Jean Quichonche
Par : TKPicsou
Genre : Nawak
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 1
Publié le 22/04/13 à 21:43:30 par TKPicsou
Dans un village du Limousin dont je ne souhaite pas me rappeler le nom, vivait l'un de ces jeunes de 15-18 ans qui se baladaient fièrement, épée à 349€ à la main, avec cheveux gras, tee-shirt , et armure de graisse.
Il vivait seul, était sans amis et ne possédait qu'une mère qui lui servait de remplisseuse de gamelle, d'objet de fantasmes, d'outil affectif pour vider son chagrin quand Karim se moquait de lui à l'école, mais aussi de source de raj quand celle-ci lui interdisait de jouer à Battlefield car, selon elle, c'est très raciste de dire que les Arabes sont des connards qui cheat et savent pas jouer.
Il était gros comme grenier, avait un visage obstrué par l'acné, un nez tel qu'on ne pouvait le voir pointer sans s'écrier "Ah non vraiment il exagère", des cheveux gras comme frites déjà entamés par le démon calvitie accéléré par l'abus de plaisirs solitaires, et était spermatique d'odeur.
Notre héros était hors de toute vie sociale et aimait à se faire victimiser à l'école, ou du moins, s'il n'appréciait pas, il ne détestait pas, car il se laissait faire.
Il était devenu l'attraction préférée des populations maghrébistes de son lycée qui s'amusaient, à l'aide de l'objet de fantasmes de notre héros, Marie Onéguine, blonde aux yeux bleus et au cul désireux, à lui tendre diverses embuscades dans lesquelles le jeune homme finissait toujours victimisé avec une érection visible, parfois violé, parfois juste imbibé d'urine maghrébine.
Cet amour particulier pour la victimisation répétée (ou, encore une fois, s'il n'y avait pas d'amour, le pauvre homme subissait vachement) l'a conduit à aller au plus profond des abysses de l'âme humaine, vers ce qu'elle a produit de pire. Allant au début vers sa télévision, regardant W9, puis M6, puis TF1, avant d'atteindre l'ignoble NRJ12, à la recherche de la plus haute immondice, le jeune homme n'en eût jamais assez, alors il se mit aux mauvais jeux vidéos en torchant kaulof et Battlefield, puis il décida de gravir le précipice, d'essayer de toucher le pire, de trouver un endroit digne de sa toute nouvelle débilité intellectuelle : en bref, il choisit d'aller sur le 15-18.
Il vivait seul, était sans amis et ne possédait qu'une mère qui lui servait de remplisseuse de gamelle, d'objet de fantasmes, d'outil affectif pour vider son chagrin quand Karim se moquait de lui à l'école, mais aussi de source de raj quand celle-ci lui interdisait de jouer à Battlefield car, selon elle, c'est très raciste de dire que les Arabes sont des connards qui cheat et savent pas jouer.
Il était gros comme grenier, avait un visage obstrué par l'acné, un nez tel qu'on ne pouvait le voir pointer sans s'écrier "Ah non vraiment il exagère", des cheveux gras comme frites déjà entamés par le démon calvitie accéléré par l'abus de plaisirs solitaires, et était spermatique d'odeur.
Notre héros était hors de toute vie sociale et aimait à se faire victimiser à l'école, ou du moins, s'il n'appréciait pas, il ne détestait pas, car il se laissait faire.
Il était devenu l'attraction préférée des populations maghrébistes de son lycée qui s'amusaient, à l'aide de l'objet de fantasmes de notre héros, Marie Onéguine, blonde aux yeux bleus et au cul désireux, à lui tendre diverses embuscades dans lesquelles le jeune homme finissait toujours victimisé avec une érection visible, parfois violé, parfois juste imbibé d'urine maghrébine.
Cet amour particulier pour la victimisation répétée (ou, encore une fois, s'il n'y avait pas d'amour, le pauvre homme subissait vachement) l'a conduit à aller au plus profond des abysses de l'âme humaine, vers ce qu'elle a produit de pire. Allant au début vers sa télévision, regardant W9, puis M6, puis TF1, avant d'atteindre l'ignoble NRJ12, à la recherche de la plus haute immondice, le jeune homme n'en eût jamais assez, alors il se mit aux mauvais jeux vidéos en torchant kaulof et Battlefield, puis il décida de gravir le précipice, d'essayer de toucher le pire, de trouver un endroit digne de sa toute nouvelle débilité intellectuelle : en bref, il choisit d'aller sur le 15-18.
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