Les prisonniers de l'île
Par : Camion2LaGalayr
Genre : Action , Science-Fiction
Status : Abandonnée
Note :
Chapitre 32
Publié le 13/10/13 à 21:27:05 par Camion2LaGalayr
Je n'ai bien sûr pas dormis de la nuit. Les combats fréquents me tenaient éveillé.
Le jour arriva enfin. J'étais fatigué, j'avais des crampes partout. J'attendis que le soleil soit suffisamment haut pour réveiller les autres.
Doucement, je les réveillaient un par un, il fallait continuer notre route. Une fois les autres réveillés, nous avons mangés et nous sommes partis.
Dans cette immense plaine de hautes herbes, nous ne voyons rien qui ai de l'intérêt à l'horizon. Nous étions dans une mer verte, l'herbe étant l'eau qui nous prenait la moitié du corps sauf pour Alice qui n'avait pas pied.
Toute la journée nous avons marchés. La nuit n'allait pas tarder à commencer. Nous nous sommes posés encore une fois dans l'herbe, nous avons mangés puis Matthieu prit la garde. J'étais mort, il fallait que je dorme. Je me suis couché en premier, rien n'aurais pu me réveiller une fois endormis.
Quand j'ai ouvert les yeux, c'était l'aube. J'avais bien dormis, j'étais prêt a attaquer cette journée.
Nous avons mangés notre petit déjeuner et nous sommes encore partis.
« Alors Matthieu, comment ça c'est passé ?
_ Très bien
_ Il est venu me réveiller tard la nuit parce qu'il avait tout seul, dit Marie.
_
_ Vous n'avez pas eu de problèmes avec les monstres ? Demandais-je.
_ J'en ai tué cinq en tout et Matthieu deux, deux de mes flèches se sont cassées, répond Marie.
_ Il t'en reste combien ? Demandais-je.
_ 21 »
Nous avons une fois de plus continuer notre route, dans ces plaines, il y a pas de nourriture trouvable, nous devions faire avec nos réserves qui commençaient déjà à dangereusement s'amenuiser.
Trois jours plus tard, nous n'avions toujours pas traversés cette maudite pleine. Nous n'avions plus rien à manger, la dernière fois, nous avons mangés un serpent, ça avait un goût de poulet. Nous désespérions, avec tout les dangers qu'il y a sur cette île, il fallait que l'on meure de faim ? Quel manque d'originalité ! Dès que nous trouvions quoi que ce soit de comestible, ça revenait à Alice, la petite fille ne peut pas tenir aussi longtemps que nous sans manger.
C'était l'après-midi, la faim me tordait les boyaux, quand je vis au loin une épaisse fumée noire. Mes compagnons et moi nous regardions puis nous avons courus vers cette fumée, il y aurait peut être de la nourriture. Nous ne savions pas ce qui provoquais cette fumée, en tout cas nous ne le savions pas jusqu'à ce que nous voyons un avion de transport militaire qui s'est crashé dans la plaine.
Il fallait l'inspecter mais l’appât d'un possible butin ne nous embrouilla pas l'esprit, accroupie dans les hautes herbes, nous cherchions tout d'abord des formes de vie.
Nous avons fait le tour de l'avion, il n'y avait rien de vivant, pas un seul bruit à part le crépitement des flammes mais il y avait bien quelqu'un autour de l'appareil : des cadavres jonchaient le sol.
Des cadavres de monstres, des cadavres d'hommes : des gens vivant sur cette île, des militaires et des civiles de dehors. Après une boucherie pareil, il doit rester un autre personne. Il était probable qu'il s'abrite à l'intérieur de l'avion. Nous n'avions aucun visuel sur lui, il fallait le faire sortir. Nous nous sommes équipés de nos armes, prêt à combattre.
J'ai balancé une pierre qui traînait par terre sur la coque de l'avion, après le bruit de celle-ci sur la coque, Matthieu, qui était placé juste à coté de l'avion me fit signe pour dire qu'il entendait quelqu'un se déplacer à l'intérieur. Je laissais Marie et Alice derrière pour m'approcher de l'avion en miette. Il n'y avait pas trente-six entrés mais une. Je me collais sur un des cotés de l'entrée et Matthieu de l'autre. J'entendais moi aussi les pas, ils se rapprochaient doucement.
