OMG_J__ai_tue_ma_grand-mere_!!!_-_Saison_II
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 44
Cécile
Publié le 19/08/13 à 01:19:41 par Pseudo supprimé
OMG J'ai tué ma grand-mère !!!
Chapitre XLIV)
Pffff...
Il était 21H, je me levais, j'étais totalement nue. J'enfilai un débardeur, une culotte, attachai mes cheveux et allai voir Papa.
-Enfin...
-Désolée.
-Ferme ta gueule, et fais moi un sandwich.
-D'accord.
J'allai dans la cuisine quand mon père me mit une tape sur les fesses, en riant. J'avais l'habitude, et je m'en fichai à présent. Je rentrai dans la cuisine me mis face au plan de travail, dos à la porte, et commençai à faire un café à mon père. Il était pas très grand, un petit mètre 65, assez large, plutôt gras, les cheveux dégarnis sur le crane, quasiment chauve. Ses grands yeux noirs corbeaux, aussi sombre que son coeur, me fixaient toujours avec envie et son sourire était carrément effrayant.
Alors que je lui faisais son café, il arriva sans prévenir dans la pièce, commença à passer ses mains autour de ma taille, sous mon débardeur, et à me peloter les seins. Il s'en donnait à coeur joie, redescendant une main jusqu'à mes fesses, me les caressant, tout en me palpant le sein gauche.
Il repassa ses mains autour de ma taille, me baissant ma culotte et commençant à me pénétrer, sans préservatif, m'embrassant comme un sauvage.
Ses viols sur moi avaient commencé il y a 2 ans, quand ma mère est morte...
Ils le faisaient juste de temps en temps, quand il était bourré, puis ça a commencé à devenir de plus en fréquent, à un point où c'est tous les matins et tous les soirs désormais, il me tripotait quand l'envie lui en prenait, me forçant même à prendre ses douches avec lui des fois.
Ma vie était un enfer, mais je m'en accommodais, après tout, sans lui, je serais à la rue, et j'avais pas trop envie de finir dans une famille de merde.. J'étais bien ici, puis j'avais fini par m'y habituer, à un point où j'en prenais presque du plaisir.
Une fois qu'il eût finit, il me parla :
-Ah t'aimes ça cochonne hein hahaha. :
-...Oui..
-Salope va. On déménagé, mon ancien patron a accepté de me reprendre, on part ce soir vers le nord de Paris. T'en fais pas, on s'arrêtera à Vergenfeu pour dormir un peu :
-Super
Je vais préparer ma valise.
-C'est ça, et traine pas, ou tes fesses vont s'en souvenir !
-
-Ah au fait attends.
-J'ai reçu les résultats de tes analyse ce matin, tu m'excuseras j'ai ouvert hein, t'es enceinte.
-Ok
Mon père avait gardé ma culotte, la reniflant en se touchant la queue... Il me dégoûtait...
Mais bon, comme je l'ai dit, j'avais l'habitude à force
Malgré l'annonce de ma grossesse qu'il venait de me faire, je m'en fichais complètement.
Je préparai ma valise à la va vite, je n'avais pas beaucoup de fringues, uniquement 3 débardeur, 3 T-shirt larges qui m'arrivaient à aux hanches, 3 mini short qui m'arrivaient 15 ou 20 centimètres en dessous de la hanche, un poncho péruvien pour l'hiver et la pluie, ainsi que des collants et des culottes/soutien-gorge.
En 3 minutes, tout était prêt, à quoi bon avoir des tonnes de fringues, je n'allais plus à l'école depuis 6 mois, mais je voyais toujours quelques amis de l'école que j'avais gardé, uniquement pour faire l'amour avec eux.
Je descendit en bas de l'immeuble, en T-shirt long et en mini-short, chargeant ma valise et celle de mon père. L'appartement ne nous appartenait pas, les meubles non plus, tout fût prêt assez vite, 15 minutes après qu'il m'ait annoncé le départ, nous étions partis.
