Guardian_Destiny,_l__Ascension_des_deux_dragons.
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 1
Un simple héros
Publié le 19/08/13 à 01:16:28 par Pseudo supprimé
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Une nuit noire, pas totalement, des étoiles et les lampadaires de la ville permettaient de voir une jeune fille âgée de 17 ans, habillée d’une jupe blanche, d’un haut rose et d’une petite veste en jean, en train de courir, effrayée, suivie de cinq hommes d’âge avancé, qui la poursuivaient, un sourire sadique aux lèvres. Les cheveux blonds de la jeune fille, voltigeaient dans tous les sens et ses yeux bruns regardaient souvent en arrière. Hélène, de son prénom, avait peur. Quelle erreur elle avait fait ! Suite à une visite chez une amie après les cours, elle avait décidé de rentrer à pied. Elle s’était perdue et avait demandé son chemin à un groupe d’hommes. Suite à leurs regards, elle avait commencé à courir et maintenant, ils la pourchassaient. Si seulement, comme dans les rumeurs urbaines, il pouvait apparaître un gardien.
Nuit noire, à peu près. Il aimait les nuits-là ! Pas un bruit dans le quartier, pas un chat dehors. Quelle poisse ! Il n’avait vraiment pas de veine pour sa première nuit de garde, ou plutôt, nuit de recherche. Car oui, il recherchait quelque chose : les criminels, ces personnes qu’il faillait arrêter pour le bien-être d’autrui. Le jeune homme regarda comment il était habillé pour vérifier que ne laisser transpirer sa véritable identité. Large pull gris foncé à capuche qui laissaient paraître quelques courts cheveux noirs et d’un jogging bleu foncé. Il mit sa capuche sur le visage de telle façon à cacher ses yeux. Aujourd’hui, il allait aider une personne dans le besoin malgré la mauvaise réputation de ceux qui faisaient comme lui, ou plutôt qui agissaient comme lui, car il ne voulait pas faire parti des leurs. Car la population avait peur de ce droit de vie ou de mort sur tout criminel pris sur le fait. Ce droit accordé aux gardiens.
Tourne à gauche puis à droite puis retourne à gauche et encore à droite. Merde ! Un cul-de-sac ! Elle était dans de beaux draps. Dos au mur, elle vit ses poursuivants arriver, sourire au coin. Elle ne pouvait plus fuir. Ils lui voulaient du mal ou même son corps, elle en était sûre. Au vue du nombre d’agresseurs, elle ne pourrait se défendre ! Non, elle n’était pas défaitiste… Elle se défendrait au péril de sa vie et s’en sortirais. L’un des hommes se dressa face à elle et lui ricana au nez :
??? : _ Alors ma belle ? Fini de courir ?
??? : _ On va pouvoir avoir droit à notre cadeau ? Ah ah ah ah…
Ils s’approchèrent de plus en plus. Une ombre tomba alors entre eux et la jeune fille. Elle se dressa, dos à la demoiselle, imposante, haute et fière. On pouvait distinguer dans la pénombre seulement ses habits : un pull gris foncé à capuche et un jogging bleu foncé.
Ombre (impassible): _ the role of the guardian is to protect the innocent.
??? : _ Qui es-tu ? Et qu’est-ce que tu veux ?
??? (En colère) : _ T’approches pas de la fille ! Elle est à nous !
Ombre (impassible): _ the human being is the property of anyone.
???(Curieux) : _ Qu’est-ce que tu baragouines ?
??? (En colère): _ Dégages !!
