Mes copines étrangères
Par : lls
Genre : Sayks
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 25
Découverte
Publié le 05/01/13 à 15:45:54 par lls
Je me penche dans les cheveux d’Ana, embrassant la peau douce de son cou. Mes mains avancent sur ses cuisses jusqu’à ses genoux, et reviennent. Elle retourne son visage de déesse vers moi et m’embrasse. Sa bouche est chaude, sa salive a un gout de menthe, et je goute la saveur métallique de son piercing, alors que ma langue joue avec la sienne. Sa main me guide, et je constate qu’elle est nue sous sa robe. Je n’ai pas l’habitude de m’aventure sur ces terres sacrées, Yun n’aimant pas les préliminaires.
C’est d’ailleurs nouveau pour moi, ces caresses sensuelles, cette danse des corps avant l’amour. Son intimité est rasée et pique délicieusement mes doigts, et je les promène avec précaution, avec douceur. Elle quitte ma bouche, et je l’aide à retirer sa robe lentement. Ses cheveux encore humides reviennent sur mon visage, et je respire à pleins poumons son odeur de rose. Elle est un peu cambrée en avant, et je pose mes mains sur son dos nu. L’inscription « Harder ! » tatouée au-dessus de ses fesses attire mon œil, et un frisson d’excitation me parcourt l’échine. Mais ce n’est pas Yun, je dois être patient. Et ça ne me gêne pas. Je caresse un magnifique papillon multicolore peint sur son omoplate, et trouve une autre inscription sous sa nuque. Elle est écrite à l’envers, et je ne perds pas de temps à la déchiffrer. Elle se recolle à moi en soupirant d’aise, et ma main retourne entre ses cuisses. Elle s’empare de l’autre et la pose sur sa poitrine chaude. Je la caresse et elle se remue sur moi en respirant fort. En bas, mes doigts caressent ses lèvres et deviennent humides. J’appuie délicatement, et le paradis s’ouvre à moi. C’est brûlant, et Ana gémit silencieusement. Puis elle se libère et se retourne.
Penchée en avant sans se mettre à genoux, elle tire mon pantalon, et saisit un Courage en pleine forme. Elle l’agite doucement en le regardant, et la sensation de sa main chaude me fait frissonner. Encore une fois, les yeux fermés, je pourrais savoir que ça n’est pas Yun qui est devant moi. La pression de ses doigts est différente, plus franche, et son pouce remue et me caresse. Je devine immédiatement que ça n’est pas sa première fois. Elle me regarde finalement, un sourcil levé d’un air provocateur, son sourire éternellement moqueur. Et elle le lèche. Je tressaille violemment au contact de son piercing sur ma peau. C’est juste incroyable. Elle rit, et se penche encore plus, mettant la moitié de Courage dans sa bouche. Je ferme les yeux de bonheur. Sa bouche aussi est différente de celle de Yun, moins grande, plus serrée. Elle le fait glisser sur son palais quelques secondes, et le ressort. Et elle recommence.
Je regarde son dos, et tombe sur l’inscription sous sa nuque, que je peux désormais lire : « I love it ! ». Je me laisse aller dans le canapé et esquisse un sourire rêveur. C’est délicieux. J’ai envie d’enfiler un préservatif et d’entrer en elle, d’essayer son corps, de la faire trembler. Mais j’attends patiemment, et découvre la beauté des préliminaires. Ça doit faire une minute qu’elle s’est emparée de moi, et elle commence ses va-et-vient. Elle serre ses lèvres, et agite sa tête sans me regarder. Mes yeux s’ouvrent en grand quand je sens sa langue frétiller et son piercing contre moi, et c’est le drame. J’ai à peine le temps de la prévenir. Je me lève tant bien que mal et me retire de sa bouche, alors qu’elle se met à genoux, surprise. Le premier jet incontrôlé touche sa joue et finit dans ses cheveux, et elle met sa poitrine en avant. Je souffle fort et dirige Courage vers ses seins, finissant de me déverser. Ses yeux sont écarquillés de surprise et son sourire s’élargit alors qu’elle pousse un « Woaah ! » étonné et retentissant. Puis elle éclate de rire.
Je retombe dans le canapé, terriblement honteux. Putain, il m’est arrivé quoi ?
-Je suis désolé, je dis, sentant le rouge monter à mes joues.
Devant mon air décomposé, elle perd son sourire, fronce les sourcils, et prend ma main.
-Quel est le problème ? demande-t-elle.
-Je crois que c’est ton piercing, il m’a juste… Je ne me suis pas contrôlé. Excuse-moi…
Je ne sais vraiment pas où me mettre.
