Cours_(tres)_particuliers
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 15
Repas « familial »
Publié le 19/08/13 à 01:11:33 par Pseudo supprimé
:mac: Chapitre 15 : Repas « familial » :mac:
L : Euh… Tu crois que c’est prudent de rester là ?
J : Effectivement… Si ma mère rentre, c’est sûr : elle a une attaque !
L : On monte alors ?
Il se relève et me tend la main pour m’aider. Debout dans le salon, nous échangeons un dernier petit baiser avant de quitter la pièce et de gagner la chambre de Jules.
A peine arrivés, Jules me plaque contre la porte de sa chambre et m’embrasse à pleine bouche en montant sur la pointe des pieds… Je dégage ma bouche pour pouvoir lui parler.
L : Arrête Jules, faut vraiment qu’on bosse ton anglais. T’imagines si tu te payes une sale note ? Ta mère voudra plus de moi comme prof !
J : Bon, d’accord on s’y met. Mais dès que c’est terminé…
L : Oui, oui, promis…
Nous nous consacrons donc à relire son exposé. Je me contrôle de toutes mes forces pour ne pas avoir un fou rire sur certains mots qui sont tellement mal prononcés qu’ils deviennent totalement méconnaissables. Mais, globalement, Jules retient bien les sons et mémorise facilement son texte.
Nous ne sommes tout de même pas restés concentrés en permanence non plus et il faut bien avouer que quelques baisers passionnés ont été échangés de temps à autre, mais au final nous avons bien travaillé.
Au moment où il range ses affaires, nous entendons du bruit au rez-de-chaussée.
F : Les garçons ! Je suis rentré !
J : Eh bien, j’espère qu’elle annoncera son retour à chaque fois en criant comme ça… Mais j’veux pas qu’tu partes moi !
L : Ha oui, j’t’ai pas dit mais ta mère m’a invité à manger ce soir donc rien ne presse pour partir…
J : Tu sais qu’j’t'adore quand tu m'annonces une nouvelle comme ça...
Il se lève de sa chaise et vient alors s’asseoir sur mes cuisses en passant ses bras autour de mon cou.
L : Mais t’es fou ou quoi ? Ta mère peut monter !
J : Juste un p’tit bisou et j’te laisse tranquille.
L : Bon d’accord, juste un ! Mais pendant le repas, tu te tiens à carreau !
A peine ai-je prononcé ces mots que sa bouche vient rejoindre la mienne. Mes mains parcourent son dos tandis que les siennes se promènent dans mes cheveux.
Nous descendons finalement au rez-de-chaussée aider sa mère aux préparatifs du dîner. Même si cette famille est très différente de la mienne, je commence à me sentir à l’aise dans cette maison qui n’est pas la mienne (m’être frotté au fils de la famille sur le sol du salon aide peut-être…).
Vers 20 heures, la sonnerie du téléphone retentit et Flora sort de la pièce pour aller décrocher.
Dès qu’elle est sortie, je sens une main me donner une petite tape sur les fesses.
L : Mais t’es fou ? Y a ta mère à côté !
J : Roo, arrête, elle est au téléphone et il faut pas que tu tendes ton petit cul comme ça, parce que je ne pourrai pas résister très longtemps… Tes fesses me lancent des appels depuis un bon quart d’heure pour que je les tripote…
Nous entendons la conversation qui se termine et retournons à nos activités respectives.
F : C’était ton père. Il a un dîner d’affaires ce soir et ne rentrera pas avant tard dans la soirée. Donc nous serons trois.
Je vois que l’information ne semble pas surprendre Jules, ni le décevoir d’ailleurs. Il doit s’agir d’une habitude de son père. Même Flora ne semble pas mécontente, elle continue à préparer le dîner, plus souriante que jamais…
Nous passons finalement à table et, effectivement, la mère de Jules est une très bonne cuisinière. Nous sommes tous trois assis autour de la table, Jules face à moi, Flora à ma droite.
A plusieurs reprises durant le repas, je croise le regard coquin de Jules qui n’hésite pas à passer sa langue sur ses lèvres quand sa mère ne regarde pas. Je lui lance alors de gros yeux auxquels il répond par un haussement de sourcils et d’épaules, pour mieux recommencer quelques minutes plus tard.