Un des hommes fonça sur l’ombre, l’air énervé. L’ombre esquiva facilement et donna un coup de poing du droit qui le fit reculer de plusieurs mètres. L’ombre sortit alors un paquet entouré de tissu violet de sous son pull. Elle enleva délicatement le tissu sous les yeux curieux des autres personnes présentes. Elle en retira un fourreau. Elle tira l’épée, une lame à l’éclat sombre avec une garde verte et rouge. L’ombre ferma les yeux, tout en positionnant l’épée près de son visage, la garde au niveau de son cou et la lame dirigée vers le ciel. Un des hommes profita de ce moment pour se faufiler dans le dos de l’ombre et s’approcher d’Hélène. Sous le coup des évènements, celle-ci s’évanouit, n’entendant qu’une chose dans sa chute :
Ombre: _ the flight of the dragon.
Hélène se réveilla en sursaut. Où était-elle ? Elle observa bien la pièce et remarqua qu’elle était dans sa chambre. Ouf, ce n’était qu’un rêve. Hélène sortit de son lit décida de voir ses parents pour leur raconter son étrange rêve. Elle passa devant son miroir et quelque chose la fit tiquer. Elle était habillée comme dans son rêve. C’est alors qu’elle réalisa : ce n‘était pas un rêve ! Elle avait bien failli se faire…Mais quelqu’un s’était interposé. Et ce quelqu’un était un gardien. Un gardien… Elle alla dans la cuisine et y trouva ses parents.
Père : _ Comment ça va ?
Hélène : _ Bien, pourquoi ?
Mère : _ Hier soir, nous t’avons retrouvé évanouie, devant la porte d’entrée suite à un coup de sonnette.
Père : _ Qu’as-tu fais, hier ?
Hélène : _ Bah, j’ai été au lycée puis après la mère de Marie nous a emmenés chez elles puis je suis…
Hélène s’arrêta et le silence s’imposa.
Père : _ Puis quoi ?
Hélène : _ J’ai rencontré des hommes louches et ils m’ont suivie. J’ai tenté de leur échapper mais ils m’ont retrouvée…
La mère prenait peur pour sa fille.
Mère : _ Est-ce qu’ils ont …?
Hélène : _ Non car une personne est intervenue.
Père : _ Qui ?
Hélène : _ Un gardien.
Les yeux des parents de la jeune fille furent exorbités. Les gardiens étaient redoutés dans la population. Des hommes et des femmes, puissants maîtres d’armes avec des techniques secrètes appelées « arcanes ». Peu révélaient leurs véritables identités car ceux qui le faisaient étaient considérés, soit comme des monstres, soit comme des idoles. Cela dépendait à quel clan de gardien, il ou elle appartenait. Par exemple, les membres du clan des « Anges » créaient des émeutes à chacune de leurs apparitions pas comme les membres des « Zombies » qui étaient craints car ils tuaient toute personne se frottant à eux. On reconnaissait facilement à quel clan appartenant un gardien de par l’emblème qu’il arborait.
Père : _ As-tu vu un symbole ?
Le père en tremblotait
Hélène : _ Non. J’ai rien vu. Il faut dire qu’il était de dos. Mais s’il m’a porté jusqu’à la maison, c’est qu’il doit être gentil…
Mère : _ On n’en sait rien. Dorénavant tu rentres à la maison avant la nuit.
Hélène : _ Mais…
Père : _ Pas de « mais », c’est pour ton bien.
Hélène : _ Pff… d’accord.
Mère : _ Allez, ouste. Je dois parler à ton père.
Hélène partit dans sa chambre maugréant contre ses parents. Elle allait bientôt plus pouvoir sortir de chez elle à ce train là. Elle décida de prendre une bonne douche pour se calmer. Elle enleva sa veste et vérifia qu’elle n’avait rien oublié dedans. Son portable, son portefeuille, un bout de papier…un bout de papier ? Elle le sortit et vit qu’il était plié en quatre. Elle le déplia et lu :
Sorry for not being able to talk to you but I could not do otherwise. If you fear for the lives of my opponents know they are in prison. My philosophy of life is that I can't kill a person. And that person is away.
With the thought of a true guardian.
Black Dragon
Qui était donc ce mystérieux gardien ? Déjà elle savait qu’il ne tuait point et ça c’était une bonne nouvelle. Elle n’avait plus qu’à espérer le recroiser dans de meilleures circonstances.