-Mais, c’était bien, non ?
Elle penche la tête sur le côté, l’air confuse.
-Tu attendais plus, je réponds, en regardant entre ses cuisses.
Elle paraît comprendre, et se remet à rire.
-Yun ne t’a pas dit ? Tu ne peux pas me faire l’amour. Je supporte pas le latex.
Je suis abasourdi.
-C’est vrai ? Mais alors, tu voulais…
-Juste ça, répond-t-elle en haussant les épaules. Mais je ne pensais pas être aussi forte !
Elle est morte de rire devant mon air étonné. Je dois vraiment avoir l’air stupide. Mais je suis rassuré, et la honte que j’ai ressentie disparait.
Elle se relève, ma semence dégouline sur son ventre.
-Je reviens, me dit-elle en suçotant bout de son doigt. Elle me fait un clin d’œil coquin, et je la vois partir à la douche toute nue, sa démarche aguicheuse faisant tressauter ses belles fesses.
Putain, faut que je fasse attention avec Ana, elle ne laisse aucune chance au pauvre Courage.
L’après-midi et la nuit qui suivent sont extrêmes. Tous les trois, on est comme un jeune couple qui essaie, se teste, brûlant d’envie et de passion. Je ne compte pas le nombre de fois où on le fait, où on part à la douche avant de recommencer. On prend l’habitude d’être trois, et notre plaisir est plus grand à chaque fois.
Ana me guide et me montre comment lui donner du plaisir avec mes doigts et ma langue et je m’active entre ses cuisses pendant que Yun vide Courage sur son visage. J’adore ça.
Plusieurs fois, elles me réveillent en pleine nuit, côte à côte entre mes cuisses. Je sens leurs langues sur moi, leurs mains qui m’agitent. La gorge chaude de Yun pendant qu’Ana me lèche. Depuis ma prestation expéditive ( ), elle évite de mettre Courage dans sa bouche. Elle le fait juste à la fin, et c’est un jeu entre nous trois, où je dois résister le plus longtemps. Mais affronter leurs yeux surexcités et fougueux, sentir le piercing de la belle blonde sur moi alors qu’elle referme ses lèvres et s’agite, c’est beaucoup trop. Alors je les préviens au bout de quelques secondes, je récupère Courage et l’agite devant leurs visages brûlants d’envie. Yun ferme la bouche et la pose sur moi, et Ana me susurre des choses érotiques, tire sa belle langue humide et la remue en désignant son visage, son regard pénétrant dans le mien. Et je manque de m’évanouir en jouissant abondamment sur elles. Je suis vraiment à plaindre.
Et finalement, parce qu’il est impossible de tenir ce rythme indéfiniment, on se fatigue, on se repose plus longtemps. On s’habitue à dormir à trois sans se réveiller constamment. La journée, on reste tranquille, on révise, on joue à la console. Et on fait l’amour.
Quand on sort tous les trois, c’est bizarre. Yun n’est pas particulièrement affectueuse, mais Ana me prend la main, se tient près de moi. Sa tenue provocante et sa beauté insultante m’attire les regards jaloux de beaucoup d’individus.
Les moments où on est le plus observés, c’est quand Yun a la lubie de nous toucher. On est dans le bus, Ana est assise près de moi, sa main dans la mienne, et repose sa tête sur mon épaule. Et Yun s’assied sur mes genoux, et pose mon autre main sur ses cuisses souvent nues. Là, on est clairement le centre de l’attention. Mais on s’en fiche. Rien à battre.
On va au cinéma tous les trois, et nos voisins nous dévisagent avec étonnement lorsqu’ils voient Yun qui passe de mes genoux à ceux d’Ana, parce qu’elle est trop petite pour voir correctement l’écran. Et puis des fois, on marche sur le trottoir et on se tient tous la main. Je suis souvent au centre, mais pas toujours. Certaines fois c’est Ana, d’autres c’est Yun.
On ne parle pas du retour de Cécilia, mais ça commence à nous peser, ça se sent dans l’air. On ne peut pas lui cacher ça. Quant à demander à Ana de dormir seule comme avant, ça reviendrait à rompre avec elle, en gros. Et personne ne veut ça. C’est donc deux jours avant le retour de notre amie italienne que je décide de lui envoyer un message.
Je réfléchis un moment à comment je peux tourner ma phrase, et finalement, je lui envoie ça :
« Cécilia, j’espère que tu vas bien. C’est un peu difficile à avouer, mais voilà… Je suis avec Yun et Ana. En même temps. Si ça te pose un problème quelconque, sache que tu peux demander à changer d’hôte, et dans ce cas, j’espère qu’on restera amis. Mais sache qu’on aimerait tous que tu reviennes, car tu nous manques. Bises, Steph. »
J’appuie sur « envoyer ». Et je soupire. Bordel, quelle vie.
