<h1>Noelfic</h1>

Moi_Robin,_16_ans._Dans_la_merde.


Par : Pseudo supprimé

Genre : Inconnu

Status : C'est compliqué

Note :


Chapitre 16

Faudra improviser.

Publié le 19/08/13 à 01:11:21 par Pseudo supprimé

"- Ces bruits ! Les tirs ont sonné l'alerte !
- Il faut à tout prix partir d'ici, et en vitesse ! cria Antoine.
- Sautez du balcon, et massacrez ce qui arrive ! Dis-je.
- Pour aller où ? le portail est submergé !
- Qui a dit qu'on allait vers le portail ? suivez moi !"
En effet, je me dirigeais à l'opposé du portail. Ils étaient derrière nous, ils courraient, ils nous voulaient... ceux de devant étaient vite abbatus, Mais je ne tirais pas avec mon arme, elle était suffisement lourde pour me servir de masse pour l'instant : alors je tappais avec seulement. Elle me servirerai plus tard, quand j'aurai appris à l'utiliser correctement.
"- Mais bordel, on va où ? cria Louis.
- Pose pas de questions et cours ! J'espère juste que l'un de vous sait conduire !
- Mais putaaain Robin, on est pas dans un film américain !! Cria Nathan.
- Ta gueule, on finira en steak si on sort sans véhicule. Il nous faut cette ambulance, c'est lourd à conduire, mais c'est solide, on aura de la place pour cette nuit.
- Mais tu comptes dormir là dedans ?
- Tu veux qu'on se prenne un hôtel en ville peut-être ?
- Fais chier !"
Il a fallu que je sorte deux cadavres de cette putain d'ambulance, et que je cherche les clés, les autres étaient passés par derrière, j'étais seule devant avec Antoine à essayer de trouver une solution pendant que Nathan massacrais la foule qui arrivait avec l'AK-47.
"- Bordel ! Grouillez vous ! Hurla Louis.
- Je cherche les clés merde ! Répondis-je.
- Les clés ! Elles sont là !" Dit Antoine.
On avait les clés ! Alors j'ai démarré l'engin et j'ai pas mal galéré pour le faire avancer, mais avec l'aide d'Antoine, on a réussi à s'en sortir. J'avoue qu'au départ, j'ai bien eu du mal et je me suis prit quelques trottoires, mais finalement j'ai réussi à conduire correctement jusqu'à ce qu'on ai semé les zombies derrière nous. C'était parfait, à ce moment précis, je nous voyais comme des héros : s'en sortir de cette manière. Notre chance insolente. Je me suis dit qu'on était des héros de films... Nathan nous avait rejoins devant.
"- Alors tu penses toujours pas qu'on est dans un film américain, Nath' ? Dis-je fière.
- Je dois dire que tu t'en ai pas mal sortie, une fois de plus. Tu as le don de nous maintenir en vie, on dirait. Merci, vraiment. Tu es notre meneur et je remercie le ciel que tu sois là.
- Tu n'a pas à me remercier. Disons que je me tiens en vie, et que j'ai besoin de compagnie. Sans vous, je perderai la tête. Répondis-je.
- Et on va où maintenant, meneuse ?
- On va en ville, où j'habite plus précisément. Si l'armée ne sauve pas ma famille, alors je la sauverai moi-même. Encore faudrait-il qu'elle soit en vie.. Ensuite, on ira tous dans la zone protégée."
Je n'ai pas passé le code, le permis. Mais je me souviens de la réaction de papa qui disait 'merde' quand l'aiguille d'essence était vers la gauche.
- "Merde".

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