Note de la fic : Non notée

Alt_et_Zero_(la_parodie_pas_officielle_d_AE)


Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué



Chapitre 5


Publié le 19/08/2013 à 01:19:42 par Pseudo supprimé

*Quelque part dans les sous-sols de Paris*
3 mai 2071, 3h23

Personne ne dort, car personne n’en a besoin. Lubbeck, satisfait, savait que sa nouvelle victime lui permettrait d’empocher un bon paquet d’euros GC. Celui qui se faisait appeler Hui et était désormais un homme tronc se nommait en réalité Hanry Worrington. Au mauvais endroit, au mauvais moment, il était tombé par mégarde dans les griffes acérées de Max Arrus, qui aussi sec, l’avait ramené dans le réseau de caves où avait élu domicile la Communauté.
Librement rattachés à l’Ordo Magister, la dizaine d’homme qui servaient aux cotés de Lubbeck celui qui se faisait appeler « Magister » avait tous leurs raisons de passer sous le contrôle de la Cybercratie. Vengeance pour la plupart, envie exacerbé d’en finir avec leurs restes d’humanités pour quelques autres. Leurs buts n’étaient finalement que quelques prétextes bien faible face à leur unique intérêt : être du coté des futurs maitres du monde.
Perdu dans ses pensées et calculant une tangente algorithmique sur la fonction : (ax²+b) y, Lubbeck dépassa un cyborg ridiculement petit à coté de sa carrure de géant scandinave. Le pauvre homme, du moins ce qu’il en restait, s’échinait frénétiquement sur une sorte d’aspirateur toussotant en baragouinant quelque chose d’incompréhensible.
- Plait-il ?
- Heu … Non rien … Lâcha le technicien de surface plus connu sous le nom de Rho.
- Et que ça brille !
- Oui mon capitaine.
Rho ne transcendait pas la réalité par sa vivacité d’esprit. Il avait manqué de chance dans sa Conversion, pour finir comme simple agent de propreté. Mais un jour, oui un jour, le monde connaitrait sa vraie valeur (du moins, c’est ce qu’il espérait et il se mettait le doigt très profond).

Il avait reçu un ordre des plus clair de la part du Magister Kris. Si il voulait avoir plus de moyens technique et financier, il devait accepter de se soumettre à un petit jeu pervers. Chaque fait ou geste de la Communauté serait enregistré, observé et jugé par un public qui choisirait d’éliminer n’importe quel membre de son équipe. C’était une condition dégradante, mais Lubbeck l’accepta sans grand état d’âme. Un bon coup de ménage ferait le plus grand bien …


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