Un peu plus tard dans la soirée, je reçois sa réponse. J’attrape mon téléphone, respire un grand coup, et ouvre le message…
C’est d’ailleurs nouveau pour moi, ces caresses sensuelles, cette danse des corps avant l’amour. Son intimité est rasée et pique délicieusement mes doigts, et je les promène avec précaution, avec douceur. Elle quitte ma bouche, et je l’aide à retirer sa robe lentement. Ses cheveux encore humides reviennent sur mon visage, et je respire à pleins poumons son odeur de rose. Elle est un peu cambrée en avant, et je pose mes mains sur son dos nu. L’inscription « Harder ! » tatouée au-dessus de ses fesses attire mon œil, et un frisson d’excitation me parcourt l’échine. Mais ce n’est pas Yun, je dois être patient. Et ça ne me gêne pas. Je caresse un magnifique papillon multicolore peint sur son omoplate, et trouve une autre inscription sous sa nuque. Elle est écrite à l’envers, et je ne perds pas de temps à la déchiffrer. Elle se recolle à moi en soupirant d’aise, et ma main retourne entre ses cuisses. Elle s’empare de l’autre et la pose sur sa poitrine chaude. Je la caresse et elle se remue sur moi en respirant fort. En bas, mes doigts caressent ses lèvres et deviennent humides. J’appuie délicatement, et le paradis s’ouvre à moi. C’est brûlant, et Ana gémit silencieusement. Puis elle se libère et se retourne.
Penchée en avant sans se mettre à genoux, elle tire mon pantalon, et saisit un Courage en pleine forme. Elle l’agite doucement en le regardant, et la sensation de sa main chaude me fait frissonner. Encore une fois, les yeux fermés, je pourrais savoir que ça n’est pas Yun qui est devant moi. La pression de ses doigts est différente, plus franche, et son pouce remue et me caresse. Je devine immédiatement que ça n’est pas sa première fois. Elle me regarde finalement, un sourcil levé d’un air provocateur, son sourire éternellement moqueur. Et elle le lèche. Je tressaille violemment au contact de son piercing sur ma peau. C’est juste incroyable. Elle rit, et se penche encore plus, mettant la moitié de Courage dans sa bouche. Je ferme les yeux de bonheur. Sa bouche aussi est différente de celle de Yun, moins grande, plus serrée. Elle le fait glisser sur son palais quelques secondes, et le ressort. Et elle recommence.
Je regarde son dos, et tombe sur l’inscription sous sa nuque, que je peux désormais lire : « I love it ! ». Je me laisse aller dans le canapé et esquisse un sourire rêveur. C’est délicieux. J’ai envie d’enfiler un préservatif et d’entrer en elle, d’essayer son corps, de la faire trembler. Mais j’attends patiemment, et découvre la beauté des préliminaires. Ça doit faire une minute qu’elle s’est emparée de moi, et elle commence ses va-et-vient. Elle serre ses lèvres, et agite sa tête sans me regarder. Mes yeux s’ouvrent en grand quand je sens sa langue frétiller et son piercing contre moi, et c’est le drame. J’ai à peine le temps de la prévenir. Je me lève tant bien que mal et me retire de sa bouche, alors qu’elle se met à genoux, surprise. Le premier jet incontrôlé touche sa joue et finit dans ses cheveux, et elle met sa poitrine en avant. Je souffle fort et dirige Courage vers ses seins, finissant de me déverser. Ses yeux sont écarquillés de surprise et son sourire s’élargit alors qu’elle pousse un « Woaah ! » étonné et retentissant. Puis elle éclate de rire.
Je retombe dans le canapé, terriblement honteux. Putain, il m’est arrivé quoi ?
-Je suis désolé, je dis, sentant le rouge monter à mes joues.
Devant mon air décomposé, elle perd son sourire, fronce les sourcils, et prend ma main.
-Quel est le problème ? demande-t-elle.
-Je crois que c’est ton piercing, il m’a juste… Je ne me suis pas contrôlé. Excuse-moi…
Je ne sais vraiment pas où me mettre.
-Mais, c’était bien, non ?
Elle penche la tête sur le côté, l’air confuse.
-Tu attendais plus, je réponds, en regardant entre ses cuisses.
Elle paraît comprendre, et se remet à rire.
-Yun ne t’a pas dit ? Tu ne peux pas me faire l’amour. Je supporte pas le latex.
Je suis abasourdi.