Le voyage fût comme tous les trajets en voiture, mon père qui conduisait d'une main, me tripotant de l'autre, m'ordonnant même de lui faire une pipe de temps à autres...
Nous arrivâmes à Vergenfeu vers 1H, mon père était déjà fatigué, il avait passé la nuit dernière à picoler et à me violer, sans dormir, je le comprenais un peu.
Nous nous arrêtâmes donc, comme d'habitude, à Vergenfeu, allant dormir chez des amis de papa, dans un barre à putes, au moins, il serait occupé avec d'autres
J'arrivai, nous prîmes une chambre avec un seul grand lit (bien sûr...), je posai mes affaires, me mit entièrement nue comme à mon habitude, et m'endormit.
Vers 4H du matin, je fus réveillée par des gémissements, les putes en question criaient vraiment fort. Soudain, la porte s'ouvrit, Papa rentra dans la chambre avec un ami à lui.
-Voilà, avec quoi tu peux passer la nuit mon pote !!!
-Oh bah non hey, je tape pas dans les filles d'mes potes moi hein !
J'vous laisse, bonne bourre !
-Mais viens sois pas con, ça sera bien tu vas voir !
-Non merci, vraiment...
Il sorti de la pièce, me laissant entièrement nue avec Papa. Jusque là, je ne lui avais jamais rien dit pour ses viols, mais qu'il propose à un de ses amis de se mettre à deux sur moi, s'en était trop.
Papa s'étira, il était en caleçon. Je me levai, me déhanchai sensuellement, et commençait à l'embrasser, redescendant jusqu'à sa bite, commençant à la lui sucer.
-Oh oui...
Ce gros porc prenait son pied, mais plus pour longtemps. J'ouvrai grand la bouche quand il se mit à bander et lui arracha la bite avec mes dents, d'un coup sec.
Il voulu hurler tombant au sol, mais je lui mis un oreiller sur la bouche, le tabassant à coup de tabouret, lui éclatant le crâne, répandant sa cervelle sur le sol. Je lui enfonçai sa bite dans la narine droite, enfilai une culotte, un t-shirt, des ballerines défoncées, et sortie rapidement par la fenêtre, rejoignant la route et commençant à marcher pour toute la nuit.
J'avais marché pendant 6H, quand j'arrivai dans un village voisin appelé Falusdefair. Il était 10H, je décidai d'aller me cacher dans un verger derrière la mairie pour dormir un peu.
-----
-Pfffff, tu sais c'que t'es, t'es qu'une trainée, ta fille elle sera pareille, regarde moi cette salope comment elle s'habille j'suis sûr qu'elle est déjà plus vierge à 12 ans, pire que toi !
J'entendais mon père et ma mère se disputer, j'avais à peine 12 ans, mon père insultait ma mère de pute, la traitant de salope, disant que j'étais pareille. Et il avait raison
A 12 ans, j'étais déjà nymphomane, et j'avais fait l'amour avec plus de 10 personnes différentes, dont mon professeur de français et ma prof d'anglais au collège.
-Le boss avait vraiment raison, j'ferais mieux d'te buter, tu m'as trompé des dizaines de fois pendant que j'étais parti bosser, salope va !
-Chéri, calme toi, tu...
-Non j'me CALME PAS, tu me donnes pas d'ordres, salope *SBAF*
Papa venait de gifler maman, la faisant tomber par terre, se cognant la tête contre le radiateur.
Mon père la regarda, agoniser dans son sang, en riant.
-Haha, monsieur Kovalsky a toujours de bonnes idées, quel génie celui là, il avait raison, j'me sens déjà mieux.
Il tourna la tête vers moi, remarquant ma présence et comprenant que j'avais assister à toute la scène.
-Bon bah maintenant que j't'ai vu, reste pas plantée là, fous l'corps dans un sac poubelle et nettoie le sang, moi j'vais m'pieuter !
