OMG_J__ai_tue_ma_grand-mere_!!!_-_Saison_II
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 41
Strange déjà vu
Publié le 19/08/13 à 01:19:40 par Pseudo supprimé
OMG J'ai tué ma grand-mère !!!
Chapitre XLI)
Chacun était en position, on allait pouvoir commencer. Il faisait nuit noir, on avait exploser tous les lampadaires à proximité à coup de 3310 (un vrai parpaing ce machin ) m'voyez
L'ambulance arriva rapidement, se gara, deux personnes en descendirent, tandis qu'une troisième restait assise au volant.
-Depuis combien de temps était elle dans cet état (me lança un des infirmiers)
-10 bonnes minutes, aidez là docteur (ah w'okay, je faisais trop la tarlouze )
-Je vais faire tout ce que je peux
Jacques, aide moi, on va la foutre sur le lit !
Le dénommé Jacques descendit un lit à roulette de la camionnette, quand Edouard, caché derrière un lampadaire déboula en trombe, rentrant à toute vitesse dans le lit, percutant l'infirmier au niveau du bide, le faisant tomber par terre comme une merde
-Qu'est ce qu...
Avant que son ami ai pu se poser la moindre question, je lui envoyai une droite dans le front, puis lui éclatai la tête contre l'ambulance.
Son collègue se leva, gifla Edouard, qui rentra dans le camion, fouilla dans le matériel chirurgical et lui enfonça une perf dans la gorge, le tuant net, sans salir
Xavier entre temps, s'était occupé du type à l'avant, ramassé un pavé sur la route, il éclata la tête du conducteur comme une noix
Nous foutûmes les infirmiers à poil, enfilant leurs blouses, masques et petit chapeau ( ) par dessus nos fringues, foutant Cécile dans le lit à l'arrière de l'ambulance avec Xavier, tandis que je montai à l'avant avec Edouard.
L matériel chirurgical de l'ambulance était assez limité, pas de quoi recoudre, juste un défibrillateur et de quoi intuber quelqu'un, nous devions donc absolument rentrer dans l'hôpital.
Nous entrâmes sur le parking souterrain, c'était limite désert à cette heure là.
-Voilà ce qu'on va faire.
Xavier, tu emmènes Cécile dans la chambre 42 au 3ème étage, (c'était ma chambre avant ) et tu restes avec elle, Edouard à moi on va chercher du matos et on vous y retrouve, d'accord ?
-Ca roule
-Ok, go !
Nous rentrâmes donc dans l'hôpital, prîmes l'ascenseur tranquillement, Xavier montant au 3ème, nous, on s'arrêtait au premier, direction la réserve. J'avais passé 2 mois dans cet hôpital (à dormir ) et 2 jours à le visiter complètement, à me faire courser par les infirmières, toussa, je savais qu'une réserve de matériel se trouvait au premier étage, et que ça n'était jamais fermé
Nous y allâmes donc, prîmes de quoi suturer, quelques scalpel, et je pris seringue d'adré, ça pouvait toujours servir
Nous sortîmes de la pièce, tombant nez à nez avec un groupe de trois infirmières.
-Docteur vous voilà enfin !
Votre patiente au bloc C est prête, on vous attends pour sa tumeur au pancréas, venez avec moi !
Et mayrde...
Pourquoi ça n'arrivait qu'à moi ce genre de trucs de merde ? :snif
Je pouvais pas aller au bloc charcuter un cancéreux, faut pas déconner
J'envoyai donc Edouard faire le tour du couloir en 4ème vitesse, un scalpel à la main, je chopai donc une des infirmières, plaquant son dos contre mon torse, un scalpel sous sa gorge ; prise d'otage le retour !
-Ne faites pas le moindre geste, et n'essayez surtout pas de vous enfuir ou je lui tranche la gorge, d'accord ?
-Oui, pitié, calmez vous monsieur !!
