<h1>Noelfic</h1>

Cours_(tres)_particuliers


Par : Pseudo supprimé

Genre : Inconnu

Status : C'est compliqué

Note :


Chapitre 10

Piscine

Publié le 19/08/13 à 01:11:33 par Pseudo supprimé

:mac: Chapitre 10 : Piscine :mac:



J’arrive à la piscine thermale aux alentours de 14h45.
Ho ben tu vas pas être en retard…
Mais je vois que Jules est déjà là lui aussi. Il se dirige vers moi, tout sourire.

J : Eh ben dis donc, t’es en avance !

L : Tu peux parler : toi aussi !

J : Oui, oui, ma mère m’a déposé en allant faire les courses. Étienne m’a dit qu’il était en chemin et qu'il venait avec Sylvain normalement.

L : Vous êtes tous dans la même classe ?

J : Oui, oui, depuis le début du lycée.

Nous restons quelques minutes à discuter ainsi avant d’être rejoints par Étienne et Sylvain. Les deux garçons sont grands et minces. Et toujours ce style vestimentaire un peu vieillot, « bonne famille »… Mais au final, la petite chemise et le pantalon qui montre bien les formes, ça donne plutôt envie…

Nous payons nos entrées et nous rendons dans les cabines, malheureusement individuelles…

J’entre dans la cabine juste à côté de celle choisie par Jules et me déshabille assez rapidement. Tout d’abord mon pull et mon T-shirt puis j’enlève mes chaussures et mes chaussettes pour pouvoir baisser mon jean. J’entends le bruit des vêtements qui se retirent dans la cabine à ma gauche et ne peux m’empêcher d’imaginer Jules en train de se dévêtir.
Arrête Lucas ! De toute façon, d’ici cinq minutes…
Je suis désormais uniquement vêtu de mon boxer et observe mon torse et mon ventre. Je suis plutôt satisfait par mon apparence physique. Ventre plat, pectoraux bien dessinés grâce à la pratique du volley depuis pas mal d’années maintenant, j’ai un corps qui fait envie et j’en joue un peu parfois dans les vestiaires du club. Je baisse maintenant mon caleçon et observe mon sexe à la toison bien entretenue pendre entre mes jambes. Vu du dessus, la vision est rarement avantageuse mais je sais que je ne suis pas à plaindre de ce côté-là non plus. Dame Nature s’est montrée plutôt généreuse, au grand désarroi de certains de mes partenaires de volley…
J’enfile rapidement mon slip de bain noir et surélève un petit peu mes attributs pour que le paquet formé soit plus à mon avantage.

L : J’suis prêt, t’es déjà sorti ?

J : Non, non, il me reste plus qu’à enfiler mon maillot.
Donc ça veut dire que tu es totalement nu en ce moment à un petit mètre de moi… Juste de l’autre côté de cette fine cloison…

Je sors de ma cabine, dépose mes affaires et attends contre un pilier que mes camarades du jour sortent de leurs cabines respectives.

Sylvain sort le premier. La blancheur de sa peau me choque presque. Il faut dire qu’il a des reflets roux dans les cheveux et que sa peau semble couverte de petites taches de rousseur. Un peu trop maigre par contre. On peut voir distinctement ses côtes et ses bras sont vraiment très fins. Du côté de l’entrejambe, dans son slip noir, rien à signaler… Et c’est bien le problème…
Il est suivi très vite d’Étienne qui est déjà beaucoup plus « intéressant ». Ses cheveux mi-longs bruns lui donnent un air de chanteur de groupe pour midinettes. Du côté de son corps, la marchandise est plutôt appétissante.
Je l’aime de plus en plus celui-là. Ha merde… non… il est hétéro…
Lui a l’air de remplir un peu plus son maillot et a surtout des fesses bien potelées et terriblement tentantes…

C’est enfin au tour de Jules de sortir.
Respire Lucas, respire !
Jules est là, debout devant moi, se passant la main dans ses cheveux blonds… Je détaille son corps sans me soucier du regard des autres. Son torse qui m’a tant tenté quelques jours auparavant, son petit ventre aux abdos apparents et surtout la grande nouveauté du jour : un petit slip de bain Speedo bleu… Une merveille. Sur le devant, un paquet plutôt impressionnant, peut-être dû à sa petite taille et à sa minceur, et, derrière, des fesses moulées à la perfection…
Allez, souffle Lucas avant de t’évanouir…

J’arrive à sortir de mes pensées et précède le groupe jusque sous les douches.
Il vaut mieux que je sois devant parce que si j’avais été juste derrière Jules, je pense que mon maillot n’aurait plus caché grand-chose de mon intimité…

Un très rapide passage sous la douche où je prends un grand plaisir à observer Jules face à moi qui replie ses deux bras contre son torse à cause de la température un peu fraîche de l’eau qui ruisselle sur son corps.

E : Lucas, Sylvain, vous êtes prêts ? Le nain aussi ?

