Mes copines étrangères
Par : lls
Genre : Sayks
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 21
Gêne
Publié le 05/01/13 à 15:32:42 par lls
Je me réveille, et j’ai un putain de mal de tête. J’ai bougé durant la nuit, et là j’ai froid. J’essaie de me lever, j’ai l’impression d’être encore bourré. Près de moi, Yun et Ana dorment l’une dans les bras de l’autre. Je cherche mes fringues et manque de me péter la gueule au moins trois fois. Il est 8h30.
Je secoue doucement l’épaule de Yun, et elle se réveille en gémissant. Ana fait de même. À moitié endormies, elles se rhabillent sans bruit. Heureusement que Cécilia n’est pas tombée du lit ce matin. Elle se serait posé des questions en me voyant nu et dormant avec les deux filles. Et elle aurait eu raison. Je me demande si Yun se souvient qu’elle a avalé mon sperme, mais je ne trouve pas de manière classe pour lui poser la question.
Je me rappelle d’Ana qui nous a regardés, et me demande si elle avait prévu le coup. De toute évidence l’alcool et la drogue venaient d’elle. Mais pour l’instant, elles frottent leurs yeux, bâillent et massent leurs tempes. Et on gagne nos lits en avançant difficilement. Je tire la couverture sur Yun et moi, et on se rendort en quelques secondes.
J’ouvre les yeux à onze heures, puis à midi. Yun me regarde. Ma tête me fait encore souffrir, et je pense qu’elle n’est pas bien non plus. Personne ne saute sur personne. Elle referme les yeux et je vais prendre une douche. Ça faisait longtemps que j’avais pas ramassé une belle cuite comme ça.
Cécilia est à table et mange, et esquisse un sourire en voyant ma mine de déterré. Ana est assise sur un canapé devant la télé, et parait complètement absente. On est dans un état…
J’ai vraiment pas faim, et je vais m’écrouler sur un autre canapé. La belle russe croise mon regard et me sourit. Je ne sais pas quoi penser de la veille, de ce qu’il y a entre nous. C’est tellement bizarre comme situation, et je suis pas bien. Je suis quasiment sûr que j’ai rien fait avec Ana. À part la tenir contre moi quand elle dormait. J’ai touché ses jambes et ses cuisses, et peut-être ses seins pendant mon sommeil. Mais il n’y a rien eu de sexuel. Enfin je crois. Mais elle nous a regardés, Yun et moi. Qu’est-ce que ça veut dire ? Elle n’a pas l’air gênée en tout cas. Je ne sais pas si je le suis. Et Yun ?
J’ai encore plus mal à la tête. On comate quelques heures devant la télé, et Cécilia fait ses devoirs sur la table de la cuisine. Ana a roulé sur le tapis, comme à son habitude. Elle porte une robe bleue qui couvre tout juste ses fesses, et elle agite ses belles jambes. Le regard dans le vide, je compte ses tatouages. Un Phénix, un parchemin, une rose. Un requin, une chouette, un pan de cathédrale.
Cécilia nous rejoint pour regarder un film, et se laisse tomber dans le canapé d’Ana. Elle est belle aussi, mon invitée italienne. J’aime bien son visage et ses yeux bleus. Elle est moins folle que les deux autres et plus pudique. Ou peut-être qu’elle n’aime pas montrer ses jambes. Elles sont pourtant bien jolies.
La petite dernière fait finalement son entrée à 15h. Elle a l’air toute fraîche, toute propre. Mais elle ne parle pas, et ça veut dire qu’elle a la gueule de bois. Ou qu’elle a honte. Ou qu’elle m’en veut. Ou qu’elle en veut à Ana.
Je me fais mes films en flippant comme un connard, mais elle vient juste se coucher à côté de moi, et pose sa tête sur mes genoux. Elle a ses deux petites couettes que j’aime. Débardeur sans soutien-gorge, culotte. C’est bien ma Yun. Je caresse ses cheveux doucement.
Et là, c’est le drame. Ana se retourne, et la regarde. Et elle sourit. Je pense que Yun lui rend son sourire, et je la vois qui écarte les bras. Devant mon air stupéfait, la magnifique blonde se lève en vitesse et vient vers nous de sa démarche élégante. Yun écarte les jambes et Ana s’assied entre ses cuisses, avant de s’allonger sur elle, la tête presque sur sa grosse poitrine. Ses fesses sont presque sur l’accoudoir, et ses jambes interminables reposent en l’air de l’autre côté.
Cécilia me regarde, et j’ai envie de disparaître sous terre. Bordel, je passe pour quoi moi ? Elle va me juger, penser que je suis un enfoiré qui n’est pas satisfait avec une seule copine. Elle a vraiment l’air étonné, et ne parvient même pas à cacher sa surprise. Je caresse les cheveux de Yun, et Yun caresse ceux d’Ana. Putain. Si l’italienne n’était pas là, je crois que je serais aux anges. Je prendrais même une photo pour le 15-18.