"Monsieur"
-Rapprochez vous, et mettez vous à genou, les mains sur la tête, et que ça saute
Une d'entre elle s'exécuta, mais sa collègue crut bon de courir pour tenter de s'échapper, mais c'était oublier Edouard qui avait fait le tour du couloir, la bloquant d'un coup de coude dans le nez.
-ONCHE ONCHE KOM T POUNED
-Bien joué lieutenant
Levez vous, et suivez nous sans faire d'histoire, pigé ?
-D'accord, mais ne nous faîtes pas de mal, je vous en supplie
-Taggle
Nous rentrâmes donc à 5 dans la réserve (no orgie ), assommant les infirmières, les foutant à poil, les ligotâmes et les bâillonnâmes à l'aide de leurs propres fringues, les abandonnant ici, sans avoir le temps de profiter de leurs corps...
Pas de temps à perdre, direction le 3ème étage !
-
-Tiens le coup Cécile, tiens le coup, Paul et Edouard ne vont pas tarder...
J'avais installer Cécile dans le lit de la chambre 42 en enfonçant la porte, comme me l'avait dit Paul, ils étaient déjà partis depuis 10 minutes, qu'est ce qu'ils foutaient ??? La pièce ressemblait à... rien d'autre qu'une chambre d'hôpital, pas plus que ce qu'elle était réellement, on lui en demandait pas plus en même temps. J'étais obligé de rester, pouvant juste attendre, sans pouvoir rien faire d'autre pour aider Cécile, c'était si frustrant de se sentir inutile, surtout dans ce genre de situation critique...
Que se passerait il s'ils ne faisaient pas assez vite ? S'ils s'étaient fait attraper ? Si elle perdait trop de sang ? Si elle en venait à mourir ? Tant de "si", de question à poser, mais une seule réponse pour toutes ; patienter.
J'étais assis à côté de son lit, sur une chaise, quand je pris mon talkie walkie, et parlait dedans.
-..Allo ?
-Ouais ?
-Vous êtes où, magnez vous !
-On arrive, no stress !
Au même moment, la porte s'ouvrit. Je bondis de ma chaise, m'attendant à voir Edouard et Paul, mais pas vraiment...
- ... Oh mon Dieu
-
Nous courions depuis depuis quelques minutes dans les escaliers (ascenseur occupé ), jusqu'à arriver au 3ème étage où nous fonçâmes jusqu'à la chambre 42, matos en main. Edouard ouvrit la porte, et nous pénétrâmes dans la chambre, peuplée de Xavier, Cécile et...
-Tonton ?
-Xavier ?
"Tonton" ? WTF ????
Les deux tombèrent l'un dans les bras de l'autre, Xavier pleurai à chaudes larmes, je m'attendais à tout sauf à ça ?
Je me retrouvai à nouveau dans cette chambre où j'avais comaté deux mois, avec la personne que j'étais revenu tuer, l'homme qui m'avait foutu en hôpital psychiatrique, le docteur Ferrarpasser, qui était en fait l'oncle de Xavier, WATZEUFEUK ?
-Attendez attendez, c'est quoi ce fuck, vous êtes de la même famille tous les deux ?
-Oh Paul, je te prése...
-Inutile de faire les présentations, je connais très bien ce type...
-Comment ça ?
-Il a raison Xavier... Disons que, hum, Paul et moi avons eu quelque affaire à régler, quelques semaines auparavant...
-Vous vous foutez de ma gueule ? Vous m'avez balancé en hôpital psychiatrique, enfoiré ! (
-Je n'ai fait que mon métier.
-Glandu d'première, c'est ça ?
-Woh, on se calme !
Xavier nous avait coupé net dans notre discussion.
-Faut d'abord s'occuper de Cécile, vous vous engueulerez après, ok ?
-Cécile ?
-Attends, j'ai rapporté le matos c'est Edouard qui... Où il est ce con encore ?
-
Un fauteuil roulant !!!!
