Virus H1N1
Par : Thewakeup2
Genre : Action
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 3
Publié le 28/04/09 à 15:55:00 par Thewakeup2
Rapport du mercredi 6 mai 2009
Partie 1
C'est officiel le niveau 5 d'alerte de l'OMS a été décrété. Autrement dit, la pandémie est imminante et le virus en question possède des foyers dans plus de deux régions différentes. Le nombre de malade a doublé en l'espace d'un jour. Nous en sommes désormais à environ 170 000 cas selon les derniers rapports de l'OMS. Nous avons vu l'armée débouler dans le centre ville, qui à fait du porte à porte pour nous rappeler les consignes de sécurité et nous distribuer quelques ustensiles de base pour la survie au cas ou une éventuelle épidément se déclancherais. Il n'y avait plus de programme télévisés, juste des reportages nuit et jour aux quatre coins de la planète pour nous dégoter les toutes dernières infos sur la maladie. Et la psychose, car oui ce mot était à présent utilisable avait redoublé depuis l'annonce ce matin de la contamination du premier ministre espagnol.
Cela fait àprésent deux jours que je loge chez mon ami Arthur en compagnie de deux autres potes, Eloise et Hugo. Le gouvernement a décidé de fermer écoles, lycées et fac dans la nuit de dimanche à lundi. Mes parents, que j'ai eu au téléphone hier soir m'ont recommandés de bouger le moins possible. Et étant donné que les parents d'Arthur s'étaient payés un petit week end de trois jours, nous avons la maison pour... nous tout seul
Je vous raconte pas le kif au tout début
Mais voilà, ce midi Arthur m'a fait prendre connaissance d'une réalité autrement moins sympatique.
On se faisait un petit COD4 dans sa méga grotte ( ) et il à lancé un "J'ai la dalle." C'était de même pour moi. Il devait être 13h. Dans un élan de générosité assez incroyable ( ), je suis descendu histoire de nous faire chauffer une pizza. Sauf que là, /error404notfound/. Le congélateur ? Vide. Le frigo ? Vide. Les étagères ? Vides. Sortir était devenu inévitable. On était tous au courant de la dangerosité du virus, mais on savait tout aussi bien que manger était indispensable. La sortie en ville était alors devenu inévitable...
Partie 1
C'est officiel le niveau 5 d'alerte de l'OMS a été décrété. Autrement dit, la pandémie est imminante et le virus en question possède des foyers dans plus de deux régions différentes. Le nombre de malade a doublé en l'espace d'un jour. Nous en sommes désormais à environ 170 000 cas selon les derniers rapports de l'OMS. Nous avons vu l'armée débouler dans le centre ville, qui à fait du porte à porte pour nous rappeler les consignes de sécurité et nous distribuer quelques ustensiles de base pour la survie au cas ou une éventuelle épidément se déclancherais. Il n'y avait plus de programme télévisés, juste des reportages nuit et jour aux quatre coins de la planète pour nous dégoter les toutes dernières infos sur la maladie. Et la psychose, car oui ce mot était à présent utilisable avait redoublé depuis l'annonce ce matin de la contamination du premier ministre espagnol.
Cela fait àprésent deux jours que je loge chez mon ami Arthur en compagnie de deux autres potes, Eloise et Hugo. Le gouvernement a décidé de fermer écoles, lycées et fac dans la nuit de dimanche à lundi. Mes parents, que j'ai eu au téléphone hier soir m'ont recommandés de bouger le moins possible. Et étant donné que les parents d'Arthur s'étaient payés un petit week end de trois jours, nous avons la maison pour... nous tout seul
Je vous raconte pas le kif au tout début
Mais voilà, ce midi Arthur m'a fait prendre connaissance d'une réalité autrement moins sympatique.
On se faisait un petit COD4 dans sa méga grotte ( ) et il à lancé un "J'ai la dalle." C'était de même pour moi. Il devait être 13h. Dans un élan de générosité assez incroyable ( ), je suis descendu histoire de nous faire chauffer une pizza. Sauf que là, /error404notfound/. Le congélateur ? Vide. Le frigo ? Vide. Les étagères ? Vides. Sortir était devenu inévitable. On était tous au courant de la dangerosité du virus, mais on savait tout aussi bien que manger était indispensable. La sortie en ville était alors devenu inévitable...
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