Pendant ce temps, Helène était avec son amie Mélanie, à discuter, tout devant.

Helène : J'essaie d'y aller doucement, mais je dois faire vite, tu me comprends ?

Mélanie : Je te conseille d'attendre le bon moment, si tu vas trop vite en besogne...

Helène : T'inquiètes pas pour ça, je lui demanderai d'aller chez lui dans quelques jours

Mélanie : C'est un peu juste quand meme...


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En effectuant tous les cours de l'après midi, j'etais enfin libre de rentrer chez moi. J'ai pu échanger mon numéro avec celui d'Emilie ET d'Helène... J'avais une chance pas possible ces derniers jours, meme si ce que m'a dit Emilie me tracasse un peu. Pour moi, Helène a l'air d'une fille honnete, mais je dois tenter d'en savoir plus sur ce qu'elle éprouve réellement pour moi.

J'attendais à l'arret de bus l'arrivée d'Helène, en marchant mon portable à la main, et en faisant des aller-retour nerveux. A sa vue, j'ai tout de suite sourit, et elle aussi. Cette fois-ci, Mélanie l'accompagnai, mais je n'y pretais aucune attention

Moi : S... Salut

Helène : Hey Yoann, tu voulais attendre mon bus pour me tenir compagnie... C'est mignon !

Moi : En réalité, je voulais te parler de quelque chose... En privée

Sur ces mots, Mélanie s'eloigna légèrement, pendant qu'Helène s'était rapprocha de moi, posant ces deux bras derrière ma nuque. Mon cœur s'accelerai à chaque seconde, nos visages sont si proche. Personne ne nous regarde. Au bout d'un moment, je décidai de rompre le silence :

Moi : Est-ce... Que... Tu m'aimes bien ? Franchement, j'ai besoin de savoir...

Helène : Et bien... Il nous faut un peu de temps, pour mieux nous connaitre. Et puis, si tout se passe bien...

Ses lèvres se rapprochaient doucement des miennes, je sentais son souffle chaud sur ma bouche. Puis elle se retira, au dernier moment, avant de me faire un clin d'œil et de m'embrasser longuement sur la joue :

Helène : Mais moi aussi, je dois etre sure de tes sentiments... Alors attendons un peu, tu veux bien ?

Moi : Oui bien sur...

Elle pris donc son bus avec son amie. En rentrant, mon téléphone vibra. C'était mon père, qui voulait que j'aille acheter deux trois trucs, parce qu'il n'avait pas le temps.

Après mon passage au magasin, j'effectuai la route pour rentrer chez moi, quand je vis dans une petite ruelle, un spectacle qui faisait froid dans le dos. Je devai agir...