Mais voilà, elle est là, nous regarde comme des aliens, seule sur son canapé, et je me sens trop mal.
D’un autre côté, Ana n’est pas venue me voir plus tôt. Ça devrait lui mettre le doute, et répondre à ma question. Je veux dire, qu’il n’y a rien entre la russe et moi. Bon, okay, elle m’a regardé jouir dans la bouche de Yun. Mais c’est pas ça qui créée des liens, hein ?
Heureusement, les marques d’affection physiques entre Yun et Ana s’arrêtent dès le lendemain. Peut-être qu’elles n’étaient pas encore bien sobres. En tout cas, la vie reprend son cours le dimanche, la bonne humeur de Yun revient, la musique d’Ana et sa puissante aura reviennent, et je fais la cuisine pour toute la famille. On agit comme si rien ne s’était passé. Cécilia ne fait aucune remarque et n’est pas distance. Elle me demande même de l’aider en Maths, et on travaille plusieurs heures ensemble. Le soir, Yun est assise sur mes genoux ou couchée près de moi, sa tête entre mes mains. Ana sur le tapis ou l’autre canapé.
Mes activités nocturnes avec Yun sont explosives. On est de vrais obsédés.
Mais on ne parle pas de la soirée arrosée, et je ne jouis jamais dans sa bouche. Elle a une de ces libidos… Une après-midi, on était seuls à la maison. Elle est venue me trouver devant le canapé, s’est mise entre mes cuisses et à sorti Courage de mon pantalon. Et elle m’a demandé de la contrôler. Ça ne lui arrive pas souvent, et uniquement la nuit, quand elle est à moitié endormie et excitée par ses rêves. Elle m’a fait saisir ses couette, et j’ai tiré sa tête vers moi, de plus en plus loin. Elle était surexcitée. Courage a entièrement disparu dans sa bouche, et alors que je relâchais la pression pour qu’elle se recule et respire, elle est restée immobile quelques secondes en toussant et a même essayé de faire de petits va-et-vient. Elle s’est étouffée avec Courage à en pleurer, et ses larmes ont fait couler son mascara noir sur ses joues. Mais elle a continué avec une fougue extraordinaire, toussant, gémissant et bavant. Ça m’a rendu complètement fou, et Courage s’est abondamment déversé dans ses yeux et son nez, sur son front et jusque dans ses cheveux.
Je crois qu’on a vraiment un problème.
Je secoue doucement l’épaule de Yun, et elle se réveille en gémissant. Ana fait de même. À moitié endormies, elles se rhabillent sans bruit. Heureusement que Cécilia n’est pas tombée du lit ce matin. Elle se serait posé des questions en me voyant nu et dormant avec les deux filles. Et elle aurait eu raison. Je me demande si Yun se souvient qu’elle a avalé mon sperme, mais je ne trouve pas de manière classe pour lui poser la question.
Je me rappelle d’Ana qui nous a regardés, et me demande si elle avait prévu le coup. De toute évidence l’alcool et la drogue venaient d’elle. Mais pour l’instant, elles frottent leurs yeux, bâillent et massent leurs tempes. Et on gagne nos lits en avançant difficilement. Je tire la couverture sur Yun et moi, et on se rendort en quelques secondes.
J’ouvre les yeux à onze heures, puis à midi. Yun me regarde. Ma tête me fait encore souffrir, et je pense qu’elle n’est pas bien non plus. Personne ne saute sur personne. Elle referme les yeux et je vais prendre une douche. Ça faisait longtemps que j’avais pas ramassé une belle cuite comme ça.
Cécilia est à table et mange, et esquisse un sourire en voyant ma mine de déterré. Ana est assise sur un canapé devant la télé, et parait complètement absente. On est dans un état…
J’ai vraiment pas faim, et je vais m’écrouler sur un autre canapé. La belle russe croise mon regard et me sourit. Je ne sais pas quoi penser de la veille, de ce qu’il y a entre nous. C’est tellement bizarre comme situation, et je suis pas bien. Je suis quasiment sûr que j’ai rien fait avec Ana. À part la tenir contre moi quand elle dormait. J’ai touché ses jambes et ses cuisses, et peut-être ses seins pendant mon sommeil. Mais il n’y a rien eu de sexuel. Enfin je crois. Mais elle nous a regardés, Yun et moi. Qu’est-ce que ça veut dire ? Elle n’a pas l’air gênée en tout cas. Je ne sais pas si je le suis. Et Yun ?
