Cours_(tres)_particuliers
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 12
Changement de programme
Publié le 19/08/13 à 01:11:33 par Pseudo supprimé
:mac: Chapitre 12 : Changement de programme :mac:
F : Bonjour Lucas. Jules t’attend…
L : … Dans sa chambre je suppose.
F : Oui, oui... Ha, Lucas, je vais chez une amie. Je serai rentré d’ici deux heures, mais si tu pars avant, j’ai laissé de l’argent sur la table de la cuisine.
L : D’accord. Je ne sais pas pour combien de temps on en aura.
Je monte ensuite les escaliers et remarque que Flora me suit du regard durant toute la montée. Je disparais ensuite de sa vision et m’avance vers la porte de Jules.
L : Salut !
J : Salut Lucas. Elle est partie ?
L : Comment ça ?
J : Ben, ma mère, elle est partie ?
L : Elle était sur le point d’le faire quand j’suis arrivé…
J : Cool ! Attends, j’vérifie…
Il se lève et se penche par-dessus son bureau pour pouvoir observer la rue par la fenêtre. Ainsi, son T-shirt se soulève, me laissant voir la peau dorée du bas de son dos et le haut de son boxer noir.
Hmm… Vas-y… Penche-toi plus… Roo et c’est pas permis d’avoir une paire de fesses comme ça…
J : Elle ouvre la grille… Elle la referme… Ça y est, elle est partie ! On est peinards !
L : Oh, arrête, t’exagères ! Ta mère, elle vient même pas nous déranger pendant qu’on bosse…
J : Oui mais là, c’est pas l’programme…
Il me lance un grand sourire et sort de sa chambre à toute vitesse en me faisant signe de le suivre…
Je le retrouve dans le salon, près de l’unique télévision de la maison.
J : Écoute, ma mère ne me laisse pour ainsi dire jamais tout seul ici. Même quand elle va faire les courses, elle m’y traîne… Et comme elle bosse pas, elle est TOUJOURS là ! J’en peux plus ! Je ne suis jamais tout seul donc là je veux en profiter…
Ouhlà ! Tu m’intéresses de plus en plus là !
L : Euh… Et ton anglais ?
J : Ben, tu as dit que les films en version originale c’était bien non ?
L : J’vois pas l’rapport…
J : Étienne m’a filé Inception en DVD. On s’le mate ? In English of course!
L : Il est déjà sorti ?
J : Non, non, pas encore, mais Étienne pirate pas mal de films et il m’a pris celui-là exprès pour améliorer mon anglais.
L : Et pourquoi tu l’regardes pas quand elle est là ?
J : Tu penses… Je l'entends encore me dire : « La télé est un objet néfaste qui pervertit la pensée des jeunes gens… ». J’ai juste droit aux infos de temps en temps… Et à la météo les jours de fête !
L : Ha oui quand même…
J : Donc voilà. Elle te fait confiance donc te laisse seul avec moi en s’disant que t’es bien trop sérieux pour m’laisser me distraire. Et elle a tort ! Hein ?
L : …
J : Allez !!! S’il-te-plaît ! S’il-te-plaît ! Et si je me mets à genoux, tu dis oui ?
Oh putain Jules, si tu te mets à genoux, je ne réponds plus de rien…
L : Bon, allez, c’est bon. Mais on n’en regarde qu’un p’tit bout parce que ta mère sera de retour d’ici… 1h45 et le film dure sûrement bien plus.
J : Ca marche ! On regardera la suite la prochaine fois !
Il se jette sur le lecteur DVD, y insère le disque et lance la lecture.
Il s’installe ensuite sur le canapé et tapote la place juste à côté de lui pour que je m’y assoie.
C’est une invitation ?
Une heure plus tard, nos corps ne sont séparés que de quelques centimètres et je ne peux m’empêcher de jeter des coups d’œil réguliers sur ma droite, dans sa direction. Observer sa moue songeuse quand il réfléchit intérieurement, ses mains qui se crispent sur ses cuisses de temps à autre, sa chemise qui se soulève au rythme de sa respiration… et aussi la bosse que forme son pantalon quand il change de position…
Il décide alors de poser ses pieds sur un pouf situé à sa droite. En se mettant ainsi, son épaule vient s’appuyer contre le haut de mon bras.
J : Ça te dérange pas ?
Comment est-ce que ça pourrait me déranger ???
L : Non, non, vas-y.
