Jean Quichonche
Par : TKPicsou
Genre : Nawak
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 10
Publié le 22/04/13 à 21:51:56 par TKPicsou
Jean Quichonche et Henri arrivèrent dans le 93, comme ils l'avaient prévu, et une opportunité se présenta à eux de faire le bien, comme ils le recherchaient.
En effet, à peine eurent-ils parcouru brièvement les rues de la téci qu'ils rencontrèrent un groupe de jeunes maghrébistes menottés encadrés par deux policiers.
Jean Quichonche expliqua à son fidèle Henri :
"Ecoute, voici une occasion pour nous de lutter pour le bien de JVC. Tu vois ces personnages, ce sont des policiers. Ils constituent la légendaire cyberpolice, un groupe de créatures ahuries qui s'infiltrent à l'aide de moralfags tels que MamiTrico, fils bâtard de Lorient 56.
Les personnes qu'ils encadrent sont des arbres, vois-tu ? Nous devons les sauver car, avec de la chance, si on les aide ils ne nous victimiseront plus à l'heure du goutay"
Henri parut ne pas tout comprendre, mais excité par la perspective de l'aventure, il accepta de rentrer dans le jeu de son maître.
Jean Quichonche s'approcha du groupe de prisonniers. Il y en avait quatre. Il s'adressa à l'un d'eux, à la tête ronde, à moitié chauve, seulement coiffée d'une crête de cacane, et vêtu d'un sweat vert. Tout cela le faisait ressembler à Diam's et Cetelem à la fois.
"Jeune pomme, dit Jean Quichonche, explique-nous pourquoi les forces de l'ordre vous emprisonnent".
Après l'avoir analysé du regard, le petit beurre rétorqua :
"Sisi misquine tu vois, nous on était tranquilles, comme ça, avec un pote, et on lui expliquait la vie, c'est pour ça.
Le gars on aime bien l'embêter, tu vois, mais gentiment. Genre on lui prend son vélo et sa bicyclette, mais c'est pas méchant. Mais lui c'te pauvre baltringue il en avait ras-le-cul de nous. Puis en revanche, vu que c'est pas un homme, beh abusé quoi, il nous le dit pas en face.
Alors il va voir les keufs pour leur dire qu'on trafique de la drogue. On pense même pas à mal nous, on est des bons Musulmans.
Et moi qu'est-ce que je vois arriver après chez moi ? Dis-moi pas qu'c'est pas vrai qu'une bande de keufs arrive chez nous. Et là ils nous emmènent au poste alors qu'on a rien fait nous, c'est tous des p'tits bâtards"
Jean Exodia parut satisfait du récit, mais l'un des policiers tint quand même à rajouter quelque chose après ça :
"T'en tireras pas grand chose de celui-là. C'est un pauvre sac à foutre, on en fera jamais rien. Abandonne, et laisse-nous aller tranquillement les emmener au poste. Petit à petit, on nettoiera le monde des arbres".
Le héros ne pouvait pas laisser deux hommes en bleu opprimer et humilier une bande d'honnêtes maghrébistes. Il sortit sa sublime lame, et fonça sur l'un des deux. Henri parut comprendre le message et fonça sur l'autre. Par chance, vu qu'il était obèse, il parvint à le tenir immobile.
Les Arbres profitèrent de l'occasion pour les aider. Les policiers, désespérés, prirent la fuite. Ils ne semblaient pas en avoir grand chose à foutre, de toute manière.
A l'aide de sa 349 sword, il défit les liens des Arbres, qui s'enfuirent en courant, sans dire ni oui ni merde.
Jean Quichonche hurla donc, pour les stopper :
"Minute, bande de maghrébistes ! Vous ne pouvez pas fuir comme ça ! Vous me devez la reconnaissance jusqu'à la fin de vos jours, mais je vous épargne ceci en ne vous demandant qu'un service.
Vous irez dès que possible dans le Limousin présenter vos hommages à Marie Onéguine, et lui raconter votre précédente péripétie en précisant bien que vous avez été sauvés par le grand Jean Quichonche et son fidèle Henri !
-Azy me pète pas les couilles, j'ai pas le temps, répondit le Diam's Cetelem. Y a les keufs qui se ramèneront vite fait là, j'ai pas le temps pour tes conneries gros soumis de ta mère la tepu.
-C'en est trop, vous allez tâter de mon épée !"
