OMG_J__ai_tue_ma_grand-mere_!!!_-_Saison_II
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 46
Layla
Publié le 19/08/13 à 01:19:41 par Pseudo supprimé
OMG J'ai tué ma grand-mère !!!
Chapitre XLVI)
Olalah, j'en pouvais plus de me trimballer ce gros lard...
J'aurais donné n'importe quoi pour voir la tête qu'il a du tiré quand on lui ouvert sa "caisse de sel"
Je roulais dans Dunkerque, j'avais une adresse, je devais voir une personne en particulier, celle pour qui j'étais venue d'aussi loin. Le GPS m'indiqua les rues les plus petites de la ville, j'allais devoir continuer à pieds, la voiture passait pas dans les ruelles... J'étais dans le quartier le plus craignos de Dunkerque, mais bon, j'avais l'habitude, je connaissais très bien ce quartier, après tout, j'y avais passer 8 ans... :)
J'arrivai donc à destination, je n'y étais pas venue depuis 4 ans, et l'immeuble était toujours aussi moche et délabré. J'ouvrai la porte, tapant le code du hall sur le cadran poisseux, c'était toujours le même depuis une dizaine d'année, on y rentrait comme dans un moulin.
Ce hall ressemblait presque à un temple de la drogue et de la promiscuité, des putes et des drogués squattaient les escaliers, on y retrouvait des capotes et des seringues usagées ; un véritable rassemblement de déchets humains...
Je montai jusqu'au 7ème étage, l'immeuble en comptait 14, quand j'arrivai devant une porte peinte d'un vert criard, hideux. Ca n'avait pas changé non plus.
Je sonnai on m'ouvrit la porte.
-..L..Layla ?
-Bonjour papa.
*BAM*
Je venais de lui foutre un de crosse de fusil à pompe dans la mâchoire, le faisant tomber au sol, j'avançais, refermant la porte derrière moi. Je l'avais à nouveau devant moi, l'enfoiré qui avait fait de ma vie un enfer en me vendant à un gros porc dans une vente aux enchères organisées par une sorte de mafioso polak.
-Férie qu'ef que...
-Ne m'appelle PAS, "chérie".
-Layla, ne..
-Ne quoi ? "Ne me tue pas ?". Je ne devrais pas te tuer après ce que tu as fait, hein ? Tu m'as vendu comme une vulgaire esclave à un porc !
-F'était pour ton bien...
-... "Mon bien ?"
Vivre pendant 4 ans en forêt, devoir lui passer tous ses fantasmes sexuels et l'appeler en plus "Papa" par dessus le marché, tu appelles ça, "mon bien" ?
-.Veuh...
Il avait beaucoup de mal à parler avec ses dents cassés, mais je voyais tout de même qu'il n'avait rien à dire. L'expression de son visage laissait transparaitre une peur profonde, il se pissait littéralement dessus.. et pas que littéralement en fait...
-Espèce de sous merde va, tu te pisses dessus...
Bon alors je vais te dire ce qui va se passer, maintenant. Je vais te tuer, et je vais m'en aller, d'accord ?
-Non non, pitié, pitié !!
-"Pitié" ?
------------------
-Layla, habille toi, on va être en retard je déteste ça !
-Oui papa !
Aujourd'hui, c'était un jour très important, Papa m'emmenait à la fête de son travail, je devais être plus belle que jamais
J'avais passé plusieurs heures à me préparer ; j'étais fin prête. Plusieurs heures de coiffure, un léger maquillage, des fringues sélectionnées avec attention, des accessoires triés sur le volet, j'étais vraiment "plus belle que jamais", "une petite perle d'orient" comme disais mon père.
Mon père était Iranais, et ma mère française ; j'avais vécu 5 ans en Iran, puis on a déménagé ici, à Dunkerque, dans ce petit appartement. Maman n'était pas là, elle était en Normandie, grand-mère était mourante, et elle devait régler quelques "détails"...
Papa entra dans la pièce :
-Tu es resplendissante ma chérie. :)
-Merci
-Allez, viens, on ne traine pas :)
- Hihi
Nous descendîmes de l'immeuble, où des types tous plus louches les uns que les autres se droguaient dans les escaliers, j'avais l'habitude, fallait juste pas y faire attention et tout se passait bien.
Nous montâmes dans la voiture en direction du bureau de papa, situé au sud de la ville. Papa commença à rouler et tourna brusquement vers le nord.
-Mais c'est pas par là ton bureau
-... La fête n'est pas au bureau chérie..c'.. c'est pour ça !
-Ah
Nous arrivâmes assez rapidement près du port, dans une entreprise désaffectée, le long des quais.