-----
Je ne me réveillai que vers 18H30, cueillant des oranges et me dirigeant vers l'entrée du village en repassant derrière la mairie quand un malade mental qui courrait me rentra dedans...
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Chapitre XLIV)
Pffff...
Il était 21H, je me levais, j'étais totalement nue. J'enfilai un débardeur, une culotte, attachai mes cheveux et allai voir Papa.
-Enfin...
-Désolée.
-Ferme ta gueule, et fais moi un sandwich.
-D'accord.
J'allai dans la cuisine quand mon père me mit une tape sur les fesses, en riant. J'avais l'habitude, et je m'en fichai à présent. Je rentrai dans la cuisine me mis face au plan de travail, dos à la porte, et commençai à faire un café à mon père. Il était pas très grand, un petit mètre 65, assez large, plutôt gras, les cheveux dégarnis sur le crane, quasiment chauve. Ses grands yeux noirs corbeaux, aussi sombre que son coeur, me fixaient toujours avec envie et son sourire était carrément effrayant.
Alors que je lui faisais son café, il arriva sans prévenir dans la pièce, commença à passer ses mains autour de ma taille, sous mon débardeur, et à me peloter les seins. Il s'en donnait à coeur joie, redescendant une main jusqu'à mes fesses, me les caressant, tout en me palpant le sein gauche.
Il repassa ses mains autour de ma taille, me baissant ma culotte et commençant à me pénétrer, sans préservatif, m'embrassant comme un sauvage.
Ses viols sur moi avaient commencé il y a 2 ans, quand ma mère est morte...
Ils le faisaient juste de temps en temps, quand il était bourré, puis ça a commencé à devenir de plus en fréquent, à un point où c'est tous les matins et tous les soirs désormais, il me tripotait quand l'envie lui en prenait, me forçant même à prendre ses douches avec lui des fois.
Ma vie était un enfer, mais je m'en accommodais, après tout, sans lui, je serais à la rue, et j'avais pas trop envie de finir dans une famille de merde.. J'étais bien ici, puis j'avais fini par m'y habituer, à un point où j'en prenais presque du plaisir.
Une fois qu'il eût finit, il me parla :
-Ah t'aimes ça cochonne hein hahaha. :
-...Oui..
-Salope va. On déménagé, mon ancien patron a accepté de me reprendre, on part ce soir vers le nord de Paris. T'en fais pas, on s'arrêtera à Vergenfeu pour dormir un peu :
-Super
Je vais préparer ma valise.
-C'est ça, et traine pas, ou tes fesses vont s'en souvenir !
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-Ah au fait attends.
-J'ai reçu les résultats de tes analyse ce matin, tu m'excuseras j'ai ouvert hein, t'es enceinte.
-Ok
Mon père avait gardé ma culotte, la reniflant en se touchant la queue... Il me dégoûtait...
Mais bon, comme je l'ai dit, j'avais l'habitude à force
Malgré l'annonce de ma grossesse qu'il venait de me faire, je m'en fichais complètement.
Je préparai ma valise à la va vite, je n'avais pas beaucoup de fringues, uniquement 3 débardeur, 3 T-shirt larges qui m'arrivaient à aux hanches, 3 mini short qui m'arrivaient 15 ou 20 centimètres en dessous de la hanche, un poncho péruvien pour l'hiver et la pluie, ainsi que des collants et des culottes/soutien-gorge.
En 3 minutes, tout était prêt, à quoi bon avoir des tonnes de fringues, je n'allais plus à l'école depuis 6 mois, mais je voyais toujours quelques amis de l'école que j'avais gardé, uniquement pour faire l'amour avec eux.
Je descendit en bas de l'immeuble, en T-shirt long et en mini-short, chargeant ma valise et celle de mon père. L'appartement ne nous appartenait pas, les meubles non plus, tout fût prêt assez vite, 15 minutes après qu'il m'ait annoncé le départ, nous étions partis.
Le voyage fût comme tous les trajets en voiture, mon père qui conduisait d'une main, me tripotant de l'autre, m'ordonnant même de lui faire une pipe de temps à autres...