Lorsque Flora part chercher le dessert dans la cuisine, je sens le pied de Jules venir toucher ma jambe.
L : Non… Pas maintenant… On pourrait s’faire choper…
J : Mais non, on voit rien sous la table avec la nappe…
Il a à peine le temps de terminer sa phrase que sa mère entre chargée de trois petites assiettes contenant des profiteroles au chocolat.
Elle commence par poser l’assiette de son fils, puis la sienne et s’approche de moi pour me donner mon dessert. Mais en passant près de moi, je sens sa main qui passe sur le haut de mon dos. Plus qu’un simple contact, j’ai l’impression d’une véritable caresse.
Putain mais qu’est-ce qu’elle fait là ?
C’est le moment que choisit Jules pour tendre un peu plus sa jambe et venir remonter son pied sur ma cuisse.
Je me contracte instantanément et les deux personnes dans la pièce le ressentent.
Jules retire précipitamment son pied. Flora enlève sa main. Tous deux pensent que c’est leur geste qui a provoqué ce mouvement involontaire alors que c’est la combinaison des deux qui a été de trop pour moi.
Je prétexte un besoin d’aller aux toilettes et m’éclipse de la pièce sous le regard interrogateur de Jules et sur celui gêné de sa mère.
Je m’enferme dans la salle de bains et m’assoit sur le sol pour faire le point.
Mais qu’est-ce qu’elle me veut sa mère ? C’est juste de l’affection « normale » ? Non… J’en ai pas l’impression… Et si elle continue, comment j’vais faire ? Oh et puis j’peux pas l’dire à mon Jules… J’imagine : « Ha au fait, ta mère, elle me tripote dès qu’elle en a l’occasion… ». Non, je pense qu’il pourrait mal le prendre…
Je souris en imaginant la tête de Jules mais la situation me rend tout de même très mal à l’aise.
Je décide finalement de regagner la salle à manger et y entre en adressant un petit sourire à Jules mais en gardant le visage fermé en direction de Flora pour qu’elle comprenne que je ne partage pas ses envies…
L : Euh… Tu crois que c’est prudent de rester là ?
J : Effectivement… Si ma mère rentre, c’est sûr : elle a une attaque !
L : On monte alors ?
Il se relève et me tend la main pour m’aider. Debout dans le salon, nous échangeons un dernier petit baiser avant de quitter la pièce et de gagner la chambre de Jules.
A peine arrivés, Jules me plaque contre la porte de sa chambre et m’embrasse à pleine bouche en montant sur la pointe des pieds… Je dégage ma bouche pour pouvoir lui parler.
L : Arrête Jules, faut vraiment qu’on bosse ton anglais. T’imagines si tu te payes une sale note ? Ta mère voudra plus de moi comme prof !
J : Bon, d’accord on s’y met. Mais dès que c’est terminé…
L : Oui, oui, promis…
Nous nous consacrons donc à relire son exposé. Je me contrôle de toutes mes forces pour ne pas avoir un fou rire sur certains mots qui sont tellement mal prononcés qu’ils deviennent totalement méconnaissables. Mais, globalement, Jules retient bien les sons et mémorise facilement son texte.
Nous ne sommes tout de même pas restés concentrés en permanence non plus et il faut bien avouer que quelques baisers passionnés ont été échangés de temps à autre, mais au final nous avons bien travaillé.
Au moment où il range ses affaires, nous entendons du bruit au rez-de-chaussée.
F : Les garçons ! Je suis rentré !
J : Eh bien, j’espère qu’elle annoncera son retour à chaque fois en criant comme ça… Mais j’veux pas qu’tu partes moi !
L : Ha oui, j’t’ai pas dit mais ta mère m’a invité à manger ce soir donc rien ne presse pour partir…
J : Tu sais qu’j’t'adore quand tu m'annonces une nouvelle comme ça...
Il se lève de sa chaise et vient alors s’asseoir sur mes cuisses en passant ses bras autour de mon cou.
L : Mais t’es fou ou quoi ? Ta mère peut monter !
