Les prisonniers de l'île
Par : Camion2LaGalayr
Genre : Action , Science-Fiction
Status : Abandonnée
Note :
Chapitre 29
Publié le 12/10/13 à 22:43:02 par Camion2LaGalayr
Après deux jours, deux jours de marche dans cette forêt de tout les danger, où nous avons combattus plus d'une fois pour sauver nos vies, nous voyons enfin la lumière, la fin de la forêt.
Une immense prairie s'étendait à nouveau devant nous, là-bas, pas de monstres la journée. Nous ne sommes pas restés longtemps immobile, bien que nous nous sentions plus en sécurité que dans la forêt, les plaines herbeuses posent un gros problème : l'abri pour la nuit.
Il fallait en trouver un avant la tombée de la nuit.
Pendant ces deux jours, nous nous sommes résignés à ne jamais partir d'ici, le plus important maintenant était de vivre, de survivre. Nous n'avons pas chaumé pendant ces deux jours, après les marches, nous choisissions assez tôt un endroit où dormir pour collecter un maximum de nourriture par jours et pour pouvoir nous entraîner au maniement de nos armes. Au cours de ces deux jours, nous n'avons pas pu rattraper Maxime.
Nous avons continuer toute l'après-midi notre marche. Je restais à l’affût du moindre abri pour ka nuit. Dans cette plaine, plus nous avancions, plus l'herbe était haute, la moitié de nos corps et je ne parle même pas d'Alice.
Une heure plus tard, Marie m'attrapa la main et me fit me baisser, elle en fit de même avec Matthieu, pas besoin pour Alice.
« Là bas, j'ai repéré trois silhouettes.
_ Quelle distance ? Demandais-je
_ 900 mètres à peu près.
_ Go les powned
_ Attend, on ne sait même pas si ce sont des bandits, dis-je.
_ Tu veux aller leur demander ?
_ Non mais je préférerais savoir avant, t'as pas une idée monsieur le stratège ? Demandais-je.
_ J'ai toujours une idée et elles sont souvent pas propres
_ Matthieu ! S'exclama Marie.
_ Ok, ok, j'arrête de la merde C'est simple, l'herbe est haute, on peut se déplacer furtivement et nous rapprocher d'eux
_ D'accord, on fait ça, dis-je »
Comme prévu nous nous sommes rapprochés lentement mais sûrement des hommes. Nous étions maintenant derrière eux, je me redressais pour mieux les voir. Ils étaient trois, un homme noir, grand et super costaud, deux hommes blanc. Ils étaient tous armées d'une lance sauf l'homme noir qui en avait deux.
C'était trop dangereux de laisser un groupe d'homme dont on ne connaît pas les intentions derrière nous, il fallait agir.
Une immense prairie s'étendait à nouveau devant nous, là-bas, pas de monstres la journée. Nous ne sommes pas restés longtemps immobile, bien que nous nous sentions plus en sécurité que dans la forêt, les plaines herbeuses posent un gros problème : l'abri pour la nuit.
Il fallait en trouver un avant la tombée de la nuit.
Pendant ces deux jours, nous nous sommes résignés à ne jamais partir d'ici, le plus important maintenant était de vivre, de survivre. Nous n'avons pas chaumé pendant ces deux jours, après les marches, nous choisissions assez tôt un endroit où dormir pour collecter un maximum de nourriture par jours et pour pouvoir nous entraîner au maniement de nos armes. Au cours de ces deux jours, nous n'avons pas pu rattraper Maxime.
Nous avons continuer toute l'après-midi notre marche. Je restais à l’affût du moindre abri pour ka nuit. Dans cette plaine, plus nous avancions, plus l'herbe était haute, la moitié de nos corps et je ne parle même pas d'Alice.
Une heure plus tard, Marie m'attrapa la main et me fit me baisser, elle en fit de même avec Matthieu, pas besoin pour Alice.
« Là bas, j'ai repéré trois silhouettes.
_ Quelle distance ? Demandais-je
_ 900 mètres à peu près.
_ Go les powned
_ Attend, on ne sait même pas si ce sont des bandits, dis-je.
_ Tu veux aller leur demander ?
_ Non mais je préférerais savoir avant, t'as pas une idée monsieur le stratège ? Demandais-je.
_ J'ai toujours une idée et elles sont souvent pas propres
_ Matthieu ! S'exclama Marie.
_ Ok, ok, j'arrête de la merde C'est simple, l'herbe est haute, on peut se déplacer furtivement et nous rapprocher d'eux
_ D'accord, on fait ça, dis-je »
Comme prévu nous nous sommes rapprochés lentement mais sûrement des hommes. Nous étions maintenant derrière eux, je me redressais pour mieux les voir. Ils étaient trois, un homme noir, grand et super costaud, deux hommes blanc. Ils étaient tous armées d'une lance sauf l'homme noir qui en avait deux.
C'était trop dangereux de laisser un groupe d'homme dont on ne connaît pas les intentions derrière nous, il fallait agir.
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