Une nuit noire, pas totalement, des étoiles et les lampadaires de la ville permettaient de voir une jeune fille âgée de 17 ans, habillée d’une jupe blanche, d’un haut rose et d’une petite veste en jean, en train de courir, effrayée, suivie de cinq hommes d’âge avancé, qui la poursuivaient, un sourire sadique aux lèvres. Les cheveux blonds de la jeune fille, voltigeaient dans tous les sens et ses yeux bruns regardaient souvent en arrière. Hélène, de son prénom, avait peur. Quelle erreur elle avait fait ! Suite à une visite chez une amie après les cours, elle avait décidé de rentrer à pied. Elle s’était perdue et avait demandé son chemin à un groupe d’hommes. Suite à leurs regards, elle avait commencé à courir et maintenant, ils la pourchassaient. Si seulement, comme dans les rumeurs urbaines, il pouvait apparaître un gardien.
Nuit noire, à peu près. Il aimait les nuits-là ! Pas un bruit dans le quartier, pas un chat dehors. Quelle poisse ! Il n’avait vraiment pas de veine pour sa première nuit de garde, ou plutôt, nuit de recherche. Car oui, il recherchait quelque chose : les criminels, ces personnes qu’il faillait arrêter pour le bien-être d’autrui. Le jeune homme regarda comment il était habillé pour vérifier que ne laisser transpirer sa véritable identité. Large pull gris foncé à capuche qui laissaient paraître quelques courts cheveux noirs et d’un jogging bleu foncé. Il mit sa capuche sur le visage de telle façon à cacher ses yeux. Aujourd’hui, il allait aider une personne dans le besoin malgré la mauvaise réputation de ceux qui faisaient comme lui, ou plutôt qui agissaient comme lui, car il ne voulait pas faire parti des leurs. Car la population avait peur de ce droit de vie ou de mort sur tout criminel pris sur le fait. Ce droit accordé aux gardiens.
Tourne à gauche puis à droite puis retourne à gauche et encore à droite. Merde ! Un cul-de-sac ! Elle était dans de beaux draps. Dos au mur, elle vit ses poursuivants arriver, sourire au coin. Elle ne pouvait plus fuir. Ils lui voulaient du mal ou même son corps, elle en était sûre. Au vue du nombre d’agresseurs, elle ne pourrait se défendre ! Non, elle n’était pas défaitiste… Elle se défendrait au péril de sa vie et s’en sortirais. L’un des hommes se dressa face à elle et lui ricana au nez :
??? : _ Alors ma belle ? Fini de courir ?
??? : _ On va pouvoir avoir droit à notre cadeau ? Ah ah ah ah…
Ils s’approchèrent de plus en plus. Une ombre tomba alors entre eux et la jeune fille. Elle se dressa, dos à la demoiselle, imposante, haute et fière. On pouvait distinguer dans la pénombre seulement ses habits : un pull gris foncé à capuche et un jogging bleu foncé.
Ombre (impassible): _ the role of the guardian is to protect the innocent.
??? : _ Qui es-tu ? Et qu’est-ce que tu veux ?
??? (En colère) : _ T’approches pas de la fille ! Elle est à nous !
Ombre (impassible): _ the human being is the property of anyone.
???(Curieux) : _ Qu’est-ce que tu baragouines ?
??? (En colère): _ Dégages !!
Un des hommes fonça sur l’ombre, l’air énervé. L’ombre esquiva facilement et donna un coup de poing du droit qui le fit reculer de plusieurs mètres. L’ombre sortit alors un paquet entouré de tissu violet de sous son pull. Elle enleva délicatement le tissu sous les yeux curieux des autres personnes présentes. Elle en retira un fourreau. Elle tira l’épée, une lame à l’éclat sombre avec une garde verte et rouge. L’ombre ferma les yeux, tout en positionnant l’épée près de son visage, la garde au niveau de son cou et la lame dirigée vers le ciel. Un des hommes profita de ce moment pour se faufiler dans le dos de l’ombre et s’approcher d’Hélène. Sous le coup des évènements, celle-ci s’évanouit, n’entendant qu’une chose dans sa chute :
Ombre: _ the flight of the dragon.