Nous arrivâmes à Vergenfeu vers 1H, mon père était déjà fatigué, il avait passé la nuit dernière à picoler et à me violer, sans dormir, je le comprenais un peu.
Nous nous arrêtâmes donc, comme d'habitude, à Vergenfeu, allant dormir chez des amis de papa, dans un barre à putes, au moins, il serait occupé avec d'autres
J'arrivai, nous prîmes une chambre avec un seul grand lit (bien sûr...), je posai mes affaires, me mit entièrement nue comme à mon habitude, et m'endormit.
Vers 4H du matin, je fus réveillée par des gémissements, les putes en question criaient vraiment fort. Soudain, la porte s'ouvrit, Papa rentra dans la chambre avec un ami à lui.
-Voilà, avec quoi tu peux passer la nuit mon pote !!!
-Oh bah non hey, je tape pas dans les filles d'mes potes moi hein !
J'vous laisse, bonne bourre !
-Mais viens sois pas con, ça sera bien tu vas voir !
-Non merci, vraiment...
Il sorti de la pièce, me laissant entièrement nue avec Papa. Jusque là, je ne lui avais jamais rien dit pour ses viols, mais qu'il propose à un de ses amis de se mettre à deux sur moi, s'en était trop.
Papa s'étira, il était en caleçon. Je me levai, me déhanchai sensuellement, et commençait à l'embrasser, redescendant jusqu'à sa bite, commençant à la lui sucer.
-Oh oui...
Ce gros porc prenait son pied, mais plus pour longtemps. J'ouvrai grand la bouche quand il se mit à bander et lui arracha la bite avec mes dents, d'un coup sec.
Il voulu hurler tombant au sol, mais je lui mis un oreiller sur la bouche, le tabassant à coup de tabouret, lui éclatant le crâne, répandant sa cervelle sur le sol. Je lui enfonçai sa bite dans la narine droite, enfilai une culotte, un t-shirt, des ballerines défoncées, et sortie rapidement par la fenêtre, rejoignant la route et commençant à marcher pour toute la nuit.
J'avais marché pendant 6H, quand j'arrivai dans un village voisin appelé Falusdefair. Il était 10H, je décidai d'aller me cacher dans un verger derrière la mairie pour dormir un peu.
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-Pfffff, tu sais c'que t'es, t'es qu'une trainée, ta fille elle sera pareille, regarde moi cette salope comment elle s'habille j'suis sûr qu'elle est déjà plus vierge à 12 ans, pire que toi !
J'entendais mon père et ma mère se disputer, j'avais à peine 12 ans, mon père insultait ma mère de pute, la traitant de salope, disant que j'étais pareille. Et il avait raison
A 12 ans, j'étais déjà nymphomane, et j'avais fait l'amour avec plus de 10 personnes différentes, dont mon professeur de français et ma prof d'anglais au collège.
-Le boss avait vraiment raison, j'ferais mieux d'te buter, tu m'as trompé des dizaines de fois pendant que j'étais parti bosser, salope va !
-Chéri, calme toi, tu...
-Non j'me CALME PAS, tu me donnes pas d'ordres, salope *SBAF*
Papa venait de gifler maman, la faisant tomber par terre, se cognant la tête contre le radiateur.
Mon père la regarda, agoniser dans son sang, en riant.
-Haha, monsieur Kovalsky a toujours de bonnes idées, quel génie celui là, il avait raison, j'me sens déjà mieux.
Il tourna la tête vers moi, remarquant ma présence et comprenant que j'avais assister à toute la scène.
-Bon bah maintenant que j't'ai vu, reste pas plantée là, fous l'corps dans un sac poubelle et nettoie le sang, moi j'vais m'pieuter !
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Je ne me réveillai que vers 18H30, cueillant des oranges et me dirigeant vers l'entrée du village en repassant derrière la mairie quand un malade mental qui courrait me rentra dedans...
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