Après une longue absence due à l'ownage de mon PC by a motherf*cking virus, je peux enfin me replonger dans la fic ! Bonne lecture !

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Plus tard, je retrouvai enfin mes compagnons. Cette ville nous inspirait un sentiment de sécurité et personne ne s'opposa à l'idée de rester.
Avec notre argent, nous nous sommes payés une place à l'auberge. Là-bas, des personnes étranges et sûrement peu recommandable nous regardaient, et ce toute la soirée mais j'ai eu le réflexe de bien cacher notre bourse.
Après une nuit plutôt confortable, en tout cas par rapport à ce que l'ont s'étaient habitués, moi et les autres sommes partis à la recherche d'un travail. Un pas important pour notre nouvelle vie.
Le soir venu, nous sommes retournés à l'auberge abattus. Entre le fait que, comme au moyen-âge, la plupart des femmes ne travaillent pas, et qu'il ne reste que peu de travaux qui soient à notre portée, nous étions très déçus.

« Village de plouc

_ Pas un seul boulot que l'ont puisse faire... déclara Guillaume

_ Ils nous prennent pour des enfants mais même là les enfants travaillent, nous pouvons sûrement trouver un boulot quelque pars, disais-je.

_ Sauf moi... dit Marie.

_ J'pense qu'il y a un travail qu'une fille peut faire par les temps qui courent

_ Sale pervers !

_ P'tain Matthieu t'es con... Demain, j'irai demander du travail dans un endroit administratif, 'faut bosser, l'hébergement coûte cher... ajoutai-je. »

Tous acquiescèrent, ainsi le lendemain, je me suis dirigé, après avoir demandé à un passant ce que cherchai, vers la caserne des gardes.

J'ai été reçu par le capitaine de la garde de la ville, au début, il me dénigra pour mon apparence d'adolescent mais il changea de comportement quand je lui expliqué que nous avions fais le chemin depuis Labona jusqu'ici. Il me proposa, pour moi et mes compagnons, un poste dans la garde de la ville. La garde de la ville avait perdu plusieurs de leurs éléments à causes des mobs ces dernières semaines. J'hésitai longuement. Moi et les autres sortions de cet enfer pour fuir les monstres mais d'un autre coté, il nous fallait un travail et puis tuer draugr et araignées n'est pas si compliqué maintenant pour moi.

J'ai dis au capitaine que j'allai réfléchir. Il fallait que je demande l'avis de Matthieu et de Guillaume.
Une fois retourné à l'auberge, j'ai parlé de l'offre d'emplois que j'ai reçue aux autres. Ils n'étaient pas vraiment emballés. Matthieu accepta, Guillaume refusa. Ce dernier est trop effrayé à l'idée de combattre un de ces monstres.
Demain, moi et Matthieu, irons nous présenter au poste de garde de la ville de Parsinoe.