Jean Quichonche se fit exploser et dilater l'anus par les jeunes, qui fuirent en courant.
Henri l'amena à l'hôtel le plus proche et demanda conseil à son maître pour la manière de le rétablir.
En effet, à peine eurent-ils parcouru brièvement les rues de la téci qu'ils rencontrèrent un groupe de jeunes maghrébistes menottés encadrés par deux policiers.
Jean Quichonche expliqua à son fidèle Henri :
"Ecoute, voici une occasion pour nous de lutter pour le bien de JVC. Tu vois ces personnages, ce sont des policiers. Ils constituent la légendaire cyberpolice, un groupe de créatures ahuries qui s'infiltrent à l'aide de moralfags tels que MamiTrico, fils bâtard de Lorient 56.
Les personnes qu'ils encadrent sont des arbres, vois-tu ? Nous devons les sauver car, avec de la chance, si on les aide ils ne nous victimiseront plus à l'heure du goutay"
Henri parut ne pas tout comprendre, mais excité par la perspective de l'aventure, il accepta de rentrer dans le jeu de son maître.
Jean Quichonche s'approcha du groupe de prisonniers. Il y en avait quatre. Il s'adressa à l'un d'eux, à la tête ronde, à moitié chauve, seulement coiffée d'une crête de cacane, et vêtu d'un sweat vert. Tout cela le faisait ressembler à Diam's et Cetelem à la fois.
"Jeune pomme, dit Jean Quichonche, explique-nous pourquoi les forces de l'ordre vous emprisonnent".
Après l'avoir analysé du regard, le petit beurre rétorqua :
"Sisi misquine tu vois, nous on était tranquilles, comme ça, avec un pote, et on lui expliquait la vie, c'est pour ça.
Le gars on aime bien l'embêter, tu vois, mais gentiment. Genre on lui prend son vélo et sa bicyclette, mais c'est pas méchant. Mais lui c'te pauvre baltringue il en avait ras-le-cul de nous. Puis en revanche, vu que c'est pas un homme, beh abusé quoi, il nous le dit pas en face.
Alors il va voir les keufs pour leur dire qu'on trafique de la drogue. On pense même pas à mal nous, on est des bons Musulmans.
Et moi qu'est-ce que je vois arriver après chez moi ? Dis-moi pas qu'c'est pas vrai qu'une bande de keufs arrive chez nous. Et là ils nous emmènent au poste alors qu'on a rien fait nous, c'est tous des p'tits bâtards"
Jean Exodia parut satisfait du récit, mais l'un des policiers tint quand même à rajouter quelque chose après ça :
"T'en tireras pas grand chose de celui-là. C'est un pauvre sac à foutre, on en fera jamais rien. Abandonne, et laisse-nous aller tranquillement les emmener au poste. Petit à petit, on nettoiera le monde des arbres".
Le héros ne pouvait pas laisser deux hommes en bleu opprimer et humilier une bande d'honnêtes maghrébistes. Il sortit sa sublime lame, et fonça sur l'un des deux. Henri parut comprendre le message et fonça sur l'autre. Par chance, vu qu'il était obèse, il parvint à le tenir immobile.
Les Arbres profitèrent de l'occasion pour les aider. Les policiers, désespérés, prirent la fuite. Ils ne semblaient pas en avoir grand chose à foutre, de toute manière.
A l'aide de sa 349 sword, il défit les liens des Arbres, qui s'enfuirent en courant, sans dire ni oui ni merde.
Jean Quichonche hurla donc, pour les stopper :
"Minute, bande de maghrébistes ! Vous ne pouvez pas fuir comme ça ! Vous me devez la reconnaissance jusqu'à la fin de vos jours, mais je vous épargne ceci en ne vous demandant qu'un service.
Vous irez dès que possible dans le Limousin présenter vos hommages à Marie Onéguine, et lui raconter votre précédente péripétie en précisant bien que vous avez été sauvés par le grand Jean Quichonche et son fidèle Henri !
-Azy me pète pas les couilles, j'ai pas le temps, répondit le Diam's Cetelem. Y a les keufs qui se ramèneront vite fait là, j'ai pas le temps pour tes conneries gros soumis de ta mère la tepu.
-C'en est trop, vous allez tâter de mon épée !"
Jean Quichonche se fit exploser et dilater l'anus par les jeunes, qui fuirent en courant.
Henri l'amena à l'hôtel le plus proche et demanda conseil à son maître pour la manière de le rétablir.
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