J : Juste un p’tit bisou et j’te laisse tranquille.
L : Bon d’accord, juste un ! Mais pendant le repas, tu te tiens à carreau !
A peine ai-je prononcé ces mots que sa bouche vient rejoindre la mienne. Mes mains parcourent son dos tandis que les siennes se promènent dans mes cheveux.
Nous descendons finalement au rez-de-chaussée aider sa mère aux préparatifs du dîner. Même si cette famille est très différente de la mienne, je commence à me sentir à l’aise dans cette maison qui n’est pas la mienne (m’être frotté au fils de la famille sur le sol du salon aide peut-être…).
Vers 20 heures, la sonnerie du téléphone retentit et Flora sort de la pièce pour aller décrocher.
Dès qu’elle est sortie, je sens une main me donner une petite tape sur les fesses.
L : Mais t’es fou ? Y a ta mère à côté !
J : Roo, arrête, elle est au téléphone et il faut pas que tu tendes ton petit cul comme ça, parce que je ne pourrai pas résister très longtemps… Tes fesses me lancent des appels depuis un bon quart d’heure pour que je les tripote…
Nous entendons la conversation qui se termine et retournons à nos activités respectives.
F : C’était ton père. Il a un dîner d’affaires ce soir et ne rentrera pas avant tard dans la soirée. Donc nous serons trois.
Je vois que l’information ne semble pas surprendre Jules, ni le décevoir d’ailleurs. Il doit s’agir d’une habitude de son père. Même Flora ne semble pas mécontente, elle continue à préparer le dîner, plus souriante que jamais…
Nous passons finalement à table et, effectivement, la mère de Jules est une très bonne cuisinière. Nous sommes tous trois assis autour de la table, Jules face à moi, Flora à ma droite.
A plusieurs reprises durant le repas, je croise le regard coquin de Jules qui n’hésite pas à passer sa langue sur ses lèvres quand sa mère ne regarde pas. Je lui lance alors de gros yeux auxquels il répond par un haussement de sourcils et d’épaules, pour mieux recommencer quelques minutes plus tard.
Lorsque Flora part chercher le dessert dans la cuisine, je sens le pied de Jules venir toucher ma jambe.
L : Non… Pas maintenant… On pourrait s’faire choper…
J : Mais non, on voit rien sous la table avec la nappe…
Il a à peine le temps de terminer sa phrase que sa mère entre chargée de trois petites assiettes contenant des profiteroles au chocolat.
Elle commence par poser l’assiette de son fils, puis la sienne et s’approche de moi pour me donner mon dessert. Mais en passant près de moi, je sens sa main qui passe sur le haut de mon dos. Plus qu’un simple contact, j’ai l’impression d’une véritable caresse.
Putain mais qu’est-ce qu’elle fait là ?
C’est le moment que choisit Jules pour tendre un peu plus sa jambe et venir remonter son pied sur ma cuisse.
Je me contracte instantanément et les deux personnes dans la pièce le ressentent.
Jules retire précipitamment son pied. Flora enlève sa main. Tous deux pensent que c’est leur geste qui a provoqué ce mouvement involontaire alors que c’est la combinaison des deux qui a été de trop pour moi.
Je prétexte un besoin d’aller aux toilettes et m’éclipse de la pièce sous le regard interrogateur de Jules et sur celui gêné de sa mère.
Je m’enferme dans la salle de bains et m’assoit sur le sol pour faire le point.
Mais qu’est-ce qu’elle me veut sa mère ? C’est juste de l’affection « normale » ? Non… J’en ai pas l’impression… Et si elle continue, comment j’vais faire ? Oh et puis j’peux pas l’dire à mon Jules… J’imagine : « Ha au fait, ta mère, elle me tripote dès qu’elle en a l’occasion… ». Non, je pense qu’il pourrait mal le prendre…
Je souris en imaginant la tête de Jules mais la situation me rend tout de même très mal à l’aise.
Je décide finalement de regagner la salle à manger et y entre en adressant un petit sourire à Jules mais en gardant le visage fermé en direction de Flora pour qu’elle comprenne que je ne partage pas ses envies…
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