Des tonnes de voitures étaient garés, nous sortîmes de la voitures et nous dirigeâmes à l'intérieur. Des tonnes de filles et de femmes étaient enchainées, exposées sur des estrades
-P..Papa, on fait quoi ici... ?
-Tais toi.
-Pap...
-SILENCE j'ai dit.
Il ne me gifla même pas, sa main s'arrêtant juste avant le contact avec ma joue.
-On est venus pour te trouver un mari.
-Mais j'veux pas m'marier !!!!
-Je me souviens pas t'avoir demander ton avis... :
Soudain, un type s'approcha de nous, un gros porc blond, les cheveux en bordel, un super costard et des pompes qui valaient plus cher que notre appart.
-C'est vot' fille ?
-Ouais.
-Z'en d'mandez combien ?
-Ca dépend combien vous en donner.
-J'vous en offre 7.000
-7.500 et elle est à vous.
-Parfait :
-Papa, pitié, ne fais pas ça, pitié !!!
Papa s'en alla, sans se retourner, me laissant seul avec ce monstre...
-PAPA !!!!
-Ferme la, ton père, maintenant, c'est moi ! Tu te plairas bien chez moi, je suis très riche, on aura pas le temps de s'ennuyer ma mignonne... :
-Pitié, PAPAAAAAA !!!!
--------------------------
-Tu en as eu pour moi lorsque je te suppliais de ne pas me vendre, il y a 4 ans ?
-...
-Rien à ajouter ?
-...
-C'est bien c'qu'il me semblait. On se retrouvera sûrement en Enfer, j'te laisse une longueur d'avance. *PAN*
J'avais répandu sa cervelle sur le tapis de l'entrée, tissé main en Iran par ma grand-mère il y a 30 ans de cela. Enfin, j'en avais pas grand chose à faire. Je volai tout l'argent se trouvant dans la maison et sorti. J'aurais bien aimé voir maman. Tant pis. Je descendis les escaliers, montai donc en voiture, me dirigeant vers le sud, j'avais encore beaucoup de route à faire, et j'allais devoir traverser Paris, ville que je détestais.
En quittant la ville, je vis plusieurs voiture de police se diriger vers mon immeuble, c'était amusant de voir la lenteur des flics, s'ils savaient qu'ils venaient de croiser la criminelle en mercedes, ils se remettraient un peu en question...
Enfin, j'arrivais en quelques heures dans Paris même, m'arrêtant dans le premier arrondissement de la ville, pour acheter un peu à bouffer, j'avais un peu faim à force...
Je descendis donc de voiture, entrai dans une boulangerie, mon fusil à pompe caché dans le dos, achetant plusieurs viennoiseries et 2 sandwich avec l'argent que j'avais trouvé chez moi, je sortis et m'approchai de la voiture où se trouvait un flic, entrain de me foutre une amende.
-Elle est à vous cette voiture ?
-Euh... :)
-Réponds pétasse !
-On se calme là le p'tit pd d'accord ? :)
-A qui elle parle cette pute, elle va voir.
Alors qu'il s'approchait de moi en dégainant sa matraque, je lui braquai mon fusil à pompe sur le coeur.
-Tu disais ? :)
-...
*PAN*
Je venais de buter un flic au fusil à pompe, dans plein Paris, mais quelle conne, quelle conne !!!!
Je remontai rapidement en voiture, me mettant à rouler, prise en chasse par 3 voitures de police, qui n'eurent aucun mal à me rattraper, la circulation dans Paris était tout simplement affreuse...
Je descendis donc de voiture commençant à courir, tirant dans une voiture de flic au fusil à pompe, la faisant exploser sur le coup.
Je continuais à courir, quand une voiture se gara devant moi, gyrophare sur le toit. Un type assez grand et flippant en sorti, et me braqua avec son arme.
-Lâche ton fusil petite, c'est fini.
-JAMAIS !
Alors que je chargeai mon fusil pour le descendre *PAN PAN*
Le gars m'avait foutu deux balles dans le ventre, me faisant m'étaler au sol, dans mon sang. Là, c'était bien la fin. Je détestais Paris, et le fait que j'étais entrain d'y crever arrangeait pas l'opinion que j'en avais. Le type s'approcha de moi et me passa les menottes.
-Qui que vous soyez, vous êtes en état d'arrestation...
Je n'entendais même plus ce qu'il disait, je voyais trouble, j'allais pas tarder à m'évanouir.
-Appelez une ambulance, la p'tite va crever, et on en a encore besoin, un p'tit peu.
-A vos ordres commissaire.
Je fixai le type qui venait de m'abattre, droit dans les yeux. Il en fit de même et me glissa au creux de l'oreille.