Hélène se réveilla en sursaut. Où était-elle ? Elle observa bien la pièce et remarqua qu’elle était dans sa chambre. Ouf, ce n’était qu’un rêve. Hélène sortit de son lit décida de voir ses parents pour leur raconter son étrange rêve. Elle passa devant son miroir et quelque chose la fit tiquer. Elle était habillée comme dans son rêve. C’est alors qu’elle réalisa : ce n‘était pas un rêve ! Elle avait bien failli se faire…Mais quelqu’un s’était interposé. Et ce quelqu’un était un gardien. Un gardien… Elle alla dans la cuisine et y trouva ses parents.
Père : _ Comment ça va ?
Hélène : _ Bien, pourquoi ?
Mère : _ Hier soir, nous t’avons retrouvé évanouie, devant la porte d’entrée suite à un coup de sonnette.
Père : _ Qu’as-tu fais, hier ?
Hélène : _ Bah, j’ai été au lycée puis après la mère de Marie nous a emmenés chez elles puis je suis…
Hélène s’arrêta et le silence s’imposa.
Père : _ Puis quoi ?
Hélène : _ J’ai rencontré des hommes louches et ils m’ont suivie. J’ai tenté de leur échapper mais ils m’ont retrouvée…
La mère prenait peur pour sa fille.
Mère : _ Est-ce qu’ils ont …?
Hélène : _ Non car une personne est intervenue.
Père : _ Qui ?
Hélène : _ Un gardien.
Les yeux des parents de la jeune fille furent exorbités. Les gardiens étaient redoutés dans la population. Des hommes et des femmes, puissants maîtres d’armes avec des techniques secrètes appelées « arcanes ». Peu révélaient leurs véritables identités car ceux qui le faisaient étaient considérés, soit comme des monstres, soit comme des idoles. Cela dépendait à quel clan de gardien, il ou elle appartenait. Par exemple, les membres du clan des « Anges » créaient des émeutes à chacune de leurs apparitions pas comme les membres des « Zombies » qui étaient craints car ils tuaient toute personne se frottant à eux. On reconnaissait facilement à quel clan appartenant un gardien de par l’emblème qu’il arborait.
Père : _ As-tu vu un symbole ?
Le père en tremblotait
Hélène : _ Non. J’ai rien vu. Il faut dire qu’il était de dos. Mais s’il m’a porté jusqu’à la maison, c’est qu’il doit être gentil…
Mère : _ On n’en sait rien. Dorénavant tu rentres à la maison avant la nuit.
Hélène : _ Mais…
Père : _ Pas de « mais », c’est pour ton bien.
Hélène : _ Pff… d’accord.
Mère : _ Allez, ouste. Je dois parler à ton père.
Hélène partit dans sa chambre maugréant contre ses parents. Elle allait bientôt plus pouvoir sortir de chez elle à ce train là. Elle décida de prendre une bonne douche pour se calmer. Elle enleva sa veste et vérifia qu’elle n’avait rien oublié dedans. Son portable, son portefeuille, un bout de papier…un bout de papier ? Elle le sortit et vit qu’il était plié en quatre. Elle le déplia et lu :
Sorry for not being able to talk to you but I could not do otherwise. If you fear for the lives of my opponents know they are in prison. My philosophy of life is that I can't kill a person. And that person is away.
With the thought of a true guardian.
Black Dragon
Qui était donc ce mystérieux gardien ? Déjà elle savait qu’il ne tuait point et ça c’était une bonne nouvelle. Elle n’avait plus qu’à espérer le recroiser dans de meilleures circonstances.
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