Le jour arriva enfin. J'étais fatigué, j'avais des crampes partout. J'attendis que le soleil soit suffisamment haut pour réveiller les autres.
Doucement, je les réveillaient un par un, il fallait continuer notre route. Une fois les autres réveillés, nous avons mangés et nous sommes partis.
Dans cette immense plaine de hautes herbes, nous ne voyons rien qui ai de l'intérêt à l'horizon. Nous étions dans une mer verte, l'herbe étant l'eau qui nous prenait la moitié du corps sauf pour Alice qui n'avait pas pied.
Toute la journée nous avons marchés. La nuit n'allait pas tarder à commencer. Nous nous sommes posés encore une fois dans l'herbe, nous avons mangés puis Matthieu prit la garde. J'étais mort, il fallait que je dorme. Je me suis couché en premier, rien n'aurais pu me réveiller une fois endormis.
Quand j'ai ouvert les yeux, c'était l'aube. J'avais bien dormis, j'étais prêt a attaquer cette journée.
Nous avons mangés notre petit déjeuner et nous sommes encore partis.
« Alors Matthieu, comment ça c'est passé ?
_ Très bien
_ Il est venu me réveiller tard la nuit parce qu'il avait tout seul, dit Marie.
_
_ Vous n'avez pas eu de problèmes avec les monstres ? Demandais-je.
_ J'en ai tué cinq en tout et Matthieu deux, deux de mes flèches se sont cassées, répond Marie.
_ Il t'en reste combien ? Demandais-je.
_ 21 »
Nous avons une fois de plus continuer notre route, dans ces plaines, il y a pas de nourriture trouvable, nous devions faire avec nos réserves qui commençaient déjà à dangereusement s'amenuiser.
Trois jours plus tard, nous n'avions toujours pas traversés cette maudite pleine. Nous n'avions plus rien à manger, la dernière fois, nous avons mangés un serpent, ça avait un goût de poulet. Nous désespérions, avec tout les dangers qu'il y a sur cette île, il fallait que l'on meure de faim ? Quel manque d'originalité ! Dès que nous trouvions quoi que ce soit de comestible, ça revenait à Alice, la petite fille ne peut pas tenir aussi longtemps que nous sans manger.
C'était l'après-midi, la faim me tordait les boyaux, quand je vis au loin une épaisse fumée noire. Mes compagnons et moi nous regardions puis nous avons courus vers cette fumée, il y aurait peut être de la nourriture. Nous ne savions pas ce qui provoquais cette fumée, en tout cas nous ne le savions pas jusqu'à ce que nous voyons un avion de transport militaire qui s'est crashé dans la plaine.
Il fallait l'inspecter mais l’appât d'un possible butin ne nous embrouilla pas l'esprit, accroupie dans les hautes herbes, nous cherchions tout d'abord des formes de vie.
Nous avons fait le tour de l'avion, il n'y avait rien de vivant, pas un seul bruit à part le crépitement des flammes mais il y avait bien quelqu'un autour de l'appareil : des cadavres jonchaient le sol.
Des cadavres de monstres, des cadavres d'hommes : des gens vivant sur cette île, des militaires et des civiles de dehors. Après une boucherie pareil, il doit rester un autre personne. Il était probable qu'il s'abrite à l'intérieur de l'avion. Nous n'avions aucun visuel sur lui, il fallait le faire sortir. Nous nous sommes équipés de nos armes, prêt à combattre.
J'ai balancé une pierre qui traînait par terre sur la coque de l'avion, après le bruit de celle-ci sur la coque, Matthieu, qui était placé juste à coté de l'avion me fit signe pour dire qu'il entendait quelqu'un se déplacer à l'intérieur. Je laissais Marie et Alice derrière pour m'approcher de l'avion en miette. Il n'y avait pas trente-six entrés mais une. Je me collais sur un des cotés de l'entrée et Matthieu de l'autre. J'entendais moi aussi les pas, ils se rapprochaient doucement.
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