Cours_(tres)_particuliers
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 5
Mercredi
Publié le 19/08/13 à 01:11:33 par Pseudo supprimé
:mac: Chapitre 5 : Mercredi :mac:
Mon doigt se pose une nouvelle fois sur la sonnette de l’interphone et la mère de Jules vient m’ouvrir. Elle m’indique que son fils est de nouveau dans la salle à manger et me laisse, se rendant, à nouveau, dans la cuisine.
Jules est debout près d’une chaise et regarde droit dans ma direction.
J : Bonjour Lucas !
L : Salut Jules.
Je m’avance vers lui et serre à nouveau sa main si douce et si menue.
Il m’invite à m’asseoir sur la chaise qui se trouve près de lui et prend place juste à côté.
L : Alors, il paraît que tu as encore un devoir de mathématiques.
J : Eh oui, les complexes, une nouvelle fois.
L : Tu verras, les complexes, c’est pas complexe !
J’entends le rire gêné de Jules.
Mais putain, mais que t’es con ! Mais que t’es con ! Mais que t’es con !
Comment tu peux oser sortir une blague aussi merdique ?!?
Ha non mais vraiment ! Lucas, t’es un énorme abruti, c’est pas croyable !!!
L : Euh… Désolé, j’suis un peu fatigué par ma journée de cours et ça ne me réussit pas…
Flora, la mère de Jules, entre alors dans la salle à manger.
F : Oh, les garçons, je suis désolé, mon mari vient de me prévenir qu’il reviendrait du travail avec deux collègues donc j’aurais besoin de mette la table…
J : Pas de problème maman, on va aller dans ma chambre…
F : Oh, tu es sûr que c’est une bonne idée ?
Elle se tourne ensuite vers moi.
F : Mon fils est un vrai souillon. Ne faites pas attention au bazar dans sa chambre, il est incorrigible et je ne sais pas comment lui faire entendre raison.
Moi, j'veux bien lui donner une petite correction si vous voulez...
L : Ne vous inquiétez pas Madame. J’y survivrai.
J : Viens, suis-moi.
Comment résister à une telle invitation ?
Jules me précède dans les grands escaliers sombres qui mènent à l’étage. Nous arrivons dans un long couloir au papier peint des années 30. Sur les murs, toujours cette même décoration, mélange de toiles fleuries et de cadres religieux…
Toujours aussi sympa la déco.
Jules pousse une porte sur la droite et me fait un signe.
J : Voilà, c’est ma chambre. Désolé pour le chantier.
Ce que je remarque en premier, c’est le lit dont les draps ont été bien tendus et soigneusement repliés et, au-dessus, le petit crucifix en bois.
Sur les murs, un papier bleu ciel uni qui, à mon avis, est toujours le même depuis la naissance de Jules.
Ce que lui et sa mère appellent « bazar » ou « chantier » est en fait constitué de quelques feuilles et de quelques livres mal rangés qui traînent à droite à gauche.
Si tu voyais mon appart’ mon gars, tu saurais ce que c’est vraiment l’bordel…
Jules remarque que mes yeux se sont posés quelques instants sur le crucifix au-dessus de son lit.
J : Ma famille est très croyante. Mes parents surtout. Donc je n’ai pas trop le choix dans la déco.
Il me sourit, visiblement gêné par sa chambre qui est loin de correspondre à ce qu’on peut attendre de celle d’un ado ou d’un jeune adulte.
Ce qui me choque ensuite, c’est l’absence totale d’appareils électriques dans sa chambre. Pas de télévision, pas d’ordinateur. Même son réveil est un modèle à aiguilles ne permettant pas d’écouter la radio.
Jules parcourt sa chambre, repoussant ça et là certaines feuilles pour remettre un peu d’ordre. Je l’observe se déplacer, sa silhouette fine se courber quand il ramasse quelque chose par terre, ce qui me laisse une vue imprenable sur ses petites fesses, à l’étroit dans son pantalon serré.
Putain, Lucas, si tu continues à le fixer comme ça, il n’y a pas que ses fesses qui vont être à l’étroit dans leur pantalon…
Je sens déjà mon sexe se réveiller dans mon boxer en imaginant ce qui se cache sous ces vêtements : son petit corps svelte à la peau halée, son torse finement musclé et son ventre aux abdos apparents, son caleçon bien rempli et ses petites fesses fermes sur lesquels j’aimerais poser mes mains…
J : On s’y met ?