Cet instant de complicité ne dure qu’un instant car le bruit métallique de la grille se fait entendre à l’extérieur…
F : Bonjour Lucas. Jules t’attend…
L : … Dans sa chambre je suppose.
F : Oui, oui... Ha, Lucas, je vais chez une amie. Je serai rentré d’ici deux heures, mais si tu pars avant, j’ai laissé de l’argent sur la table de la cuisine.
L : D’accord. Je ne sais pas pour combien de temps on en aura.
Je monte ensuite les escaliers et remarque que Flora me suit du regard durant toute la montée. Je disparais ensuite de sa vision et m’avance vers la porte de Jules.
L : Salut !
J : Salut Lucas. Elle est partie ?
L : Comment ça ?
J : Ben, ma mère, elle est partie ?
L : Elle était sur le point d’le faire quand j’suis arrivé…
J : Cool ! Attends, j’vérifie…
Il se lève et se penche par-dessus son bureau pour pouvoir observer la rue par la fenêtre. Ainsi, son T-shirt se soulève, me laissant voir la peau dorée du bas de son dos et le haut de son boxer noir.
Hmm… Vas-y… Penche-toi plus… Roo et c’est pas permis d’avoir une paire de fesses comme ça…
J : Elle ouvre la grille… Elle la referme… Ça y est, elle est partie ! On est peinards !
L : Oh, arrête, t’exagères ! Ta mère, elle vient même pas nous déranger pendant qu’on bosse…
J : Oui mais là, c’est pas l’programme…
Il me lance un grand sourire et sort de sa chambre à toute vitesse en me faisant signe de le suivre…
Je le retrouve dans le salon, près de l’unique télévision de la maison.
J : Écoute, ma mère ne me laisse pour ainsi dire jamais tout seul ici. Même quand elle va faire les courses, elle m’y traîne… Et comme elle bosse pas, elle est TOUJOURS là ! J’en peux plus ! Je ne suis jamais tout seul donc là je veux en profiter…
Ouhlà ! Tu m’intéresses de plus en plus là !
L : Euh… Et ton anglais ?
J : Ben, tu as dit que les films en version originale c’était bien non ?
L : J’vois pas l’rapport…
J : Étienne m’a filé Inception en DVD. On s’le mate ? In English of course!
L : Il est déjà sorti ?
J : Non, non, pas encore, mais Étienne pirate pas mal de films et il m’a pris celui-là exprès pour améliorer mon anglais.
L : Et pourquoi tu l’regardes pas quand elle est là ?
J : Tu penses… Je l'entends encore me dire : « La télé est un objet néfaste qui pervertit la pensée des jeunes gens… ». J’ai juste droit aux infos de temps en temps… Et à la météo les jours de fête !
L : Ha oui quand même…
J : Donc voilà. Elle te fait confiance donc te laisse seul avec moi en s’disant que t’es bien trop sérieux pour m’laisser me distraire. Et elle a tort ! Hein ?
L : …
J : Allez !!! S’il-te-plaît ! S’il-te-plaît ! Et si je me mets à genoux, tu dis oui ?
Oh putain Jules, si tu te mets à genoux, je ne réponds plus de rien…
L : Bon, allez, c’est bon. Mais on n’en regarde qu’un p’tit bout parce que ta mère sera de retour d’ici… 1h45 et le film dure sûrement bien plus.
J : Ca marche ! On regardera la suite la prochaine fois !
Il se jette sur le lecteur DVD, y insère le disque et lance la lecture.
Il s’installe ensuite sur le canapé et tapote la place juste à côté de lui pour que je m’y assoie.
C’est une invitation ?
Une heure plus tard, nos corps ne sont séparés que de quelques centimètres et je ne peux m’empêcher de jeter des coups d’œil réguliers sur ma droite, dans sa direction. Observer sa moue songeuse quand il réfléchit intérieurement, ses mains qui se crispent sur ses cuisses de temps à autre, sa chemise qui se soulève au rythme de sa respiration… et aussi la bosse que forme son pantalon quand il change de position…
Il décide alors de poser ses pieds sur un pouf situé à sa droite. En se mettant ainsi, son épaule vient s’appuyer contre le haut de mon bras.
J : Ça te dérange pas ?
Comment est-ce que ça pourrait me déranger ???
L : Non, non, vas-y.
Cet instant de complicité ne dure qu’un instant car le bruit métallique de la grille se fait entendre à l’extérieur…
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