La plus belle invention de l'homme après la barbe à papa et le pop corn
Un véritable bolide, un pilote d'exception (moi ), des couloirs immenses, que demander d'plus ?
Chapitre XLI)
Chacun était en position, on allait pouvoir commencer. Il faisait nuit noir, on avait exploser tous les lampadaires à proximité à coup de 3310 (un vrai parpaing ce machin ) m'voyez
L'ambulance arriva rapidement, se gara, deux personnes en descendirent, tandis qu'une troisième restait assise au volant.
-Depuis combien de temps était elle dans cet état (me lança un des infirmiers)
-10 bonnes minutes, aidez là docteur (ah w'okay, je faisais trop la tarlouze )
-Je vais faire tout ce que je peux
Jacques, aide moi, on va la foutre sur le lit !
Le dénommé Jacques descendit un lit à roulette de la camionnette, quand Edouard, caché derrière un lampadaire déboula en trombe, rentrant à toute vitesse dans le lit, percutant l'infirmier au niveau du bide, le faisant tomber par terre comme une merde
-Qu'est ce qu...
Avant que son ami ai pu se poser la moindre question, je lui envoyai une droite dans le front, puis lui éclatai la tête contre l'ambulance.
Son collègue se leva, gifla Edouard, qui rentra dans le camion, fouilla dans le matériel chirurgical et lui enfonça une perf dans la gorge, le tuant net, sans salir
Xavier entre temps, s'était occupé du type à l'avant, ramassé un pavé sur la route, il éclata la tête du conducteur comme une noix
Nous foutûmes les infirmiers à poil, enfilant leurs blouses, masques et petit chapeau ( ) par dessus nos fringues, foutant Cécile dans le lit à l'arrière de l'ambulance avec Xavier, tandis que je montai à l'avant avec Edouard.
L matériel chirurgical de l'ambulance était assez limité, pas de quoi recoudre, juste un défibrillateur et de quoi intuber quelqu'un, nous devions donc absolument rentrer dans l'hôpital.
Nous entrâmes sur le parking souterrain, c'était limite désert à cette heure là.
-Voilà ce qu'on va faire.
Xavier, tu emmènes Cécile dans la chambre 42 au 3ème étage, (c'était ma chambre avant ) et tu restes avec elle, Edouard à moi on va chercher du matos et on vous y retrouve, d'accord ?
-Ca roule
-Ok, go !
Nous rentrâmes donc dans l'hôpital, prîmes l'ascenseur tranquillement, Xavier montant au 3ème, nous, on s'arrêtait au premier, direction la réserve. J'avais passé 2 mois dans cet hôpital (à dormir ) et 2 jours à le visiter complètement, à me faire courser par les infirmières, toussa, je savais qu'une réserve de matériel se trouvait au premier étage, et que ça n'était jamais fermé
Nous y allâmes donc, prîmes de quoi suturer, quelques scalpel, et je pris seringue d'adré, ça pouvait toujours servir
Nous sortîmes de la pièce, tombant nez à nez avec un groupe de trois infirmières.
-Docteur vous voilà enfin !
Votre patiente au bloc C est prête, on vous attends pour sa tumeur au pancréas, venez avec moi !
Et mayrde...
Pourquoi ça n'arrivait qu'à moi ce genre de trucs de merde ? :snif
Je pouvais pas aller au bloc charcuter un cancéreux, faut pas déconner
J'envoyai donc Edouard faire le tour du couloir en 4ème vitesse, un scalpel à la main, je chopai donc une des infirmières, plaquant son dos contre mon torse, un scalpel sous sa gorge ; prise d'otage le retour !
-Ne faites pas le moindre geste, et n'essayez surtout pas de vous enfuir ou je lui tranche la gorge, d'accord ?
-Oui, pitié, calmez vous monsieur !!
"Monsieur"
-Rapprochez vous, et mettez vous à genou, les mains sur la tête, et que ça saute
Une d'entre elle s'exécuta, mais sa collègue crut bon de courir pour tenter de s'échapper, mais c'était oublier Edouard qui avait fait le tour du couloir, la bloquant d'un coup de coude dans le nez.