Les deux garçons répondent par l’affirmative et suivent Étienne, déjà parti vers le pédiluve.

Nous arrivons finalement devant le grand bassin et passons dans l’eau assez rapidement.
Nous commençons par enchaîner quelques longueurs en prenant bien soin de discuter régulièrement en bout de ligne.
Alors que je suis en train de nager dans un sens, Jules arrive à ma rencontre et s’amuse à appuyer sur ma tête quand il passe à ma hauteur, alors que je prenais ma respiration pour poursuivre ma longueur.

L : Oh, tu vas voir petit con !

J : Rattrape-moi alors !

Je change aussitôt de direction et me lance à la poursuite de Jules déjà parti en crawl en battant des pieds de toutes ses forces.
Bon nageur et avec mon grand gabarit, je le rattrape assez vite et entreprends de le couler là où j’ai pied mais lui non. Le petit fourbe se débat et ne se laisse pas faire facilement. J’arrive tout de même à le saisir par un bras et à le rapprocher de mon corps. Mais il passe sous mon bras et arrive derrière moi pour s’accrocher à mon cou et me faire basculer en arrière. Je bois la tasse aussitôt mais reste un peu sous l’eau pour m’accrocher à sa jambe et l’entraîner vers le fond. Il perd ainsi son avantage et je peux remonter mes mains le long de son corps pour appuyer sur ses épaules. Au passage, mes doigts frôlent l’avant de son maillot et la peau de son torse.

Nous nous arrêtons quelques instants, le temps de reprendre tous les deux notre souffle.

L : Comment oses-tu essayer de noyer ton prof ?

J : Tu arrives bien à me noyer dans les maths… Il faut bien que je me venge !

Sans me laisser davantage de temps, il se jette à nouveau sur moi et s’agrippe à mes épaules en tentant de pousser vers le fond de tout son poids. Mais il n’a pas compris que, moi, j’ai pied dans la zone où nous sommes et donc qu’en agissant ainsi, son action n’a aucun effet. Je profite de ce face à face inégal pour poser ma main gauche sur son épaule gauche et plonger ma main droite dans l’eau pour venir saisir l’intérieur de sa cuisse gauche et le soulever violemment sur le côté, tout en appuyant de mon autre main vers le bas afin de le faire basculer et qu’il se retrouve la tête en bas.
La prise est imparable et il se retrouve très vite la tête vers le fond du bassin et seuls ses pieds dépassent de la surface de l’eau. Je le maintiens ainsi un très court instant, son corps plaqué contre le mien dans une position bien inconfortable.
Mais il n’a pas dit son dernier mot et arrive à passer entre mes jambes pour s’échapper. Au passage je sens tout son flanc et l’une de ses cuisses venir frotter contre mon sexe et mes fesses lorsqu’il se faufile entre mes jambes.

Il réapparaît finalement hors de l’eau à plus de deux mètres de moi.

J : C’est bon ! T’as gagné ! Je renonce !


Juste après tous ces contacts, Sylvain vient nous dire qu’il a envie de partir et nous passons finalement tous ensemble sous les douches. Je préfère ne pas regarder mes camarades et être tourné vers le mur car je sens bien que c’est très loin de se calmer dans mon slip de bain… L’eau un peu froide arrive cependant à m’apaiser un petit peu et je prends le risque de me tourner pour finir mon passage sous la douche.

E : Au fait, le nain, tu fais quoi pendant les vacances de Pâques ?

Je suis quelque peu gêné par le surnom que lui attribue ses amis. Ça ne doit pas être facile pour lui d’avoir un retard comme celui-là. Mais il rigole avec eux, leur donne des surnoms également d’ailleurs. Bref, il ne semble absolument pas complexé par sa petite taille et son physique encore adolescent. Il faut dire qu’avec sa peau légèrement bronzée, ses muscles saillants et son slip de bain qui lui moule si bien ses belles petites fesses rebondies et son paquet avantageusement disproportionné par rapport à son physique d’ablette, il n’a vraiment pas de quoi se sentir inférieur aux autres.
Je ne peux m’empêcher de le regarder en bavant. J’ai envie de m’approcher de ce petit corps, de me serrer contre lui, de passer mes mains sur son dos, de descendre jusqu’à ses fesses, de repousser l’élastique de son maillot pour pouvoir y glisser mes doigts et malaxer ses deux petites pommes bien fermes et toute douce. Envie de passer ma langue sur son torse imberbe, de prendre entre mes lèvres ses petits tétons qui pointent…
Oh mon petit Jules, tu me fais un effet que tu n’imagines même pas…

E : Allez, le prof, le rouquin et la grosse, on y va ?
Alors « le prof », c’est moi. « Le rouquin », je devine que c’est Sylvain mais « la grosse »… ?

Je me tourne vers Jules et lui dis à voix basse :

L : Mais tu n’es pas gros pourtant…

J : Haha, c’est pas pour ça qu’il m’appelle comme ça.

Et il m’adresse un sourire magistral accompagné d'un petit clin d'œil coquin...

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