-C’est vrai ? Mais alors, tu voulais…
-Juste ça, répond-t-elle en haussant les épaules. Mais je ne pensais pas être aussi forte !
Elle est morte de rire devant mon air étonné. Je dois vraiment avoir l’air stupide. Mais je suis rassuré, et la honte que j’ai ressentie disparait.
Elle se relève, ma semence dégouline sur son ventre.
-Je reviens, me dit-elle en suçotant bout de son doigt. Elle me fait un clin d’œil coquin, et je la vois partir à la douche toute nue, sa démarche aguicheuse faisant tressauter ses belles fesses.
Putain, faut que je fasse attention avec Ana, elle ne laisse aucune chance au pauvre Courage.
L’après-midi et la nuit qui suivent sont extrêmes. Tous les trois, on est comme un jeune couple qui essaie, se teste, brûlant d’envie et de passion. Je ne compte pas le nombre de fois où on le fait, où on part à la douche avant de recommencer. On prend l’habitude d’être trois, et notre plaisir est plus grand à chaque fois.
Ana me guide et me montre comment lui donner du plaisir avec mes doigts et ma langue et je m’active entre ses cuisses pendant que Yun vide Courage sur son visage. J’adore ça.
Plusieurs fois, elles me réveillent en pleine nuit, côte à côte entre mes cuisses. Je sens leurs langues sur moi, leurs mains qui m’agitent. La gorge chaude de Yun pendant qu’Ana me lèche. Depuis ma prestation expéditive ( ), elle évite de mettre Courage dans sa bouche. Elle le fait juste à la fin, et c’est un jeu entre nous trois, où je dois résister le plus longtemps. Mais affronter leurs yeux surexcités et fougueux, sentir le piercing de la belle blonde sur moi alors qu’elle referme ses lèvres et s’agite, c’est beaucoup trop. Alors je les préviens au bout de quelques secondes, je récupère Courage et l’agite devant leurs visages brûlants d’envie. Yun ferme la bouche et la pose sur moi, et Ana me susurre des choses érotiques, tire sa belle langue humide et la remue en désignant son visage, son regard pénétrant dans le mien. Et je manque de m’évanouir en jouissant abondamment sur elles. Je suis vraiment à plaindre.
Et finalement, parce qu’il est impossible de tenir ce rythme indéfiniment, on se fatigue, on se repose plus longtemps. On s’habitue à dormir à trois sans se réveiller constamment. La journée, on reste tranquille, on révise, on joue à la console. Et on fait l’amour.
Quand on sort tous les trois, c’est bizarre. Yun n’est pas particulièrement affectueuse, mais Ana me prend la main, se tient près de moi. Sa tenue provocante et sa beauté insultante m’attire les regards jaloux de beaucoup d’individus.
Les moments où on est le plus observés, c’est quand Yun a la lubie de nous toucher. On est dans le bus, Ana est assise près de moi, sa main dans la mienne, et repose sa tête sur mon épaule. Et Yun s’assied sur mes genoux, et pose mon autre main sur ses cuisses souvent nues. Là, on est clairement le centre de l’attention. Mais on s’en fiche. Rien à battre.
On va au cinéma tous les trois, et nos voisins nous dévisagent avec étonnement lorsqu’ils voient Yun qui passe de mes genoux à ceux d’Ana, parce qu’elle est trop petite pour voir correctement l’écran. Et puis des fois, on marche sur le trottoir et on se tient tous la main. Je suis souvent au centre, mais pas toujours. Certaines fois c’est Ana, d’autres c’est Yun.
On ne parle pas du retour de Cécilia, mais ça commence à nous peser, ça se sent dans l’air. On ne peut pas lui cacher ça. Quant à demander à Ana de dormir seule comme avant, ça reviendrait à rompre avec elle, en gros. Et personne ne veut ça. C’est donc deux jours avant le retour de notre amie italienne que je décide de lui envoyer un message.
Je réfléchis un moment à comment je peux tourner ma phrase, et finalement, je lui envoie ça :
« Cécilia, j’espère que tu vas bien. C’est un peu difficile à avouer, mais voilà… Je suis avec Yun et Ana. En même temps. Si ça te pose un problème quelconque, sache que tu peux demander à changer d’hôte, et dans ce cas, j’espère qu’on restera amis. Mais sache qu’on aimerait tous que tu reviennes, car tu nous manques. Bises, Steph. »
J’appuie sur « envoyer ». Et je soupire. Bordel, quelle vie.
Un peu plus tard dans la soirée, je reçois sa réponse. J’attrape mon téléphone, respire un grand coup, et ouvre le message…
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