sur la tête je le réveilla. Il avait manqué à ses responsabilités. Je lui ai expliquer qu'ici, l'erreur ne pardonne pas.
Je réveilla ensuite les autres de leur torpeur. Ce sommeil, bien qu'un peu trop prolongé, nous a remis d'aplomb. En sortant prudemment ma tête de l'avion, je donna le signal pour que nous partions, la ville ne devait plus être très loin.
Midi, le soleil était maintenant caché derrière les nuages. Nous étions sur nos gardes, notre protecteur contre les monstres était entravé, nous pouvions faire une mauvaise rencontre.
Plus tard dans la journée, à l'horizon, parut une forme. A mesure que l'on se rapprochaient, cette forme grossissait. Notre objectif était droit devant. Des palissades étaient en vue.
Deux heures plus tard, nous y étions. La porte était encore grande ouverte. Deux gardes, armés de lances et équipés d'une cotte de maille étaient stationnés devant la porte. Nous les avons salués et nous sommes entrés. De dehors, la ville avait l'air plus massive que Labona. L'intérieur nous revoyait cette expression au centuple. Dans cette ville on se sent en sécurité.
« Nous sommes enfin arrivés ! S'exclama Marie.
_Ce fut une marche difficile, ajoutais-je.
_ Tu l'a dis
_Qu'est-ce que l'on fait maintenant ? Demanda Guillaume.
_ On fait le tour de la ville, on se trouve un endroit où loger et on cherche un job, annonçais-je.
_ J'imagine que l'on a pas trop le choix.
_ On a combien d'argent ? Demanda Marie.
_ 15 pièces d'or, 5 d'argent et 1 de bronze. »
J'imaginais que c'était pas mal. Nous pouvions aussi vendre les deux lances en trop.
Pour optimiser l'exploration de la ville, nous nous sommes séparés. Nous nous sommes donnés rendez-vous devant la porte dès que nous aurons fini notre coté.
Je partis donc de mon coté, en suivant la route principale qui passait au milieu du village et qui reliait les deux entrées. On pouvais d'ailleurs voir d'une entrée celle d'en face. Pendant ma promenade, j'observai les alentours. Les bâtiments qui longeaient la route étaient des échoppes, des tavernes, dont les noms avaient diverses origines. Ce chemin est sûrement celui utilisé par les voyageurs qui traverses la ville, ils n'ont pas a aller dans les petites ruelles pour chercher un magasin ou un endroit ou dormir. La population avait l'air assez joyeuse, beaucoup d'enfants jouaient autour des magasins. Sur le chemin, un gamin d'environs huit ans m'interpella. Il me demandait de le suivre jusqu'à l'échoppe d'un commerçant. Ce dernier me prit pour un voyageur et me proposa divers babioles utiles pour un long voyage. Je lui ai fait comprendre que c'était un mal-entendu et avant de repartir je regarda derrière moi. Le commerçant donna au jeune garçon un petit récipient qu'il rempli de grain. C'est alors que j'ai compris. Le fait qu'il y ai beaucoup d'enfant autour de ce grand chemin où pullule les commerces, c'est parce qu'il servent de coursiers de fortune. « Leurs parents doivent les encouragés à traîner ici » songeais-je.
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