Oh, je me mets dans tout c’que tu veux mon p’tit gars…
Mon doigt se pose une nouvelle fois sur la sonnette de l’interphone et la mère de Jules vient m’ouvrir. Elle m’indique que son fils est de nouveau dans la salle à manger et me laisse, se rendant, à nouveau, dans la cuisine.
Jules est debout près d’une chaise et regarde droit dans ma direction.
J : Bonjour Lucas !
L : Salut Jules.
Je m’avance vers lui et serre à nouveau sa main si douce et si menue.
Il m’invite à m’asseoir sur la chaise qui se trouve près de lui et prend place juste à côté.
L : Alors, il paraît que tu as encore un devoir de mathématiques.
J : Eh oui, les complexes, une nouvelle fois.
L : Tu verras, les complexes, c’est pas complexe !
J’entends le rire gêné de Jules.
Mais putain, mais que t’es con ! Mais que t’es con ! Mais que t’es con !
Comment tu peux oser sortir une blague aussi merdique ?!?
Ha non mais vraiment ! Lucas, t’es un énorme abruti, c’est pas croyable !!!
L : Euh… Désolé, j’suis un peu fatigué par ma journée de cours et ça ne me réussit pas…
Flora, la mère de Jules, entre alors dans la salle à manger.
F : Oh, les garçons, je suis désolé, mon mari vient de me prévenir qu’il reviendrait du travail avec deux collègues donc j’aurais besoin de mette la table…
J : Pas de problème maman, on va aller dans ma chambre…
F : Oh, tu es sûr que c’est une bonne idée ?
Elle se tourne ensuite vers moi.
F : Mon fils est un vrai souillon. Ne faites pas attention au bazar dans sa chambre, il est incorrigible et je ne sais pas comment lui faire entendre raison.
Moi, j'veux bien lui donner une petite correction si vous voulez...
L : Ne vous inquiétez pas Madame. J’y survivrai.
J : Viens, suis-moi.
Comment résister à une telle invitation ?
Jules me précède dans les grands escaliers sombres qui mènent à l’étage. Nous arrivons dans un long couloir au papier peint des années 30. Sur les murs, toujours cette même décoration, mélange de toiles fleuries et de cadres religieux…
Toujours aussi sympa la déco.
Jules pousse une porte sur la droite et me fait un signe.
J : Voilà, c’est ma chambre. Désolé pour le chantier.
Ce que je remarque en premier, c’est le lit dont les draps ont été bien tendus et soigneusement repliés et, au-dessus, le petit crucifix en bois.
Sur les murs, un papier bleu ciel uni qui, à mon avis, est toujours le même depuis la naissance de Jules.
Ce que lui et sa mère appellent « bazar » ou « chantier » est en fait constitué de quelques feuilles et de quelques livres mal rangés qui traînent à droite à gauche.
Si tu voyais mon appart’ mon gars, tu saurais ce que c’est vraiment l’bordel…
Jules remarque que mes yeux se sont posés quelques instants sur le crucifix au-dessus de son lit.
J : Ma famille est très croyante. Mes parents surtout. Donc je n’ai pas trop le choix dans la déco.
Il me sourit, visiblement gêné par sa chambre qui est loin de correspondre à ce qu’on peut attendre de celle d’un ado ou d’un jeune adulte.
Ce qui me choque ensuite, c’est l’absence totale d’appareils électriques dans sa chambre. Pas de télévision, pas d’ordinateur. Même son réveil est un modèle à aiguilles ne permettant pas d’écouter la radio.
Jules parcourt sa chambre, repoussant ça et là certaines feuilles pour remettre un peu d’ordre. Je l’observe se déplacer, sa silhouette fine se courber quand il ramasse quelque chose par terre, ce qui me laisse une vue imprenable sur ses petites fesses, à l’étroit dans son pantalon serré.
Putain, Lucas, si tu continues à le fixer comme ça, il n’y a pas que ses fesses qui vont être à l’étroit dans leur pantalon…
Je sens déjà mon sexe se réveiller dans mon boxer en imaginant ce qui se cache sous ces vêtements : son petit corps svelte à la peau halée, son torse finement musclé et son ventre aux abdos apparents, son caleçon bien rempli et ses petites fesses fermes sur lesquels j’aimerais poser mes mains…
J : On s’y met ?
Oh, je me mets dans tout c’que tu veux mon p’tit gars…
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