Time To Confess
Par : SuperTramp
Genre : Sentimental , Réaliste
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 1
Where is my mind ?
Publié le 29/09/12 à 18:53:21 par SuperTramp
Mon coeur balance, mon esprit entre en transe.
Sur ma gauche sur ma droite, personne, je traverse. Encore une putain d'averse. Je dois aller encore à ce putain de boulot .Alors que je pourrait etre dans mon lit, au chaud.
La pluie qui tombait était fine et froide. La journée était triste et fade. L'amertume coulait en chacun. On voyait cela dès le matin.
Je m'encourage à monter les escaliers, me séparant de mon bureau souillé. Soudain la femme de mes rêves jaillit, l'étoile filante de mes nuits.
Je la regardais passer, comme à mon habitude, j'allais l'ignorer.
Mais elle me vis, et d'un geste brusque s'interrompit.
Elle lança alors la discussion, alors la sueur chaude dégoulina de mon front.
Elle commença, elle soupira :
-Où sont les clés du bureau ?
-Sur l'étagère, en haut.
-Ah oui merci je n'yt avais pas pensé.
-Derien j'espere vous avoir aidé.
-C'est le cas.
-Très bien, voila.
-Au revoir
-Au revoir
Notre dialogue fut court, et mon esprit brûlais comme dans un four.
Ma journée au bureau ne fut pas très palpitante, si ce n'est un tas de paperasse en attente.
Je me couchais après m'être lavé, après m'etre regardé, dans ce miroir, où je ne vois que du noir. La noirceur de mon visage, c'était une triste image.
Pourtant j'étais costaud, environ 80 kilos, je mesurais 1m87 ma silhouette était parfaite.
Mais mon epsrit criait au secours, et chaque jours, je repoussais le destin, pour qu'il m'enmène toujours plus loin.
Alors, le lendemain, le matin, elle me pris par la main, elle avait faim.
Elle voulait que l'on mange quelque chose, un gouter, qu'on lise en prose, qu'on arrête de penser.
C'étais le crépuscule et la femme que j'adule, m'enmena au paradis, la bàs, loin d'ici
Elle m'enmena dans son monde, afin que je fonde, dans le feu qu'est son esprit, sa beauté infinie.
Nous ne travailleront pas aujourd'hui, c'était certain, alors je la suivit, dans une galaxie sans fin.
Elle pris sa moto et m'enmena, loin de mes tracas, là ou les nuages se dégageait, laissant place ah un midi parfait.
Le blé flamboyant ne cessait de courber l'échine, au gré du vent, de la bise si fine.
C'est à la plage qu'on s'arrêta, on se posa, dans le sable, avec du sirop d'érable.
Elle aimait sa, moi aussi, on était là, à raconter nos vies.
Elle voulait en savoir plus sur moi, c'était aussi mon cas.
Elle lança, elle me flatta :
-Vous n'avez pas changé, depuis la première fois que je vous ai vu
-Vous pouvez me tutoyer, vous aussi, qui l'aurait cru ?
-Dis moi, que dirais tu d'aller au bord de l'eau ?
-Allons-y, allons tremper nos pieds.
Tout en y allant le dialogue continuait ou les vagues de la mer raisonnait :
-J'ai une suprise pour vous.
-Pour moi ?
-Oui pour vous
-Montrez moi cela.
Elle me pris par la main, m'enmena au loin.
Nous n'avions plus pieds, et nous nagions.
J'attendais avec anxiété,avec les poissons.
Ses lèvres s'agrppèrent alors aux miennes, sa langue étais mienne, sa silhouette épousa, mon corps qui enfin souria.
Mon visage s'illumina, et nos lèvres, dans un violent fracas, nous donnèrent la fièvre.
Nous retournions à la moto, encore avec le souvenir, que dans cette eau, c'étais prédis notre avenir.
Sa main était encore mouillée, et nous parlions, et au loin un camion.
Le camion roulait trop à sa gauche, on dit qu'il s'était endormi, j'aurais voulu qu'il me fauche aussi, mais c'est elle qu'il prit.
Depuis ce jour je suis tétraplégique, et mon destin est tragique, le suicide m'est impossible, mais penser est possible.
Je remerci la personne qui voulu bien écrire cette histoire,qui m'enmenera danss quelque minutes, aller la voir.
Ils m'enmena dans l'eau, là ou mon destin s'est crée. L'air n'entrera plus en moi, et à ce moment là je vous dirais....Where is my mind ?
Sur ma gauche sur ma droite, personne, je traverse. Encore une putain d'averse. Je dois aller encore à ce putain de boulot .Alors que je pourrait etre dans mon lit, au chaud.
La pluie qui tombait était fine et froide. La journée était triste et fade. L'amertume coulait en chacun. On voyait cela dès le matin.
Je m'encourage à monter les escaliers, me séparant de mon bureau souillé. Soudain la femme de mes rêves jaillit, l'étoile filante de mes nuits.
Je la regardais passer, comme à mon habitude, j'allais l'ignorer.
Mais elle me vis, et d'un geste brusque s'interrompit.
Elle lança alors la discussion, alors la sueur chaude dégoulina de mon front.
Elle commença, elle soupira :
-Où sont les clés du bureau ?
-Sur l'étagère, en haut.
-Ah oui merci je n'yt avais pas pensé.
-Derien j'espere vous avoir aidé.
-C'est le cas.
-Très bien, voila.