-ONCHE ONCHE KOM T POUNED
-Bien joué lieutenant
Levez vous, et suivez nous sans faire d'histoire, pigé ?
-D'accord, mais ne nous faîtes pas de mal, je vous en supplie
-Taggle
Nous rentrâmes donc à 5 dans la réserve (no orgie ), assommant les infirmières, les foutant à poil, les ligotâmes et les bâillonnâmes à l'aide de leurs propres fringues, les abandonnant ici, sans avoir le temps de profiter de leurs corps...
Pas de temps à perdre, direction le 3ème étage !
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-Tiens le coup Cécile, tiens le coup, Paul et Edouard ne vont pas tarder...
J'avais installer Cécile dans le lit de la chambre 42 en enfonçant la porte, comme me l'avait dit Paul, ils étaient déjà partis depuis 10 minutes, qu'est ce qu'ils foutaient ??? La pièce ressemblait à... rien d'autre qu'une chambre d'hôpital, pas plus que ce qu'elle était réellement, on lui en demandait pas plus en même temps. J'étais obligé de rester, pouvant juste attendre, sans pouvoir rien faire d'autre pour aider Cécile, c'était si frustrant de se sentir inutile, surtout dans ce genre de situation critique...
Que se passerait il s'ils ne faisaient pas assez vite ? S'ils s'étaient fait attraper ? Si elle perdait trop de sang ? Si elle en venait à mourir ? Tant de "si", de question à poser, mais une seule réponse pour toutes ; patienter.
J'étais assis à côté de son lit, sur une chaise, quand je pris mon talkie walkie, et parlait dedans.
-..Allo ?
-Ouais ?
-Vous êtes où, magnez vous !
-On arrive, no stress !
Au même moment, la porte s'ouvrit. Je bondis de ma chaise, m'attendant à voir Edouard et Paul, mais pas vraiment...
- ... Oh mon Dieu
-
Nous courions depuis depuis quelques minutes dans les escaliers (ascenseur occupé ), jusqu'à arriver au 3ème étage où nous fonçâmes jusqu'à la chambre 42, matos en main. Edouard ouvrit la porte, et nous pénétrâmes dans la chambre, peuplée de Xavier, Cécile et...
-Tonton ?
-Xavier ?
"Tonton" ? WTF ????
Les deux tombèrent l'un dans les bras de l'autre, Xavier pleurai à chaudes larmes, je m'attendais à tout sauf à ça ?
Je me retrouvai à nouveau dans cette chambre où j'avais comaté deux mois, avec la personne que j'étais revenu tuer, l'homme qui m'avait foutu en hôpital psychiatrique, le docteur Ferrarpasser, qui était en fait l'oncle de Xavier, WATZEUFEUK ?
-Attendez attendez, c'est quoi ce fuck, vous êtes de la même famille tous les deux ?
-Oh Paul, je te prése...
-Inutile de faire les présentations, je connais très bien ce type...
-Comment ça ?
-Il a raison Xavier... Disons que, hum, Paul et moi avons eu quelque affaire à régler, quelques semaines auparavant...
-Vous vous foutez de ma gueule ? Vous m'avez balancé en hôpital psychiatrique, enfoiré ! (
-Je n'ai fait que mon métier.
-Glandu d'première, c'est ça ?
-Woh, on se calme !
Xavier nous avait coupé net dans notre discussion.
-Faut d'abord s'occuper de Cécile, vous vous engueulerez après, ok ?
-Cécile ?
-Attends, j'ai rapporté le matos c'est Edouard qui... Où il est ce con encore ?
-
Un fauteuil roulant !!!!
La plus belle invention de l'homme après la barbe à papa et le pop corn
Un véritable bolide, un pilote d'exception (moi ), des couloirs immenses, que demander d'plus ?
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