Time To Confess
Par : SuperTramp
Genre : Sentimental , Réaliste
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 8
The surface of the sun
Publié le 19/08/13 à 01:16:55 par SuperTramp
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Ecoutez, pour plonger dans cet unviers.
Je ne suis qu'un être inscoucient,
Et je le sais bien.
Mais je l'aime tant.
Et je ne sais rien.
Je ne sais si son âme,
son coeur, ou son esprit,
se crève à la tache, rame,
Sur une rivière de pluie.
Ou bien sur une rivière de soleil.
Ou se mêle joyeusement,
Ciel et nature, où il n'y a nul pareil.
Dans un eternel recommencement.
La beauté de toute nature,
celle qui s'exprime avec tendresse,
une petite fleure en pleine verdure,
C'est elle, cette princesse.
Une aurore boréale.
Dans un glacial froid polaire,
Est l'endroit idéal,
Pour voler au confint des airs.
Voler spirituellement,
Voguer et ésperer,
Sans jamais s'arrêter,
Et saluer les cerfs en passant.
Mon regard à changé,
Ma sagesse aussi,
Ma pensée ne peut être arrêtée,
que par un sentiment de mépris.
Et je voyage, en sa compagnie,
Dans une forêt luxuriante,
Où règne cascade et vie,
Oui, elle me hante.
Son âme est imaginée,
Par la moindre de mes pensée
Son esprit est artificiel
Inventé par mes sens sensoriels.
Cela n'est que de l'imagination,
Mais cela en vaut la peine,
Comme une étoile a l'horizon,
Qui en un souffle devient reine.
Reine de l'univers,
Comme son âme,
Comme mes vers,
Commes mes larmes.
Dans une dernier soupir,
J'espere enfin assouvir,
Le dernier de mes rêves,
Voyager, sans trêve.
Alors dans un dernier effort,
Je m'imagine, fort,
Dans une ville déserte,
Avec elle, courant a sa perte.
Je m'empresse de la sauver,
Pour qu'elle m'échange un baiser.
Une colombe s'envola, elle n'était plus là,
Me laissant seul dans mes pensées.
Je suis maintenant seul,
Levant mon regard vers le ciel,
J'aperçois un immense tilleul.
Puis cette colombe, battant des ailes.
Je revins alors à la réalité.
Du haut de mon immeuble, il faut se jeter,
Voila ma dernière volonté.
Dans un véritable don de moi même,
Je fis l'irréparable,
Allons au jardin d'Eden.
Pendant ce magnifique vol,
Je croisai une colombe,
Elle s'agripa a mon col,
Pour ne pas que je tombe.
Je suis maintenant en paix,
Avec une colombe a mes cotés,
Sachez qu'en vous,
Une parcelle d'amour vit.
Ecoutez, pour plonger dans cet unviers.
Je ne suis qu'un être inscoucient,
Et je le sais bien.
Mais je l'aime tant.
Et je ne sais rien.
Je ne sais si son âme,
son coeur, ou son esprit,
se crève à la tache, rame,
Sur une rivière de pluie.
Ou bien sur une rivière de soleil.
Ou se mêle joyeusement,
Ciel et nature, où il n'y a nul pareil.
Dans un eternel recommencement.
La beauté de toute nature,
celle qui s'exprime avec tendresse,
une petite fleure en pleine verdure,
C'est elle, cette princesse.
Une aurore boréale.
Dans un glacial froid polaire,
Est l'endroit idéal,
Pour voler au confint des airs.
Voler spirituellement,
Voguer et ésperer,
Sans jamais s'arrêter,
Et saluer les cerfs en passant.
Mon regard à changé,
Ma sagesse aussi,
Ma pensée ne peut être arrêtée,
que par un sentiment de mépris.
Et je voyage, en sa compagnie,
Dans une forêt luxuriante,
Où règne cascade et vie,
Oui, elle me hante.
Son âme est imaginée,
Par la moindre de mes pensée
Son esprit est artificiel
Inventé par mes sens sensoriels.
Cela n'est que de l'imagination,
Mais cela en vaut la peine,
Comme une étoile a l'horizon,
Qui en un souffle devient reine.
Reine de l'univers,
Comme son âme,
Comme mes vers,
Commes mes larmes.
Dans une dernier soupir,
J'espere enfin assouvir,
Le dernier de mes rêves,
Voyager, sans trêve.
Alors dans un dernier effort,
Je m'imagine, fort,
Dans une ville déserte,
Avec elle, courant a sa perte.
Je m'empresse de la sauver,
Pour qu'elle m'échange un baiser.
Une colombe s'envola, elle n'était plus là,
Me laissant seul dans mes pensées.
Je suis maintenant seul,
Levant mon regard vers le ciel,
J'aperçois un immense tilleul.
Puis cette colombe, battant des ailes.
Je revins alors à la réalité.
Du haut de mon immeuble, il faut se jeter,
Voila ma dernière volonté.
Dans un véritable don de moi même,
Je fis l'irréparable,
Allons au jardin d'Eden.
Pendant ce magnifique vol,
Je croisai une colombe,
Elle s'agripa a mon col,
Pour ne pas que je tombe.
Je suis maintenant en paix,
Avec une colombe a mes cotés,
Sachez qu'en vous,
Une parcelle d'amour vit.
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