-Je suis le commissaire principale Tartopaume, on a des choses à se dire toi et moi...
Chapitre XLVI)
Olalah, j'en pouvais plus de me trimballer ce gros lard...
J'aurais donné n'importe quoi pour voir la tête qu'il a du tiré quand on lui ouvert sa "caisse de sel"
Je roulais dans Dunkerque, j'avais une adresse, je devais voir une personne en particulier, celle pour qui j'étais venue d'aussi loin. Le GPS m'indiqua les rues les plus petites de la ville, j'allais devoir continuer à pieds, la voiture passait pas dans les ruelles... J'étais dans le quartier le plus craignos de Dunkerque, mais bon, j'avais l'habitude, je connaissais très bien ce quartier, après tout, j'y avais passer 8 ans... :)
J'arrivai donc à destination, je n'y étais pas venue depuis 4 ans, et l'immeuble était toujours aussi moche et délabré. J'ouvrai la porte, tapant le code du hall sur le cadran poisseux, c'était toujours le même depuis une dizaine d'année, on y rentrait comme dans un moulin.
Ce hall ressemblait presque à un temple de la drogue et de la promiscuité, des putes et des drogués squattaient les escaliers, on y retrouvait des capotes et des seringues usagées ; un véritable rassemblement de déchets humains...
Je montai jusqu'au 7ème étage, l'immeuble en comptait 14, quand j'arrivai devant une porte peinte d'un vert criard, hideux. Ca n'avait pas changé non plus.
Je sonnai on m'ouvrit la porte.
-..L..Layla ?
-Bonjour papa.
*BAM*
Je venais de lui foutre un de crosse de fusil à pompe dans la mâchoire, le faisant tomber au sol, j'avançais, refermant la porte derrière moi. Je l'avais à nouveau devant moi, l'enfoiré qui avait fait de ma vie un enfer en me vendant à un gros porc dans une vente aux enchères organisées par une sorte de mafioso polak.
-Férie qu'ef que...
-Ne m'appelle PAS, "chérie".
-Layla, ne..
-Ne quoi ? "Ne me tue pas ?". Je ne devrais pas te tuer après ce que tu as fait, hein ? Tu m'as vendu comme une vulgaire esclave à un porc !
-F'était pour ton bien...
-... "Mon bien ?"
Vivre pendant 4 ans en forêt, devoir lui passer tous ses fantasmes sexuels et l'appeler en plus "Papa" par dessus le marché, tu appelles ça, "mon bien" ?
-.Veuh...
Il avait beaucoup de mal à parler avec ses dents cassés, mais je voyais tout de même qu'il n'avait rien à dire. L'expression de son visage laissait transparaitre une peur profonde, il se pissait littéralement dessus.. et pas que littéralement en fait...
-Espèce de sous merde va, tu te pisses dessus...
Bon alors je vais te dire ce qui va se passer, maintenant. Je vais te tuer, et je vais m'en aller, d'accord ?
-Non non, pitié, pitié !!
-"Pitié" ?
------------------
-Layla, habille toi, on va être en retard je déteste ça !
-Oui papa !
Aujourd'hui, c'était un jour très important, Papa m'emmenait à la fête de son travail, je devais être plus belle que jamais
J'avais passé plusieurs heures à me préparer ; j'étais fin prête. Plusieurs heures de coiffure, un léger maquillage, des fringues sélectionnées avec attention, des accessoires triés sur le volet, j'étais vraiment "plus belle que jamais", "une petite perle d'orient" comme disais mon père.
Mon père était Iranais, et ma mère française ; j'avais vécu 5 ans en Iran, puis on a déménagé ici, à Dunkerque, dans ce petit appartement. Maman n'était pas là, elle était en Normandie, grand-mère était mourante, et elle devait régler quelques "détails"...
Papa entra dans la pièce :
-Tu es resplendissante ma chérie. :)
-Merci
-Allez, viens, on ne traine pas :)
- Hihi
Nous descendîmes de l'immeuble, où des types tous plus louches les uns que les autres se droguaient dans les escaliers, j'avais l'habitude, fallait juste pas y faire attention et tout se passait bien.
Nous montâmes dans la voiture en direction du bureau de papa, situé au sud de la ville. Papa commença à rouler et tourna brusquement vers le nord.
-Mais c'est pas par là ton bureau
-... La fête n'est pas au bureau chérie..c'.. c'est pour ça !
-Ah
Nous arrivâmes assez rapidement près du port, dans une entreprise désaffectée, le long des quais.