-Au revoir
-Au revoir
Notre dialogue fut court, et mon esprit brûlais comme dans un four.
Ma journée au bureau ne fut pas très palpitante, si ce n'est un tas de paperasse en attente.
Je me couchais après m'être lavé, après m'etre regardé, dans ce miroir, où je ne vois que du noir. La noirceur de mon visage, c'était une triste image.
Pourtant j'étais costaud, environ 80 kilos, je mesurais 1m87 ma silhouette était parfaite.
Mais mon epsrit criait au secours, et chaque jours, je repoussais le destin, pour qu'il m'enmène toujours plus loin.
Alors, le lendemain, le matin, elle me pris par la main, elle avait faim.
Elle voulait que l'on mange quelque chose, un gouter, qu'on lise en prose, qu'on arrête de penser.
C'étais le crépuscule et la femme que j'adule, m'enmena au paradis, la bàs, loin d'ici
Elle m'enmena dans son monde, afin que je fonde, dans le feu qu'est son esprit, sa beauté infinie.
Nous ne travailleront pas aujourd'hui, c'était certain, alors je la suivit, dans une galaxie sans fin.
Elle pris sa moto et m'enmena, loin de mes tracas, là ou les nuages se dégageait, laissant place ah un midi parfait.
Le blé flamboyant ne cessait de courber l'échine, au gré du vent, de la bise si fine.
C'est à la plage qu'on s'arrêta, on se posa, dans le sable, avec du sirop d'érable.
Elle aimait sa, moi aussi, on était là, à raconter nos vies.
Elle voulait en savoir plus sur moi, c'était aussi mon cas.
Elle lança, elle me flatta :
-Vous n'avez pas changé, depuis la première fois que je vous ai vu
-Vous pouvez me tutoyer, vous aussi, qui l'aurait cru ?
-Dis moi, que dirais tu d'aller au bord de l'eau ?
-Allons-y, allons tremper nos pieds.
Tout en y allant le dialogue continuait ou les vagues de la mer raisonnait :
-J'ai une suprise pour vous.
-Pour moi ?
-Oui pour vous
-Montrez moi cela.
Elle me pris par la main, m'enmena au loin.
Nous n'avions plus pieds, et nous nagions.
J'attendais avec anxiété,avec les poissons.
Ses lèvres s'agrppèrent alors aux miennes, sa langue étais mienne, sa silhouette épousa, mon corps qui enfin souria.
Mon visage s'illumina, et nos lèvres, dans un violent fracas, nous donnèrent la fièvre.
Nous retournions à la moto, encore avec le souvenir, que dans cette eau, c'étais prédis notre avenir.
Sa main était encore mouillée, et nous parlions, et au loin un camion.
Le camion roulait trop à sa gauche, on dit qu'il s'était endormi, j'aurais voulu qu'il me fauche aussi, mais c'est elle qu'il prit.
Depuis ce jour je suis tétraplégique, et mon destin est tragique, le suicide m'est impossible, mais penser est possible.
Je remerci la personne qui voulu bien écrire cette histoire,qui m'enmenera danss quelque minutes, aller la voir.
Ils m'enmena dans l'eau, là ou mon destin s'est crée. L'air n'entrera plus en moi, et à ce moment là je vous dirais....Where is my mind ?
29/09/12 à 23:41:27
On va dire que je me suis pas relu, "un balcon sur la mer" jamais lu,
C'est pas vraimnet otrché.... mais pas relu
29/09/12 à 23:38:51
Pas mal de fautes abominables, les verbes qui sont à la 3e personne du singulier écrit à la première, un "cmaion" qui se balade, une concordance de temps qui manque (parce qu'un présent de l'indicatif et un plus-que-parfait dans une même proposition, c'est pas possible : "on dit qu'il s'était endormi " ou " j'aurais voulu qu'il me fauche aussi" où tu n'as pas conjugué le subjonctif à l'imparfait, mais au présent), une virgule qui coupe le verbe de son COD; du coup en première lecture on se dit "WTF" avant de comprendre l'erreur, et j'en passe. Je subodore donc que tu ne t'es pas relu
Pour le reste de la forme, je n'ai pas trouvé que c'était transcendant. C'est un récit en vers, mais je trouve l'effet loin d'être réussi. Conjugué avec les fautes, je dirai même que c'est du torché vite fait, mal fait. Et j'espère avoir raison, parce que le cas contraire serait inquiétant.
Au niveau du fond, je n'ai pas compris l'intérêt. On dirait un remake à ta sauce d'"Un Balcon Sur La Mer", qui n'est déjà pas fameux à la base.
Voilà, je ne dis pas ça pour être foncièrement cassant, mais c'est mon ressentiment suite à la lecture de ton texte.
29/09/12 à 20:09:15
Ok merci :)
29/09/12 à 19:34:51
Neanmoins il reste des phrases bien sympathiques. Peu, mais quelques-unes. Ne perds pas de vue la narration lorsque tu rédiges.
29/09/12 à 19:33:04
Justement non, c'est ce que je veux dire par forcées. Cela perd en fluidité et parait assez ridicule en même temps.
29/09/12 à 19:14:21
Certaines sont un peu forcé mais c'est assez fluide tout de même non ?
Merci pour les conseils :)
29/09/12 à 19:08:11
80% des rimes font très forcées, et c'est assez moche au final M'enfin je salue l'originalité de l'idée.
Et la mise en page est à revoir, c'est trop aéré. Fais donc de vrais paragraphes !
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