J’ai encore plus mal à la tête. On comate quelques heures devant la télé, et Cécilia fait ses devoirs sur la table de la cuisine. Ana a roulé sur le tapis, comme à son habitude. Elle porte une robe bleue qui couvre tout juste ses fesses, et elle agite ses belles jambes. Le regard dans le vide, je compte ses tatouages. Un Phénix, un parchemin, une rose. Un requin, une chouette, un pan de cathédrale.
Cécilia nous rejoint pour regarder un film, et se laisse tomber dans le canapé d’Ana. Elle est belle aussi, mon invitée italienne. J’aime bien son visage et ses yeux bleus. Elle est moins folle que les deux autres et plus pudique. Ou peut-être qu’elle n’aime pas montrer ses jambes. Elles sont pourtant bien jolies.
La petite dernière fait finalement son entrée à 15h. Elle a l’air toute fraîche, toute propre. Mais elle ne parle pas, et ça veut dire qu’elle a la gueule de bois. Ou qu’elle a honte. Ou qu’elle m’en veut. Ou qu’elle en veut à Ana.
Je me fais mes films en flippant comme un connard, mais elle vient juste se coucher à côté de moi, et pose sa tête sur mes genoux. Elle a ses deux petites couettes que j’aime. Débardeur sans soutien-gorge, culotte. C’est bien ma Yun. Je caresse ses cheveux doucement.
Et là, c’est le drame. Ana se retourne, et la regarde. Et elle sourit. Je pense que Yun lui rend son sourire, et je la vois qui écarte les bras. Devant mon air stupéfait, la magnifique blonde se lève en vitesse et vient vers nous de sa démarche élégante. Yun écarte les jambes et Ana s’assied entre ses cuisses, avant de s’allonger sur elle, la tête presque sur sa grosse poitrine. Ses fesses sont presque sur l’accoudoir, et ses jambes interminables reposent en l’air de l’autre côté.
Cécilia me regarde, et j’ai envie de disparaître sous terre. Bordel, je passe pour quoi moi ? Elle va me juger, penser que je suis un enfoiré qui n’est pas satisfait avec une seule copine. Elle a vraiment l’air étonné, et ne parvient même pas à cacher sa surprise. Je caresse les cheveux de Yun, et Yun caresse ceux d’Ana. Putain. Si l’italienne n’était pas là, je crois que je serais aux anges. Je prendrais même une photo pour le 15-18.
Mais voilà, elle est là, nous regarde comme des aliens, seule sur son canapé, et je me sens trop mal.
D’un autre côté, Ana n’est pas venue me voir plus tôt. Ça devrait lui mettre le doute, et répondre à ma question. Je veux dire, qu’il n’y a rien entre la russe et moi. Bon, okay, elle m’a regardé jouir dans la bouche de Yun. Mais c’est pas ça qui créée des liens, hein ?
Heureusement, les marques d’affection physiques entre Yun et Ana s’arrêtent dès le lendemain. Peut-être qu’elles n’étaient pas encore bien sobres. En tout cas, la vie reprend son cours le dimanche, la bonne humeur de Yun revient, la musique d’Ana et sa puissante aura reviennent, et je fais la cuisine pour toute la famille. On agit comme si rien ne s’était passé. Cécilia ne fait aucune remarque et n’est pas distance. Elle me demande même de l’aider en Maths, et on travaille plusieurs heures ensemble. Le soir, Yun est assise sur mes genoux ou couchée près de moi, sa tête entre mes mains. Ana sur le tapis ou l’autre canapé.
Mes activités nocturnes avec Yun sont explosives. On est de vrais obsédés.
Mais on ne parle pas de la soirée arrosée, et je ne jouis jamais dans sa bouche. Elle a une de ces libidos… Une après-midi, on était seuls à la maison. Elle est venue me trouver devant le canapé, s’est mise entre mes cuisses et à sorti Courage de mon pantalon. Et elle m’a demandé de la contrôler. Ça ne lui arrive pas souvent, et uniquement la nuit, quand elle est à moitié endormie et excitée par ses rêves. Elle m’a fait saisir ses couette, et j’ai tiré sa tête vers moi, de plus en plus loin. Elle était surexcitée. Courage a entièrement disparu dans sa bouche, et alors que je relâchais la pression pour qu’elle se recule et respire, elle est restée immobile quelques secondes en toussant et a même essayé de faire de petits va-et-vient. Elle s’est étouffée avec Courage à en pleurer, et ses larmes ont fait couler son mascara noir sur ses joues. Mais elle a continué avec une fougue extraordinaire, toussant, gémissant et bavant. Ça m’a rendu complètement fou, et Courage s’est abondamment déversé dans ses yeux et son nez, sur son front et jusque dans ses cheveux.
Je crois qu’on a vraiment un problème.
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