Des tonnes de voitures étaient garés, nous sortîmes de la voitures et nous dirigeâmes à l'intérieur. Des tonnes de filles et de femmes étaient enchainées, exposées sur des estrades
-P..Papa, on fait quoi ici... ?
-Tais toi.
-Pap...
-SILENCE j'ai dit.
Il ne me gifla même pas, sa main s'arrêtant juste avant le contact avec ma joue.
-On est venus pour te trouver un mari.
-Mais j'veux pas m'marier !!!!
-Je me souviens pas t'avoir demander ton avis... :
Soudain, un type s'approcha de nous, un gros porc blond, les cheveux en bordel, un super costard et des pompes qui valaient plus cher que notre appart.
-C'est vot' fille ?
-Ouais.
-Z'en d'mandez combien ?
-Ca dépend combien vous en donner.
-J'vous en offre 7.000
-7.500 et elle est à vous.
-Parfait :
-Papa, pitié, ne fais pas ça, pitié !!!
Papa s'en alla, sans se retourner, me laissant seul avec ce monstre...
-PAPA !!!!
-Ferme la, ton père, maintenant, c'est moi ! Tu te plairas bien chez moi, je suis très riche, on aura pas le temps de s'ennuyer ma mignonne... :
-Pitié, PAPAAAAAA !!!!
--------------------------
-Tu en as eu pour moi lorsque je te suppliais de ne pas me vendre, il y a 4 ans ?
-...
-Rien à ajouter ?
-...
-C'est bien c'qu'il me semblait. On se retrouvera sûrement en Enfer, j'te laisse une longueur d'avance. *PAN*
J'avais répandu sa cervelle sur le tapis de l'entrée, tissé main en Iran par ma grand-mère il y a 30 ans de cela. Enfin, j'en avais pas grand chose à faire. Je volai tout l'argent se trouvant dans la maison et sorti. J'aurais bien aimé voir maman. Tant pis. Je descendis les escaliers, montai donc en voiture, me dirigeant vers le sud, j'avais encore beaucoup de route à faire, et j'allais devoir traverser Paris, ville que je détestais.
En quittant la ville, je vis plusieurs voiture de police se diriger vers mon immeuble, c'était amusant de voir la lenteur des flics, s'ils savaient qu'ils venaient de croiser la criminelle en mercedes, ils se remettraient un peu en question...
Enfin, j'arrivais en quelques heures dans Paris même, m'arrêtant dans le premier arrondissement de la ville, pour acheter un peu à bouffer, j'avais un peu faim à force...
Je descendis donc de voiture, entrai dans une boulangerie, mon fusil à pompe caché dans le dos, achetant plusieurs viennoiseries et 2 sandwich avec l'argent que j'avais trouvé chez moi, je sortis et m'approchai de la voiture où se trouvait un flic, entrain de me foutre une amende.
-Elle est à vous cette voiture ?
-Euh... :)
-Réponds pétasse !
-On se calme là le p'tit pd d'accord ? :)
-A qui elle parle cette pute, elle va voir.
Alors qu'il s'approchait de moi en dégainant sa matraque, je lui braquai mon fusil à pompe sur le coeur.
-Tu disais ? :)
-...
*PAN*
Je venais de buter un flic au fusil à pompe, dans plein Paris, mais quelle conne, quelle conne !!!!
Je remontai rapidement en voiture, me mettant à rouler, prise en chasse par 3 voitures de police, qui n'eurent aucun mal à me rattraper, la circulation dans Paris était tout simplement affreuse...
Je descendis donc de voiture commençant à courir, tirant dans une voiture de flic au fusil à pompe, la faisant exploser sur le coup.
Je continuais à courir, quand une voiture se gara devant moi, gyrophare sur le toit. Un type assez grand et flippant en sorti, et me braqua avec son arme.
-Lâche ton fusil petite, c'est fini.
-JAMAIS !
Alors que je chargeai mon fusil pour le descendre *PAN PAN*
Le gars m'avait foutu deux balles dans le ventre, me faisant m'étaler au sol, dans mon sang. Là, c'était bien la fin. Je détestais Paris, et le fait que j'étais entrain d'y crever arrangeait pas l'opinion que j'en avais. Le type s'approcha de moi et me passa les menottes.
-Qui que vous soyez, vous êtes en état d'arrestation...
Je n'entendais même plus ce qu'il disait, je voyais trouble, j'allais pas tarder à m'évanouir.
-Appelez une ambulance, la p'tite va crever, et on en a encore besoin, un p'tit peu.
-A vos ordres commissaire.
Je fixai le type qui venait de m'abattre, droit dans les yeux. Il en fit de même et me glissa au creux de l'oreille.
-Je suis le commissaire principale Tartopaume, on a des choses à se dire toi et moi...
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