Comment Chloé squatta ma vie...
Par : OminiousO
Genre : Sentimental
Status : Terminée
Note :
Chapitre 17
Cours particuliers
Publié le 16/12/12 à 14:30:41 par OminiousO
Je ne prêtais guère attention à ses explications, vu que je m’en foutais pas mal de la physique.
Je me contentais d’acquiescer par des ‘oui’ de temps à autre pour pas qu’elle se sente trop seule.
Il se faisait déjà tard et nous venions de boucler le chapitre sur l’énergie cinétique et commencions donc un exercice dont elle me lut l’énoncé à voix haute (Assisté spotted )
- Je vais résoudre cet exercice pour toi, mais avant de répondre aux questions, il faut d’abord faire un schéma…
Elle commença à dessiner un skieur pavé droit (normal quoi ) à la règle.
- Fais des yeux au rectangle, sinon on saura pas que c’est un skieur !
- Mais non ça sert à rien ! Le dessin ne sera pas propre après.
- Mais vazy lui dis-je, donne-moi le crayon…
- Mais non !
Elle se démenait et cachait le crayon derrière elle pour que je ne puisse pas le saisir.
Je la taquinais gentiment, m’enfin en tant que mâle de l’histoire, je me devais d’employer la force pour imposer mes décisions (Comme les lions sur Discovery ).
Bref, je me tournai face à elle et lui saisis les deux bras, les tirant vers moi pour la maîtriser. La position fut fort gênante, nous étions assis l’un en face de l’autre, ses mains dans les miennes. Devant le feu de la cheminée que nous avions allumé.
Au bout de quelques instants de son regard plongé dans le mien, la gêne se reflétait sur ses joues rougies, de même pour moi.
Je lançai alors ma tactique d’évasion, préparée à l’origine pour rentrer chez moi :
- J’ai faim…
Elle fût un peu déconcertée par la remarque.
- Hihi… Moi aussi… Tu veux que j’aille preparer à manger ?
- Euh, je vais pas te déranger.
- Non non ! C’est pas grave, je vais faire à manger et toi tu termines l’exercice.
Elle s’en alla dans la cuisine et j’en profitai pour faire des yeux comme ça à ce pavay.
Je torchai l’exo en question pile au moment ou elle revint des fourneaux avec du gravelax.
Non ce ne sont pas des médocs, mais bien une spécialité culinaire d'origine scandinave, à base de saumon cru en filet (rf. Wikipédia).
Je n’aimais pas vraiment le poisson cru, mais c’était assez bon. Elle m’expliqua pendant une bonne demi-heure que le choix des morceaux de poisson était capital dans la réussite de ce plat.
Ce qui m’impressionnait vraiment, ce n’était pas son débit de parole mais plutôt qu’elle s’y connaissait tellement en cuisine. Chose qui se fait rare de nos jours.
Nous finissâmes sur une note plus joyeuse en nous demandant si le père de Némo n’était pas sa mère.
Nous commencâmes donc à débarrasser la table.
Elle alla faire la vaisselle pendant que je lui ramenais les couverts. Je me plaçai derrière elle pour atteindre l’évier… Quand nos hanches entrèrent en contact.
Je fis comme si de rien n'était, et déposai délicatement ce que je tenais dans l’évier. Elle se retourna vers moi, les mains encore mouillées.
La tension était à son paroxysme. Je tenais sa robe au niveau de la hanche. Elle ferma les yeux. J’allais l’embrasser et scorer pour de bon. Mes lèvres s’approchèrent des siennes…
Je me contentais d’acquiescer par des ‘oui’ de temps à autre pour pas qu’elle se sente trop seule.
Il se faisait déjà tard et nous venions de boucler le chapitre sur l’énergie cinétique et commencions donc un exercice dont elle me lut l’énoncé à voix haute (Assisté spotted )
- Je vais résoudre cet exercice pour toi, mais avant de répondre aux questions, il faut d’abord faire un schéma…
Elle commença à dessiner un skieur pavé droit (normal quoi ) à la règle.
- Fais des yeux au rectangle, sinon on saura pas que c’est un skieur !
- Mais non ça sert à rien ! Le dessin ne sera pas propre après.
- Mais vazy lui dis-je, donne-moi le crayon…
- Mais non !
Elle se démenait et cachait le crayon derrière elle pour que je ne puisse pas le saisir.
Je la taquinais gentiment, m’enfin en tant que mâle de l’histoire, je me devais d’employer la force pour imposer mes décisions (Comme les lions sur Discovery ).
Bref, je me tournai face à elle et lui saisis les deux bras, les tirant vers moi pour la maîtriser. La position fut fort gênante, nous étions assis l’un en face de l’autre, ses mains dans les miennes. Devant le feu de la cheminée que nous avions allumé.
Au bout de quelques instants de son regard plongé dans le mien, la gêne se reflétait sur ses joues rougies, de même pour moi.
Je lançai alors ma tactique d’évasion, préparée à l’origine pour rentrer chez moi :
- J’ai faim…
Elle fût un peu déconcertée par la remarque.
- Hihi… Moi aussi… Tu veux que j’aille preparer à manger ?
- Euh, je vais pas te déranger.
- Non non ! C’est pas grave, je vais faire à manger et toi tu termines l’exercice.
Elle s’en alla dans la cuisine et j’en profitai pour faire des yeux comme ça à ce pavay.
Je torchai l’exo en question pile au moment ou elle revint des fourneaux avec du gravelax.
Non ce ne sont pas des médocs, mais bien une spécialité culinaire d'origine scandinave, à base de saumon cru en filet (rf. Wikipédia).
Je n’aimais pas vraiment le poisson cru, mais c’était assez bon. Elle m’expliqua pendant une bonne demi-heure que le choix des morceaux de poisson était capital dans la réussite de ce plat.
Ce qui m’impressionnait vraiment, ce n’était pas son débit de parole mais plutôt qu’elle s’y connaissait tellement en cuisine. Chose qui se fait rare de nos jours.
Nous finissâmes sur une note plus joyeuse en nous demandant si le père de Némo n’était pas sa mère.
Nous commencâmes donc à débarrasser la table.
Elle alla faire la vaisselle pendant que je lui ramenais les couverts. Je me plaçai derrière elle pour atteindre l’évier… Quand nos hanches entrèrent en contact.
Je fis comme si de rien n'était, et déposai délicatement ce que je tenais dans l’évier. Elle se retourna vers moi, les mains encore mouillées.
La tension était à son paroxysme. Je tenais sa robe au niveau de la hanche. Elle ferma les yeux. J’allais l’embrasser et scorer pour de bon. Mes lèvres s’approchèrent des siennes…
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