Les prisonniers de l'île
Par : Camion2LaGalayr
Genre : Action , Science-Fiction
Status : Abandonnée
Note :
Chapitre 39
Publié le 03/03/14 à 16:50:36 par Camion2LaGalayr
Dormir, cette blague ! J'ai passé toute une partie de la nuit à surveiller les alentours.
Je voyais au loin quelques monstres qui sortaient de la ville, toujours en flamme.
Dat monde de merde
Après que Marie m'est relevée, j'ai dormis comme un bébé, apparemment il n'y a pas eu de problèmes pendant la nuit.
Le lendemain, nous sommes partis.
Pendant une semaine, nous avons traversés les plaines de hautes herbes. Notre stock de nourriture diminuait dangereusement et quand enfin nous avons aperçus des arbres, nous n'avions quasiment plus rien à manger.
« Nous n'avons officiellement plus rien à manger ! M'exclamais-je le soir venu.
_ C'est bon calme toi ! Demain nous atteindrons cette forêt, il doit y avoir des trucs à manger à l'intérieur.
_ Si on survie jusqu'à demain, je te ferrais remarquer qu'il n'y a plus de hautes herbes pour nous couvrir la nuit. Faudra rester encore plus longtemps éveillé, répondis-je, énervé.
_ Et bien nous dormirons pas ! Cria Marie.
_ Si je surveille, moi aussi, vous pourrez dormir plus longtemps, dit Alice. »
Le fait que la gamine fasse le guet pendant mon sommeil me faisait un peu peur mais ces nuit où l'on ne dort que quelques heures sont extrêmement éreintantes.
Pour cette nuit, Alice surveillera deux heures.
Le lendemain, je regardais le soleil se lever. J'étais le dernier à devoir faire le guet. Durant la nuit, j'ai dû tuer quelques montres qui rôdaient d'un peu trop près.
J'attendis un peu avant de faire lever les autres, histoire que ces enfoirés crament bien avant que l'on se mettent en marche.
Après une heure de marche plutôt rapide, nous sommes arrivés à ma lisière de la forêt.
Elle avait l'air très touffue. Nous y sommes entrés, croyant qu'elle nous abriterait mieux que la plaine.
Il ne fallut pas longtemps avant que nous tombions sur de la nourriture : des champignons que Marie reconnue comestible, normal, c'était elle qui faisait les courses au marcher
Cette découverte nous a donnée un confiance en nous et nous nous sommes séparés en trois groupes pour trouver à manger. Le jour, il y a peu de danger après tout.
Après quelques dizaines de minutes, je suis tombé sur une petite tanière plutôt bien dissimulée. Sûrement la demeure d'un petit lapin délicieux
Détestant mettre ma main n'importe où (en fait ça dépend pour quoi ) Je tâtonnais l'intérieur avec mon épée quand soudain, je sentis du mouvement dans le trou. Je reculais alors brusquement, surpris puis rien. Le noir complet. J'ai oublié.
Je voyais au loin quelques monstres qui sortaient de la ville, toujours en flamme.
Dat monde de merde
Après que Marie m'est relevée, j'ai dormis comme un bébé, apparemment il n'y a pas eu de problèmes pendant la nuit.
Le lendemain, nous sommes partis.
Pendant une semaine, nous avons traversés les plaines de hautes herbes. Notre stock de nourriture diminuait dangereusement et quand enfin nous avons aperçus des arbres, nous n'avions quasiment plus rien à manger.
« Nous n'avons officiellement plus rien à manger ! M'exclamais-je le soir venu.
_ C'est bon calme toi ! Demain nous atteindrons cette forêt, il doit y avoir des trucs à manger à l'intérieur.
_ Si on survie jusqu'à demain, je te ferrais remarquer qu'il n'y a plus de hautes herbes pour nous couvrir la nuit. Faudra rester encore plus longtemps éveillé, répondis-je, énervé.
_ Et bien nous dormirons pas ! Cria Marie.
_ Si je surveille, moi aussi, vous pourrez dormir plus longtemps, dit Alice. »
Le fait que la gamine fasse le guet pendant mon sommeil me faisait un peu peur mais ces nuit où l'on ne dort que quelques heures sont extrêmement éreintantes.
Pour cette nuit, Alice surveillera deux heures.
Le lendemain, je regardais le soleil se lever. J'étais le dernier à devoir faire le guet. Durant la nuit, j'ai dû tuer quelques montres qui rôdaient d'un peu trop près.
J'attendis un peu avant de faire lever les autres, histoire que ces enfoirés crament bien avant que l'on se mettent en marche.
Après une heure de marche plutôt rapide, nous sommes arrivés à ma lisière de la forêt.
Elle avait l'air très touffue. Nous y sommes entrés, croyant qu'elle nous abriterait mieux que la plaine.
Il ne fallut pas longtemps avant que nous tombions sur de la nourriture : des champignons que Marie reconnue comestible, normal, c'était elle qui faisait les courses au marcher
Cette découverte nous a donnée un confiance en nous et nous nous sommes séparés en trois groupes pour trouver à manger. Le jour, il y a peu de danger après tout.
Après quelques dizaines de minutes, je suis tombé sur une petite tanière plutôt bien dissimulée. Sûrement la demeure d'un petit lapin délicieux
Détestant mettre ma main n'importe où (en fait ça dépend pour quoi ) Je tâtonnais l'intérieur avec mon épée quand soudain, je sentis du mouvement dans le trou. Je reculais alors brusquement, surpris puis rien. Le noir complet. J'ai oublié.
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